Si on m'avait dit...

Le soleil était déjà levé, je papillonnais un moment. Puis je me levais d'un bond dans mon box. La distribution des granulés venait de commencer et j'avais extrêmement faim ! Je tapais dans ma porte, ça me calmait un peu, je n'ai pas été sortis depuis longtemps maintenant et jai un peu les nerds en pelote... Je hennis, le gars se dépêche de me servir et ressort. Je me jette sur la ration et aspire le tout. J'entends siffler, je regarde dehors, la bouche pleine, Margaux arrive, je retourne à ma gamelle. Elle se glisse dans mon box et attend que j'ai finis de manger. Je me tourne vers elle et viens lui souffler dessus. Elle me caresse doucement.
-Aujourd'hui, c'est un jour spéciale pour toi, le colonel a accepté une faveur que j'ai faite il y a longtemps. Aujourd'hui a été capturé une très jolie jument qui doit être saille... Et le futur papa se sera toi...
Je ne comprends pas tout de suite... Je vais être papa... Mais cette jument je ne la connais pas... J'aime Monday... Mais cela fait tellement longtemps que j'attends moi aussi ce moment...
Margaux revient et me met un licol. Elle me sort, me brosse un peu, puis elle m’emmène vers un bâtiment que je ne connais pas... J'entre, il n'y a personne dedans, une drôle d'odeur y règne... Puis une jument est amené ici...

Ganache galopait un peut a l'écart de sa harde. Le doux soleil au rayons de miel brillait dans ses yeux de glaçe et faisait luire sa robe de grisalle. Ses crins flanants au vent lui donnait cette beauté divine des être immortel de ce monde. Un sabot après l'autre elle avançait l'encolure baissée prenant son petite déjeuné. Malheureusement son calme et son repos avait été de très courte duré. Alors qu'elle avait avalé sa dernière bouchée,un bruit qu'elle n'avait pas coutume d'entendre vint se mêler à ceux de la nature calme. La jument leva la tête mais trop tard...une corde était passée autour de son cou. Bien sur Ganache totalement affolée avait bondit sur l'homme qui la dérrangé dans sa balade mais un autre avait surgit et ainsi de suite et très vite la beauté de la jument lui avait valut d'être attachée par six cordes irritantes. Capturée par les cows boys elle s'était retrouvé au fort, dans un box spacieux et en compagnie d'un autre étalon qui semblait beaucoup plus vieux qu'elle. Elle entendit alors un des hommes qui les entourés.
"Activez vous il faut qu'on ai fait cette sailli au plus vite."
Mon regard c'est directement posé sur l'étalon à mes cotés et j'ai supplié.
"NON !"

Elle est jolie, grise, avec la croupe tâcheté... Elle est complètement terrorisé...
Les cow-boys veulent se dépêcher... La jument me regarde d'un air suppliant...
-Non !
Non, je ne peux pas... Pas comme ça... Je panique un peu et me cabre vers les cow-boys, Margaux me tient par une très grande longe... Les cow-boys reculent. Margaux me parle, je ne l'écoute pas, je suis focalisé sur la jument. Je m'approche doucement d'elle, je ne veux pas lui faire mal, je ne suis pas un sauvage, moi aussi je crois que j'aurai voulu d'autres conditions... Je ne veux pas que mon poulain vivent ici, comme moi, c'est comme elle qu'il doit vivre...
-Ne t'inquiètes pas, je ne vais pas te faire mal... Je vais t'aider à sortir d'ici, ce n'est pas une vie pour toi, ni pour notre futur poulain...
J'avais mon plan... Margaux secoua la longe, et me renvoya ver la croupe de la jument. Je pose doucement mes antérieurs sur elle et la saillie.
Margaux me conduit à la longe au pré. La jument est derrière nous, j'espères qu'elle va bien. Je m'arrête et hennis. Margaux m'emmène au pré, la jument vient avec moi... Une fois lâché, je vais la voir...
-Ca va ? Je m'appelle Pillut. Je vais t'aider à sortir d'ici. Comment t'appelle-tu ? Tu viens d'où ?

Je suis a peine plus rassurée quand au paroles douce de l'étalon brun fonçé. Ses intentions sont juste et il veut un poulain. De toute façon je ne peux pas resister je suis prise au piège...non...je ne fais pas le poids. Je baissa piteusement la tête et laissa faire cet inconnu. J'étais si jeune...si fragile ! Porter la vie pourquoi maintenant ? Ce n'étais pas de cette famille que je voulais et la seule chose que je me disais alors qu'il me saillait c'était que j'allais retrouver ma liberté donner vie à ce poulain et tout oublier. Je me disais que je recommenceraid ume autre vie. Il finit enfin et on m'emmena au prés. La ou je vis que sa vie était si differente, c'est quand sans remord il me posa un tas de questions.

"Je suis Ganache... Et Si on ecarte ce qui vient de ce passer, oui ... ça peut aller, mais fais moi vite sortir d'ici...je viens des terre sauvages dans une harde qui est ma famille et je compte bien y retourner. Je te promet de m'occuper le temps qu'il faudra de ta progéniture. Mais je veux m'enfuire."

-Je suis Ganache... Et Si on ecarte ce qui vient de ce passer, oui ... ça peut aller, mais fais moi vite sortir d'ici...je viens des terre sauvages dans une harde qui est ma famille et je compte bien y retourner. Je te promet de m'occuper le temps qu'il faudra de ta progéniture. Mais je veux m’enfuir.
-Je te promet que je vais faire vite.
Car après tout il est encore tôt, la patrouille du matin va bientôt rentré... Je vais à l'entrée et fais signe à la jument de s'approcher. Tout le monde est occupé. Je passe ma tête part dessus la porte et chatouille le locket, je finis par réussir à l'ouvrir, non sans peine... Doucement, je tire la porte et lui fais signe de me suivre. Je baisse la tête le long des barrières... La patrouille arrive, les portes s'ouvrent. La cavalerie s'en va vers les ecuries, je lui fais signe de me suivre et galope comme un taré vers la porte, je sors et m'arrête.
-Au revoir Ganache Prend soin de toi et de notre fils !

J'ai docilement suivit Pillut, pour ma liberté. Je me sentait vraiment honteuse d'avoir fait ce poulain avec un parfait inconnu. A plusieurs reprise l'idée me vint de le faire regretter au cowboys. Mais c'était vraiment trop dangereux. Pillut à ouvert le locket de notre prison puis nous avons calmement traversé le camps lentement. Lorsque les portes du fort ce sont ouverte, il m'a entrainé au devant de celle ci et ma demandé de prendre soin de moi et de notre progéniture. Notre ? Je n'étais pas d'accord ! C'étai SA progéniture. Moi je n'avait jamais demandé à avoir un poulain. Sans un au revoir ni un merci je me suis mise à galloper dans cette étendu de sable vers les miens. Qu'allais-je faire de ce petit, comment s'occuper de lui ? Bien des larmes coulèrent se jour là. Mes sabots en arrière jetait des voiles de sable comme j'aurais aimé jeter la peine qui accaparé mon coeur .