Au gré du vent [PV sweetness]

• Encore un peu sonné par sa chute précèdent rohan se dirigea vers.. ha mince il faudrait d'abord que je parle de cette fameuse chute.. C'était en début de matinée ou même plutôt à l'aurore, quand la rosée du matin chatouille les paturons des chevaux sauvage du cimarron et que ceux qui ont chaud se roule volontiers dans les herbes fraiches du matin. Rohan qui passait le plus clair de son temps dans les montagnes de l'ombre n'avait pas souvent eu le plaisir de se vautrer dans les épaisses et abondantes herbes mouillé, il prit donc un grand plaisir a s'affaler dedans pendant bien dix minutes puis il se releva et s'ébroua, il pris une grande bouffé d'air frais comme il le faisait chaque jour et il se mit a réfléchir, fils est ce que tu va bien ? Et toi Freya il parait que tu as finalement trouvé l'étalon de ta vie …c'est bien je suis heureux de vous savoir en famille. Fly se posa sur la croupe de Rohan et le sortit de ses pensées, le corbeau noir se dépêcha de lui affirmait qu'un cow boy l'avait repérer et qu'il serait tant de courir avant que celui ci ne l'attrape, Rohan se cabra et fly s'envola puis dans un galop accélérer l'étalon crème se dirigea vers son abri les montagnes de roches, fly le conduisit dans des endroits accessible pour un cheval mais le cow boy derrière lui était coriace, comme il était seul, Rohan ne prit pas beaucoup de précaution et il eut tord car quand l'humain lança la corde celle ci s'accrocha sur une oreille et la moitié de son chanfrein, déséquilibrer il chuta d'un mètre dans un petit fossé rocheux et se prit tout dans les cotes, furieux de s'être laissé prendre aussi facilement par un idiot de bipède il se releva d'un coup et fonça sur le cheval de cow boy pour faire tombé le bipède puis il s'enfuit de plus belle pour se retrouver a l'ombre d'une crevasse.
  
  Enfin tranquille il se coucha regardant ses flancs, une assez grandes tache foncé se dessinée sur l'endroit du choc, ça ne faisait pas mal mais c'était voyant et surtout gênant de savoir qu'il s'était fait avoir aussi facilement par un cow boy. Fly le rejoignit .
  
  -Rohan t'aurait pu faire attention t'avais la tête ou hein ?
  -Haa laisse moi fly …
  -Tu commence a avoir peur des cow boy c'est ça ?
  -Tu crois ça ?! Je vais te prouver le contraire
  -hmm... quel caractère ….
  
  Sur ce, Rohan se releva en battant de la queue et en relevant l'encolure, puis a peine reposé il repartit au galop vers le fort des cow boy. Toujours plus vite suivit de loin par le corbeau trop bavard qui l'avait rendu furieux. Arrivé prés du fort un pincement au cœur se fit ressentir. Les portes était fermer il contourna avec discrétion le fort et trouva des prés abondant entourer de clôtures. Il s'approcha et découvrit la serrure, c'était plutôt facile a ouvrir il suffit de pousser un peu le bout de bois vers le haut. Après avoir trifouillé la porte de la clôture celle ci s'ouvrit et Rohan ne se fit pas prier pour y rentrer une grosse bottes de foin était posé là au milieu et un sceau de carottes déjà entamé. L'étalon n'attendit pas qu'on l'invite a déjeuner et engloutit quelques morceau de carottes puis se retourna d'un air ravi.
  
  -Alors c'est qui qui a peur des stupides cow boy maintenant?
  
  Derrière lui ce n'était pas son ami le corbeau mais plutôt une jument pie qui devait surement se demander d'où venait cet inconnu. Rohan recula méfiant et son sourir s'abaissa, sans un bonjour bien que ce soit lui l'étranger..
  

• « Galoper, galoper, toujours plus loin, ne pas se faire rattraper, non, surtout pas, continuer, ne pas faire attention à la fatigue, à mes jambes qui menacent de se dérober sous moi, continuer, toujours plus loin ... J'entends des voix dans le lointain, elles ... elles disent mon nom !
  
  Sweetness ? Sweetness !? Sweet' ? SWEETNESS !
  
  Hein quoi ?!
  
  J'ouvre précipitamment mes paupières. Je mets plusieurs secondes avant de me rendre compte que je suis complétement essoufflé. Je reprends doucement mais sûrement mon souffle, et cherche du regard la personne m'ayant appelé. Je pose mon regard sur l'hongre à ma droite, puis sur la jument à ma gauche. Celle-ci me regarde avec une expression d'excuse, et marmonne :
  
  - "Tu t'agitais dans ton sommeil, j'ai eut peur."
  
  Je ne sais pas si la déception que je ressens se lit sur mon visage, mais en tout cas ce sentiment est réelle. En plus de ça, je suis frustré. Durant quelques heures qui me semblaient pourtant être des minutes, j'avais été en liberté, loin d'ici. Si seulement j'avais pus y rester pendant, ne serai-ce*aucune idée de l’orthographe* que quelques secondes. Au fond de moi, j'en veux à cette jument, même si elle ne souhaitait que mon bien. Malgré ce ressentiment amer, je répond à la jument :
  
  - "Ça ne fait rien, tu as bien fait"
  
  Maintenant que je suis réveillé, autant me lever. Je déplie mes jambes, l'une d'elle fait un craquement très plaisant. Je me lève de toute ma hauteur et m'étire les membres un à un. Je regarde ensuite en direction de ma mangeoire. Elle n'est pas pleine, ce qui signifie clairement que personne n'est encore passé pour donner la nourriture. De tous les cow-boys du fort, ceux qui donnent la bouffe sont ceux que j'embête le moins. Généralement, ils sont plutôt gentils, et passent vite fait pour donner la nourriture et repartent aussi sec. Ils ne te demandent rien, quoi. Je me poste alors juste devant la porte et attend patiemment l'arrivé de ce gentil monsieur. »

• « Il n'arrive qu'une dizaine de minutes plus tard. Entre temps, j'ai eut le temps de boire et de bavarder avec mes deux voisins. Quand je le voit enfin arriver avec sa brouette pleine de granulés, je recule de deux pas et attend sagement. J'entends le glissement du loquet et la porte qui s'ouvre. Il marche droit vers la mangeoire, pas un seul regard en ma direction. Il a peur ou quoi ? Je suis certaine que si je voulais, je pourrais lui faire vraiment très peur. Mais je m’abstiens et dévore les granulés dès que la porte du box se referme derrière ce gars. Mmm ... délicieux. Je bois deux longues gorgées d'eau puis commence à taper avec mes antérieurs dans la porte de mon box. Les cow-boys -aussi bête soit-ils- ont appris que, quand je tape dans la porte du box, cela veut dire que je veux aller au pré. Ils ont essayé d'ignorer plusieurs fois ce comportement, mais ils ont craqué à chaque fois. Soit je devenais totalement insupportable, enchaînant ruades et coups de cul *oui,oui dans le box*, soit je tapais tellement fort que la porte menaçait de tomber. Maintenant, dans la seconde qui suit ce geste, un cow-boy est là, avec un licol pour m’amener. Je me laisse faire, car j'ai vraiment trop envie d'y aller. »

• « Nous arrivons là-bas dans les cinq minutes. Je scrute mon pré, et, pour la première fois depuis trèèèès longtemps, il n'y a personne à l'intérieur, je serais donc seule. Personne à qui parler, personne avec qui faire des courses effrénés au grand galop. Le cow-boy me lâche dans l'étendue d'herbe, mais ne s’attarde pas. Je me dirige vers le centre de l'enclos, là où se trouve une grosse botte de foin et des carottes. D'ailleurs, c'est bien la première fois que j'ai des carottes. J'en prends quelques unes, pour commence à brouter l'herbe. Quelques minutes plus tard, une autre jument arrive. Ma voisine de box d'ailleurs. Nous parlons pendant pas mal de temps, jusqu'à ce qu'un élément vienne perturber la journée, du moins Ma journée. Ce qui semble être un étalon sauvage vient vers la clôture et l'ouvre d'un simple coup de nez. Il ne semble ni m'avoir remarquer moi, ni ma compagne de paddock. Je le regarde entrer, sans oser dire quoi que ce soit.
  
  - "Alors c'est qui qui a peur des stupides cow-boy maintenant?"
  
  A qui parle t-il ? Je ne sais fichtrement rien. Mais, en tout cas, à ce moment là, il se retourne. Je mets quelques instants avant de comprendre que ma camarade s'est caché derrière un arbre, loin de moi. Je plisse les yeux et dit prudemment :
  
  - "Bonjour ..." et, à la suite, sans pouvoir me retenir plus longtemps "Qu'est ce que tu fais ici?" »

• La jument, elle, n'a pas l'air méfiante du tout à croire qu'elle est complètement naïf.. enfin d'après Rohan. C'est surement là a la fois le point fort et le point faible des solitaires comme lui, se méfié de tout et de rien. L'étalon garde une certaine distance tout en dévisageant la jument pie de haut en bas et tourna vivement la tête de droite et de gauche pour être sur qu'aucun humain ou autre étranger ne se trouver dans les parages. Il lança un regard froid avant de répondre simplement d'un ton plutôt neutre et plat
  
  -et pourquoi n'aurai je pas le droit d'être ici ?
  
  Encore une fois, depuis maintenant quelques années, Rohan resta distant voir impoli malgré le fait que la personne en face de lui soit une jument. Il se contenta de remettre le nez a terre pour arracher quelque brins d'herbe juteux que les humais faisait poussé en abondance sur leurs prés. L'étalon crème releva la tête et dressa les oreilles puis une fois qu'il comprit qu'il n'y avait rien a craindre (pour l'instant) il se remit a mâchouiller tout en regardant la jument de bas en haut. Des jambes fine blanche avec des taches brune sur tout le corps, des yeux d'où se retroussé de long cil et des pupilles azur... depuis combien de temps Rohan n'avait il pas vu de jument ? Un bon moment surement.. la plupart des juments ne sont pas des solitaires et sont gardés jalousement par les dominants des troupeaux, il paraît que les troupeaux c'est la sécurité.. aller savoir pourquoi, en tous cas Rohan c'était toujours débrouillé jusqu'à présent. Il scruté la jument discrètement (ou pas) et, histoire de se remettre les idées en place de lui même, il fronça les sourcils et trottina vers le sceau de carotte en s'exclamant.
  
  -Je ne comprend pas comment tu peu te sentir en sécurité ici avec ces humains qui manipule la vie des chevaux ! ce n'est pas comme un troupea..... aaaie..
  
  L'étalon a tête noir se baissa et se stoppa net, il avait oublier la blessure de tout a l'heure et il râler intérieurement de se montrer faible devant une jument cow boy surtout qu'il était question d'une blessure idiote qui avait était causer par inattention. D'ailleurs en venant profiter des prés et des carottes de ses bipèdes Rohan prenait en même temps la dette que ceux ci lui devait. Il se remit vite d'aplomb ne voulant pas jouer la chochotte avec la première rencontre de sa journée, voilà qu'il n'aurait pas du faire le malin trop vite ..
  
  -Une egratignure avec des arbres..c'était pas malin de ma part hrum..

• «Pendant que j'attends la réponse à ma question, j'aperçois une ecchymose sur le flanc de ce jeune étalon. Je me demande bien ce qu'il s'est fait. Je le toise de plus belle. Sa robe est d'un crème étrange, que je n'ai pas eut l'occasion de voir souvent. Il me répond un truc du genre "j'vois pas pourquoi je pourrais pas être ici" qui sonne à mes oreilles comme un "qu'est ce que ça peut bien te faire?"» Je tape mon sabot sur le sol. Pour qui se prend t-il ?
  
  "Excuse-moi, mais il semble que tu es dans ma pâture, et que tu manges mes carottes et mon herbe.
  
  Qui a dit que je n’étais pas possessive ? Je ne juges pas utile de dire que ce ne sont pas vraiment que mes carottes, parce que ma voisine de box est aussi là. Mais elle se cache... comme une froussarde. De toute manière, il ne semble pas retenir la remarque Je sens qu'il pose à intervalle régulier des regards. Je ne relève pas ses regards et le laisse faire. J'attends qu'il reprenne la parole. Il trotta gracieusement jusqu'au seau remplie de carotte et fourre ses la moitié de sa tête dedans. Il commence déjà à m'énerver.