Spirit Nouvelle Epopée
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♣ Le chemin de fer est terminé. Les cow-boys seraient-ils sur le point de partir ♣
 
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 Un nouveau départ [à tous les cow-boys]

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April
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April
    Co-fonda' - Mais comment tu fais ?

April


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MessageSujet: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeDim 27 Mai - 20:22

[Kim]

Stan arrive, l'air affairé. La baie s'étonne mais laisse le blondinet s'agiter autours d'elle. Il la panse minutieusement, fait son box et la sort. Tous les chevaux du fort sont en train d'être sortis. Que ce passe-t-il ? Une capture ? Cela fait longtemps que les humains n'ont pas arrachés d'autres chevaux aux plaines. Une attaque ? Impossible, il n'y a plus d'indiens. Peut-être attaque-t-on le nouveau village tout en bois ? Ce drôle de lieu, où plein d'humains semblables aux cow-boys s'entassent. Peut-être que ce sont de nouveaux indiens ? Mais non, aucun fusil n'est sortit et aucun des hommes ne porte vraiment son uniforme. Il est jeté négligemment sur certaines épaules, à moitié ou encore, pas du tout mis. Le colonel scrute le va et viens des autres.

Stan monte sur la jument, à cru, avec son filet d'attelage. De plus en plus étrange. Il la met au petit trot et se dirige vers la porte. La jument le laisse faire, pensant qu'elle partait en promenade. Mais au lieu de ça, Stan descend et l’attelle. Allons bon. Que ce passe-t-il dans le fort ce matin ?? Une fois Kim bien arrimée aux brancard, le blond charge le grand chariot. Tournant assez la tête, Kim peut voir toutes leurs affaires s'entasser. La selle, le filet, le licol, les couvertures, tapis, sceau et brosses de Kim, la grosse malle à vêtement de Stan et une autre grosse malle, contenant, Kim le savait, couvertures et tente. On déménage ?

Stan fait le tour du campement pendant qu'un jeune tient la bride de Kim, qui ne bouge pas une oreille mais suit des yeux son maître. Certains humains l'accueillent d'un sourire et apportent leur malle au chariot, d'autres haussent les épaules et ne viennent pas et certains, balancent la tête de droite à gauche, avec un air déçu ou neutre sur le visage. Kim est de plus en plus étonnée. Et son étonnement ne fit qu'augmenter lorsqu'un autre trait fit son apparition, attelé à un gros chariot. La baie se tourne vers lui.

" Bonjour, je ne vous ai jamais vu ici. Je suis Kim. Savez vous ce qui se passe ?

- Bonjour Kim, je suis Néro. Il se passe que je suis venue t'aider à emporter les affaires des humains. Le fort part, tu n'as pas oublié ?

- Il y a qu'on ne m'a pas mise au courant. Merci Néro."

Le trait la salue à nouveau d'un signe de tête et part avec son humain. Les informations se bousculent dans la tête de Kim. On part. Il n'y a plus de fort. Mais où va-t-elle aller ? Et Stan ? Où va-t-il vivre ? Comme pour répondre à sa question, le blond arrive et caresse la tête de la baie.

"Alors Beauté ? Contente ? Tu verras, la ville est superbe et nous y seront très bien."

Donc, si elle comprenait bien, ils allaient vivre ailleurs. Mais ailleurs où ? Où était cette ville ? Dans la montagne ? Dans les plaines ? Dans le canyon ? La baie n'en n'avait aucune idée en fait.
Après tout, elle faisait confiance à Stan. Il avait toujours été bon avec elle, jamais brutal, toujours juste. Il trouverait bien la nouvelle maison de Kim.

Lorsque le colonel prit la parole, tous se tournèrent vers lui pour l'écouter.

" Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

Des murmures de surprise parcoururent les chevaux. Ainsi, il y avait ceux qui restaient avec la cavalerie, ceux qui partaient à la ville et ceux qui étaient... relâchés. La jument voit dans le regard de certains du rêve. Les plaines, à perte de vue, aucun homme pour les contraindre. Elle comprenait le souhait de beaucoup. Mais elle, elle était heureuse d'aller " à la ville". Si elle y allait, c'est que c'était le mieux. Le colonel reprit la parole.

" Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots."

Après cette annonce, une certaine effervescence s'empare des hommes. Les chevaux qui partent sont amenés vers elle et Néro, qu'ils soient sellés avec un cavalier ou licolés, attachés à d'autres. Dans les pré, la plupart des chevaux affichaient un air neutre, ni contrariés, ni ravis, hors-mis quelques uns. Enfin, un rassemblement de ce qui devait être les chevaux "inutiles" se créa. Lorsque tout le monde eu trouvé sa place, Stan et l'autre homme mirent Kim et Néro au pas, en direction de "la ville". Du regard, Kim cherchait son amie, Sheryl, quelque peu alarmée à l'idée de savoir que cette jument si délicate ne soit relâchée dans un milieu hostile. Mais d'un autre côté, elle se raisonnait. Castiel avait suffisamment de bon sens pour ne pas livrer la belle à n'importe qui et n'importe quoi. Enfin, elle aperçoit la silhouette de la jument et lance un hennissement tonitruant a son adresse, faisant sursauter une jument blanche et noire, visiblement stressée au milieu de tout ce beau monde.

Un bruit de galopade se fait entendre après qu'ils aient marché une centaine de mètre. La plupart des chevaux se tournent et ils peuvent apercevoir le nuage de poussière que forme un groupe de chevaux lancés au galop...
Après une heure de marche environs, les abords de la ville se dressent. Kim accélère le pas et une certaine excitation gagne les hommes. Leur nouvelle vie, elle approche...

[A vous maintenant d'adapter vos réponses. Si votre chevale st relâché, faite le partir à la fin et si il part avec le régiment, faite le partir le lendemain, au bout de votre réponse (;]
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Boobear
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeDim 27 Mai - 21:33

|| Rp en Bridgess.



Excitation générale dans le fort. Bridgess se réveille en sursaut et tombe nez à née avec Ulrik . Voilà trois mois qu'il la maltraite sans cesse . Pourquoi ? Allez savoir . La petite isabelle se laisse faire mais ne laisse pas faire sa colère . Voilà son petit pansage très rapide de la matinée . Bien trop rapide , c'est bien étrange . Il lui met son licol et la sort . Dehors tous le fort bouge . Bridgess panique .

Elle reviens en arrière dans ses souvenirs et se rappelle . Un étalon lui avait parlé de cette journée . Le fort allait être vidé. Elle avançait et scrutait le lieu à la recherche de Natsu . Elle ne se voyait pas partir sans lui . Son ancien cavalier s'approcha d'elle . On lui avait retiré sa garde quand Nat' etait venu au monde . Il la prit dans des bras et la caressa . Des mots doux sortait de sa bouche . Elle l'avait toujours adoré cet homme si gentil. Le colonel finit par prendre la parole:

" Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

Les chevaux se mirent à discuter entre eux quand Ulrik la lâcha avec un " Adieu " pleins de sanglots . Bridgess releva la tête et aperçus son fils . Elle s'échappa vers lui et le cajola peut etre pour la dernière fois. Si cela arrivait , perdre d'abord Yeko puis son fils , la petite jument ne survivrait pas. Elle pleurait pensant au pire .

" Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots."


Bridgess fut emmené à l'endroit des inutiles . Un souffle de soulagement puis un grand sourire . Voilà , elle partait enfin mais tellement les chevaux etait entassés , Bridgess avait peur de tous . Son cavalier lui mit un bandeau sur le visage et la prépara au départ . Elle ne sentais pas si elle avait son poulain à côté d'elle. Soudain , une tape sur la croupe et la demoiselle part au galop . Le vent décrocha son bandeau et vit Natsu.


[ Bridgess devient une solitaire ]

PS: désole pour ce rp minable >.<

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Lulut

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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeLun 28 Mai - 10:22

  • Pillut

  • La veille au soir, je suis venu rendre visite à Margaux. Celle-ci m'a finalement attrapé, cela ne me dérange pas plus que ça... Je sais qu'elle a compris que je n e voulais plus de cette vie... Et qu'à la première occasion, je retournerai loin, mais je suis venu lui faire mes adieux, enfin ça c'est ce que je croyais... La veille, elle m'a rentré dans un box, m'a longuement pansé et à dormi dans mon box, à mes côtés, comme avant qu'on arrive ici... J'ai prévu de repartir dans trois jours, Monday est parti pour un petit bout de temps, j'ai donc tout mon temps. Enfin ça aussi c'est ce que je croyais...

  • Car au petit matin, nous sommes nourri en vitesse. Les cow-boys sont tous sorti et transportent caisses, sacs de couchages, sacs de vêtements et même de petits meubles. C'est à ni rien comprendre ! J'aperçois Margaux, elle aussi transporte des mâles, et celle qu'elle a sur le dos, c'est la mienne... Mais qu'est-ce qu'il se passe enfin !
    Des cheaux sont sortis, certains sont sellés, d'autres n'ont qu'un licol, deux chevaux de traits sont attelés à d'énormes chariots... Je regarde autour de moi, sentant que j'allais aborder un grand tournant de ma vie...

  • Margaux arrive vers moi, elle a ma selle sur les bras ainsi que ma bride, je n'hennis pas, ma place n'est pas ici, elle doit l'accepter... Elle pose tout ceci à côté du box et entre, elle me panse longuement, me soigne les pieds, taille un peu mes crins abîmés... Elle me parle d'avant, elle me dit que j'ai été un cheval exemplaire, qu'elle était heureuse de m'avoir sauvé...
    Mais enfin, ou veut-elle en venir? Je pose ma tête contre son bras. Je reste plusieurs minutes ainsi, sans bougé. Puis elle prit ma tête dans ses bras et éclate en sanglots. Surpris, je lui lêche le coude... Toi aussi tu as été une cavalière exemplaire, tu ne m'as jamais battu, jamais frappé, même quand je te faisais des coups. Tu m'as offert la vie...
    Tout cela, je voudrais le lui dire, je voudrais qu'elle l'entende... Elle relève la tête, je vois dans ses yeux une lueur inconnu, la reconnaissance... C’était comme si elle m'avait entendu, compris...
  • Elle me sort, ne me selle pas, un appel du commandant retenti:
    " Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

    Margaux me sert fort, très fort. Elle m'emmène avec d'autres chevaux, qui attendent, je crois que je vais être relâché...

    " Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots."

  • Margaux me serre très fort elle monte sur mon dos et me fait un câlin, puis on trotte autour du groupement de chevaux, elle chante en même temps, puis on galope, doucement, je cadence mes allures, Margaux continu de chanter. Je me sens triste soudain, Elle m'a beaucoup apprit et je ne lui ai même pas été fidèle jusqu'au bout... Puis elle s'arrête de chanter, e ralentis au pas, nous continuons de marcher autour du groupe... Puis elle descend, on l'appelle, elle approche de l'homme en me tenant, doucement, elle denoue l boucle de mon licol, doucement, elle le fait glisser au sol, doucement elle me caresse.
    -Ne m'oubli pas Pillut, j'en ferrais de même pour toi... Elle recule, jusqu'à ma croupe, me caressant du bout des doigts, elle me claque la croupe surpris, je tressaillis et la regardait, elle pleurait, je me retournais et me collais contre elle, puis doucement je partais au pas vers ma nouvelle vie, seul.

[Pillut devient solitaire]


Dernière édition par Pillut le Sam 23 Juin - 10:44, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeLun 28 Mai - 10:45

C'était le bazar dans la colonie des humains. Depuis l'aube les hommes n’arrête pas de faire des va et viens. Il porte tous des malles. Rassemble les chevaux en plusieurs groupe. Mais que se passe-t-il?
Un homme que je ne connaissait viens me passer un léger coup de brosse avant de m'emmener avec les autres chevaux. Je ne reconnaisse personne. Aussi, il faut dire que je n'ai pas connu grand monde. Je balayais du regard tout les chevaux m'entourant. Je ne voyais pas ma mère.
Tout le monde se bousculer sans cesse quand la voix du colonel résonna.

"Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés"

Les chevaux se mirent à parler de plus en plus fort quand un calin vient me réconforter. C'était maman. Elle semblait triste. Moi, je ne comprenais pas se qui se passait, mais je sais que je suivrais ma mère jusqu'aux bout. Désormais, elle pleurait. Pleurait pour une raison que j'ignorais sans doute.
La voix résonna encore.

"Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots."

On nous sépara ma mère et moi. Puis on m'amenais a un grand rassemblement de chevaux. Ils étaient tous entassé les uns sur les autres. Mais je réussi a trouver un coin où personne ne risquait de m'écraser. L'homme qui me tenait toujours me détacha soudain et tout les chevaux partirent au grand galop. Je repéra ma mère qui portait quelque chose sur les yeux. Je me rapprocha d'elle. Je galopais. Galopais vers ma nouvelle vie, libre et sans contrainte.

[Natsu devient solitaire]
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Xaalan
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeLun 28 Mai - 11:14

Supeedonoeesu
Ce matin-là les humains et chevaux étaient vachement agités, je en comprenait pas bien ce qui se passait. Ce que je savais c'était juste que j'étais fatigué et qu'avec leur boucan je ne pouvais pas me reposer. Finalement un palefrenier est passé dans mon box. Comme a mon habitude j'avais les oreilles en arrière et faisais mine de le mordre. Comme s'il n'avait plus peur il s'est avancé vers ma mangeoire, et ma donné mes grains. J'étais frustré, on ne m'ignore pas impunément. Et un coup de sabot dans le dos oh moment où il est sortis l'a fait partir vite fait. J'ai mangé assez pour me remplir la panse jusqu'à ce que Luke arrive. Lui c'est vraiment celui que je préfère d'humain. Il était bien plus sympathique. Il m'a mis un licol et m'a sortit. Ce qui m'a frappé était qu'il n'avait pas l'air bien. IL avait même l'air triste. Pourquoi ? Etait-est-ce en rapport avec l'agitation des autres ou quoi ? Et puis j'ai entendu cette voix:

" Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

Partir ?
Et puis c'était les cavaliers qui décidaient ? J'ai alors compris pourquoi il avait l'air si triste Luke. Avait-il choisis la dernière option. Il m'a alors expliqué, comme ça, que les autres pensaient que j'étais inutile, et que lui préféra me relâcher aussi, car j'avais l'air de ne pas les aimer. J'ai collé ma tête contre lui, comme pour lui dire que ça va aller, mais je crois qu'il avait pris sa décision. Il a dit qu'il voulait trouver un autre cheval une autre fois, mais que il en me remplacerais pas. J'ai alors pensé a Sheryl. Qu'est-ce que son humain allait décider au fait ? Je n'allais peut-être plus la voir. Nous qui nous étions si bien entendu la dernière fois et a chaque fois que nous nous croisions. Ah mon avis... avec ma chance habituelle ça allait être le cas. ET puis al voix a encore parlé:

"Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots."

Un homme est venu vers Luke et là j'ai bien entendu. Il allait me relâcher. Alors il m'a mené vers les autres. Comme a mon habitude les émotions ne fusaient pas en moi. A peine si je ressentais de la tristesse. Et puis comme ça je n'allais plus avoir de jalousie inexplicable face aux sauvages vu que j'en serais devenu un. Les chevaux étaient entassés, je détestais ça. Sur le chemin j'ai cru apercevoir Sheryl mais je ne savais pas si elle m'avait vu, et avec un boucan pareil je n'allais pas pouvoir l'interpeler. Et je ne voyais pas l'endroit où elle allait. J'ai tenté de regarder mais a ce moment Luke a défait mon licol, les protes se sont ouvertes et les chevaux sont partis au galop. M'emportant loin.
Adieu ancienne vie... Ou pas.
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeLun 28 Mai - 12:15

[Rose Noire]

*Aïe aïe aïe... Qu'est-ce que c'est que toute cette agitation ??*

De peur et d'angoisse, la jument recule au fond de son box à petits pas, comme si un prédateur l'observait. Alors qu'elle est parfaitement acculée à la paroi du fond, une tête brune se place devant le box. C'est l'Italien.
Il appelle la jument d'une voix calme et douce en tendant la main. Elle se décide et fait un pas en avant, puis un second. Elle est tout près de la porte et l'homme peut lui flatter sa fine encolure. Il pénètre ensuite dans le box et nourrit la Demoiselle. Elle le laisse brosser sa robe, ses crins et mettre en place ses perles. Elle ne bouge pas et se contente d'avaler en fines bouchées. Enfin, il sort après une caresse et s'éloigne.

Rose Noire ne le quitte pas des yeux. Un officier blond s'approche de lui et Lucas lui confie deux malles. Dans la première, une malle relativement jolie, il y a toutes les affaires de Rose. Elle l'a reconnue, cette malle qui la suit partout depuis les shows de Russie. Dans la seconde, elle ne sait pas ce qu'il y a. Lucas l'aide à charger les malles et vérifie qu'elles sont en bon état. Il revient ensuite près du box de la Blanche et écoute ce que dit le colonel.

"Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

L'excitation qui gagne les chevaux n'atteint par Rose. Au contraire. Relâchée ? Elle ? Elle ne connait pas la vie sauvage, elle a peur du monde. Repartir avec le régiment ? Et Sucker ? Et Lucas ? Aller en ville et être employée comme une jument de diligence ? Aucune des idées ne séduisait la Belle. Le colonel prit à nouveau la parole, mais la jument n'y prêta pas attention, trop stressée qu'elle était à l'idée d'être séparée de ceux qu'elle connaissait et qu'elle aimait.
Lucas, qui la détaillait finement, finit par remarquer son stress. Il entre dans le box et caresse la jument. Elle se détend tout doucement, pas entièrement, mais se détend. L'homme prend la parole.

"Tu vas voir ma beauté. Finit le stress du fort, finit le bruit et les agitations incessantes. J'ai trouvé une superbe écurie pour toi dans une ferme. Tu vas être bien et je ne serait pas bien loin. Tu es de loin la jument que je préfère le plus dans toutes les montures que j'ai possédé et je ne vais pas te laisser seule."

Elle n'avait pas tout compris, mais la fait qu'elle allait en ville avec lui, qu'elle serait bien logée et surtout, qu'elle ne serait pas seule, ça elle l'avait compris. Mais Sucker ? Est-ce qu'elle partait en ville aussi ? Ou bien, elles allaient encore être séparées ? L'idée de ne plus voir la brune attristait Rose Noire plus qu'autre chose.

Lucas prend l'équipement de la jument et la selle. Il a attendu, elle le sait, que le départ soit proche pour la préparer afin qu'elle stresse un peu moins. Une fois mort, filet, selle et tapis passés, il sort la Demoiselle et d'un geste souple et léger, s'installe sur son dos. Le fait de sentir le poids de Lucas rassure la blanche. Elle n'est pas seule, pas tout à fait. Elle dance un peu au milieu des autres et Lucas se rend vers le colonel, qui l'appelle d'un signe de tête.

"Prenez bien soin de Rose Noire, cette jument et sa soeur sont certainements les plus délicates qui soient passées ici.

- Bien sûr mon colonel, j'en prendrais bien soin. Au revoir mon colonel.

- Bonne chance Lucas."

Rien de plus. En fait, la blanche n'a qu'une hâte maintenant: trouver Sucker et partir. Lucas la place près d'une grande jument baie, attelée au chariot le plus énorme que Rose Noire aie jamais vu. Elle repère la caisse bleue et dorée contenant ses affaires. Le convois se met en marche. Rose Noire est bien obligée de suivre. Elle ne trouve pas Sue. La baie qui tire le chariot lance un hennissement tellement énorme qu'elle sursaute et relève vivement la tête. Lucas rit de bon coeur avec le blond qui doit être le maître de la baie avant de faire dévier Rose pour l'éloigner.
Elle cherche encore et finit enfin par apercevoir la tête de la brune. Lançant à son tour un hennissement, beaucoup moins impressionnant que celui de la baie, elle se rabat près d'elle et soupire de soulagement. Oui. Elle ne serait plus seule.
Lucas cause à l'autre, un type qui s'appelle Shannon et qui a les chevaux les plus rouge-rose du monde:

" Mec, ça te gêne pas si on laisse les deux soeurs ensemble pour le moment ? J'ai pas envie qu'elle me fasse un infarctus la blanche."

Rose Noire n'en n'a cure. Tout ce qui compte, c'est qu'elle se trouve à côté de sa soeur et que pour le moment, l'avenir se présente sous un superbe jour.

[Rose Noire devient une des juments de la ville]
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Castiel.

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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeMar 29 Mai - 19:55

    #1 — Sheryl.

    C'était l'heure.
    Le glas avait sonné, l'agitation était présente, les sentiments aussi. Le mélange entre l'excitation, la tristesse, la joie, la frustration... Tant d'émotion sur tant de chevaux différent.
    Sheryl était pré-occupée, Sheryl avait... Peur. Elle ne savait pas exactement ce qu'il allait se passer, mais les rumeurs sur la fin du chemin de fer couraient dans les écuries. Elle ne voulait pas être relâchée, elle ne voulait pas être libre, elle ne serait que perdue, entre tous ces chevaux, soumise au moindre volonté des autres... Elle avait juste peur.
    Elle ne savait pas si elle allait pouvoir revoir les autres, elle avait fait connaissance avec d'autres juments, des gentilles demoiselles, comme avec certain étalons. Supeedonoeesu lui revint en tête. Ce mâle, bien gentil, malgré son air sans doute un peu froid lorsqu'ils s'étaient parlé, celui que, elle, elle appelé juste Su'.
    Il allait aller où ? Il allait faire quoi ? Elle allait pouvoir le revoir ? Quelque chose lui prit au ventre, un stress intense et désagréable, qui l'empêcha de manger sa ration du matin.
    Castiel restait près de sa jument. Sa jument. Le jeune homme s'appuyait contre les barrières en bois, fumant tranquillement sa clope du matin, avant que la douce n'aille chez lui, pour, avec toute la douceur du monde, poser son chanfrein contre le torse de l'humain. Celui-ci lui caressa la tête avec tendresse, avant de doucement rigoler, et de lui intimer de le suivre.
    Il fallait y aller.
    Toute une troupe, postée là; humains, chevaux, chiens... Tous étaient là, et le plus haut gradé, celui qui était nommé colonel, beuglait pour se faire comprendre.
    La jument n'écoutait pas, elle ne savait pas du tout ce qu'il disait, il ne lui servait que de bruit de fond, un parasite dans sa tête, alors qu'elle cherchait, dans la foule, ceux qu'elle connaissait.
    Elle crut, à un certain moment, avoir retrouvé l'étalon au nom bien particulier, et, le sourire revenu de voir une tête familière, voulu engagé le pas vers lui, mais en vain. À peine avait-elle levé le sabot, qu'il était déjà partit, et elle comprit.
    Un partie d'entre eux était relâché. Seigneur, et d'autre allait sans doute devoir rester avec leur cavalier. La crainte l'envahie entièrement, une peur énorme prit possession de son corps. Elle ne voulait pas quitter Castiel. La douce se recula alors collant son encolure contre le bras de l'humain. De son humain. Celui-ci se mit à sourire, caressant la tête de la jument toujours avec douceur et tendresse.

    ‹‹ No stress' donzelle, je te garde avec moi. Le jour où tu me quitteras n'est pas près d'arriver; t'es bien trop extraordinaire comme bestiole que pour que l'on te relâche. ››

    Un petit rire amusé suivit ses paroles, comme si, au cas où la jument voulait fuir, il le montrait comme une blague. Les fines oreilles courbées de la miss pointèrent vers l'avant, et d'un geste de la main, l'homme lui fit comprendre de la suivre.
    La douce lui emboîta le pas, pressée, manquant de lui marché dessus, tellement elle avait peur de le perdre. L'homme rigolait, il trouvait cela à la fois amusant et touchant. Il prit un sac, un simple sac kaki, assez gros, et le posa près de la jument, et lui intima de ne pas bouger.
    Rapidement, il alla chercher sa selle et son bridon, pendant que celle-ci aperçu la silhouette de l'étalon verdâtre partir avec les relâchés. Oh, il était donc libre... Là, elle grimaça; elle n'allait sans doute plus le revoir. Lorsqu'ils étaient relâché, souvent, ce n'était pas pour revenir près des lieux habités par les humains.
    La brune baissa la tête, et ferma les yeux, laissant son humain la seller et la préparé, avant qu'il ne se mette en selle, avec son sac, et partirent comme des voleur. La villes n'était pas loin, pas loin du tout, et une fois arrivé là, ils allèrent un peu plus vers sa périphérie, dans une espèce d'ancienne ferme, bien trop grande pour être juste à eux deux dedans; les autres sacs posté sur le pas de la porte confirmèrent les pensées de la jument; ils allaient avoir des colocataires.

    #2 — Kid.

    #3 — Sue'.
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Ambre
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeVen 8 Juin - 18:46

× Avoine

Le temps passait vite aujourd'hui. Je ne savais pas exactement ce qui se passait par ici, mais une chose était sure, c'était qu'ils pliaient le camp. Oui, le chemin de fer était enfin fini de construire. Tant mieux, moins de boulot pour nous... Alors que je commence a avoir faim, Matthias, mon super copain, vient me voir, me caressant le front. Je le sens triste. Pourquoi est-il comme-ça ? Hein ? Je m'inquiète, et je hennis doucement à son attention, relevant la tête pour souffler dans ses cheveux châtains et boucler. Il n'est pas raser, comme toujours... Il aime bien sa barbe de trois jours, je le sais. Ses cheveux mal coiffés, comme d'hab', encore une fois... C'est tout lui, quoi. Mais pas aujourd'hui, je le sens différents.

Alors qu'il me repousse doucement et qu'il se dirige vers mon licol rouge - mon préférer, le seul que je tolère sur mon museau - je commence à regardait le fort. Les cow-boys laissent plusieurs chevaux dans le pré, pus d'autres sont monter, plusieurs bagages sur leurs dos, et d'autres sont... Sont relâchait. Non. Non ! Je ne veut pas être relâcher... C'est les seuls que je connais, les seuls que j'aimes...

Alors que Matthias me passent le licol, je hennis méchamment à son attention et je baisse les oreilles. Pourquoi veut-il me laisser toute seule dans cette nature sauvage ? Je n'ai jamais connus ça, jamais sauf une fois, et j'ai faillis y passer. Je ne veut plus y retourner ! Il me pousse, frappe des points, me parle doucement et recommence plus viollement. Mais je n'avancerais pas. Alors, une de ces paroles me rassures :

-" Ma belle, ma douce, ma rebelle, je ne te laisserais pas, je t'aime trop, et je ne veut plus perdre d'autres chevaux..."

Et moi, comme une couillonne, je le suis, j'avance jusqu'à la grande porte. Là ou d'autres chevaux ont étaient lâcher. Je rebaisse les oreilles, le regarde avancer quand même, tirant de toute ses fortes. C'est alors que pour la toute première fois depuis que je le connais, je le vois pleurer, je le vois me hurler dessus :

- " Bon, Avoine, tu bouges tes fesses et plus vite que ça ! Je ne veut pas que tu meurs en ayant rien foutus de ta vie à part tirer et porter des humains ! Je t'aime énormément, presque plus que Thaïs, et je regrette qu'elle soit morte à cause de la liberté, alors toi, tu vivras la liberté ! Est-ce bien clair ?! "

Je baisse la tête et les oreilles en tant que soumission, et j'avance, tandis qu'il tien la longe fermement, très fermement. Je ne l'avait jamais vu ainsi, jamais... J'avance encore, et puis soudainement, alors que je regarde mes sabots avancer d'un pas lourd, je heurte Matthias, qui est de dos. Il se retourne et je vois enfin son visage.

Il pleure, ses larmes coulent sur ses joues. Je n'aime pas ça, non, vraiment, je n'aime pas le voir pleurait. Lui qui est si fort d'habitude... Je relève la tête et souffle sur son visage. Un sourire triste s'affiche, et il regarde derrière mon épaule. Je me retourne pour voir se qu'il regarde et je me rend compte que nous sommes loin, très loin du fort. Je me retourne vers lui, et il m'enlève mon licol, oui, MON licol rouge. Il n'est qu'à moi, à personne d'autre ! Il met alors son front contre le mien. Je sens ses larmes venir se déposaient sur mes joues. J'enlève ma tête et je hennis doucement.

Il se place alors derrière moi et fait claquer la longe contre ses bottes. Je me cabre et je part au grand galop. C'est ce qu'il voulait, alors je part, je m'en vais vivre ma vie au rythme du vent... Adieu Matthias, adieu les gens en bleus, je vous aimes... [/font][/color][/size]


Dernière édition par Ambre le Ven 23 Nov - 18:18, édité 1 fois
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April
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeVen 6 Juil - 10:32

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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeVen 6 Juil - 12:19

Babylon



♦ Lève toi ! Debout tout le monde ! Debout Babylon ! Tout s'agite autour de toi mais toi tu ne perturbes pas ton train train quotidien. Tu te lèves et tapes à la porte de ton box comme un abrutis. Un cavalier se précipite vers toi et te passe un coup de brosse après avoir mis ta mesure de grain dans ta mangeoire. Il te met enfin ton licol et tu bronches. Tu n'aimes pas avoir ce machin autour de ta tête grise foncée. Tu as l'impression d'être un chien enchaîné à jamais contre ces bestioles sur deux pattes

♦ Il te sort en te tirant mais une fois que tu as vu l'ensemble du fort étalé dans la carrière, tes jambes deviennent molles et il commence à faire des tours au milieu des autres. Il discute par-ci par-là sans même s'arrêter puis finalement s'arrête au milieu. Dehors c'est la folie totale, les cow-boys ne sont pas vétu de leur tenue horrible. Pour certains elle n'y ai même pas, pour d'autres elle est à moitié mise. Le colonel prend enfin la parole, s’adressant à l'ensemble des cavaliers désarmés.

" Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

♦ Tu t'en fiches complètement de ce qui dit mais tu n'as pus t'empêcher t'écouter. Il avait résumé l’afflux de chevaux dans le même lieu et éclaircit tous les troubles dans ta tête. Mais tes pensées divaguent encore sur ce que tu vas devenir. La liberté, la ville ou encore un fort ? Tu n'arrives pas à réfléchir avec tous le raffut que font les autres chevaux.

" Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots."

♦ L'idiot qui te tient t'attache à un piquet de sellage et va chercher des affaires. Il te selle vite fait et va déposer ses affaires dans une charette. Il revient te chercher et monte sur ton dos après une légère tape sur l'épaule. Il t'emmène alors tranquillement vers les deux chevaux attelés.

- Voilà mon grand. Dis adieu au fort et bonjour à la ville. Mais sa ne sera pas moi qui te garderait.

♦ Tu hennis de joie, enfin tu vas quitter ce lieu monstrueux et rejoindre un endroit ou les chevaux sont traités nettement mieux. Mais dès que tu repenses à ses dernières paroles tu deviens plus sombre et froid. Tu l'aimes bien ce p'tit idiot maladroit. Maintenant, tu attends que le convoi parte pour commencer une nouvelle vie.

[Babylon devient un étalon de la ville]
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeSam 7 Juil - 22:41

« Je suis libre ? Mais ... »
_________________________
Rp groupé.

Tout est arrivé vite, beaucoup trop vite … Ce matin, en me réveillant, je découvris avec stupeur que plusieurs hommes entraient dans les boxs et allaient chercher les chevaux. Encore qu'ils aillent en chercher quelques uns, d'accord, mais là, c'était carrément tous les chevaux ! Passant la tête par dessus la porte, j'observai ce qui se passait sans comprendre. Certains chevaux paraissaient agités d'autres parfaitement calmes. Mais qu'est – ce qu'ils font à la fin, là ?!! Frappant le sol de paille de mon box, je grognai. Je n'aimais pas ne pas savoir. Et, ou était mon papa ? Ou était ma maman ? Ou était mon frère ? Je cherchai rapidement les membres de ma famille sans les voir apparaître dans mon champ de vision. Je hennis, croyant qu'ils allaient tous m'abandonner ici. Des hommes en uniforme bleus tournèrent la tête vers moi. Ils échangèrent deux trois paroles mais ne vinrent pas dans ma direction. Mais pourquoi moi, je n'étais pas prise comme tout le monde ? Olalala, quelle journée, je vous jure ! Je veux vivre une nouvelle aventure moi aussi ! Restant derrière la porte de mon box, impatiente de comprendre et connaître ce qui se passait, j'écoutai attentivement ce que disais les officiers. Ils parlaient de ranger les chevaux, de ville, de liberté. Liberté ! Ce mot sonnait tellement bien à mes oreilles. J'avais beau beaucoup aimé la vie que je menais au fort, je rêvais de connaître la vie à l'extérieur, comme les chevaux sauvages. Lorsque je rêve, je vois mon papa qui me montre tout sur le monde extérieur. Seulement, aujourd'hui, mon père n'est pas là …

Enfin, un homme vint de ma direction. J'étais toute excitée. Oui, oui, je sais, ce n'est pas raisonnable de ma part ; mais imaginez, une nouvelle vie, de nouvelles choses, c'est passionnant ! C'est déjà plus passionnant que mon box tout vide avec de la paille où je tourne en rond tous les jours ! L'homme qui arrivait était jeune mais pas beau. Il attrapa un bout de mon licol et accrocha une longe. Viens ma belle, viens … Je me laissai faire, toute contente de sortir de mon box. D'un pas pas du tout hésitant, je marchai aux côtés de ce moche homme et attendait que mon sort soit jeté. Un autre homme me regarda, se grattant la barbe. Huuuum, qu'allons – nous faire de celle – là. Elle pourrait servir en ville, non ? Mais je sais pas. Elle n'a aucune expérience et peut – être personne ne la voudra. Peut – être la liberté est mieux ? Non ? Je ne sais pas … Elle est toute mimi, il y a bien quelqu'un qui la voudra. Aaaa non, moi je veux partir et découvrir le monde. Fixant le bonhomme à la barbe avec les plus beaux yeux de monde, j'essayai de pleurer. Ce dernier semblait touché. Il finit par ajouter : Bon aller, laissez – la partir … Les hommes ne rouspétèrent pas et m'emmenèrent aux portes du fort.

Enfin, enfin, enfin, enfin !! Je souris Bêtement peut – être, mais je souris. C'était une nouvelle vie qui s'offrait à moi. J'allais découvrir ce que le monde cache et réserve, comme dans les histoire de papa ! Seulement, je n'étais pas encore libre. Ma liberté tenait au bout de cette fichue longe. L'homme qui m'amena me caressa l'encolure, et j'avoue que ces douces caresses vont me manquer ; mais la liberté m'attend ! Olalala, j'ai tellement hâte. L'homme murmura de délicieuses paroles à mon oreille, mais je n'écoutai pas, regardant la plaine plus loin. Aller, lâche moi maintenant, s'il te plait. L'homme lâcha ma longe, me détacha et je partis au galop !La crinière au vent, les yeux emboués par la joie et le sourire aux lèvres. Je hennis tout de même de joie, envoyant des petits coups d'œils au fort. La vie d'avant me manquera ; un peu, mais celle qui m'attend sera encore meilleure, je le sens !


{* Lyra devint solitaire. (; }
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeLun 9 Juil - 13:58

    || RP en •Tu


    Une grande agitation reignait dans tout le fort. Encore des jeux? Me demandais-je en m'aprochant curieusement de la la porte. Mais bien au contraire l'ambiance était bien plus morose. Certain chevaux était amassé dans un prés, comme du vulgaire bétail, d'autres, plus fort, étaient attaché a d'éspèce de charrues sur deux roues, un grand convois se préparait devant la porte d'entré. Des valiser et d'autres bagage était entassé sur une des charrues, ce qui ne me disait rien qui vaille. Un départ? Et moi j'allais où? Dans l'inquiétude je me colla a la parois de mon box fixa l'extérieur d'un oeil suspicieux. Quand soudain Kyle apparue d'un bond a ma fenêtre je sursauta et le jeune garçon se mit a rire de bon coeur. Il entra dans mon box un licol en main et me caressa le chanfrein.

    _Hahaha! Je t'est eu!

    Je détestait quand il fesait ça. Si bien que je lui donna un coup de tête sur l'épaule. Normalement, il serait parti en courrant. J'ai connu Kyle comme un garçon peureux avec qui je pouvais jouer et embêter sans arrêt. Mais maintenant il a prit confiance en lui, et sans vouloir me vanter c'est surement grâce a moi. J'aimai beaucoup se petit bonhomme, il était gentil avait moi et me respectait. Pas comme les autres soldat qui traitait leurs chevaux de vieille lingettes qu'on pouvais utiliser et puis jetter. Mais aujourd'hui Kyle était plus heureux que d'abitude. Il souriait consament et bizzarement n'était pas en tenue réglementaire. Il était vêtu d'un pull vert a motif et d'un pantalon style baggy qui pendait. Il me passa le licol tout sourire et me donnant comme d'abitude une petite tappe sur l'encolure. Je frafouillai dans ses chevaux blonds et l'enfant ce mit a rire - enfin enfant, il a 17ans quand même-.


    _C'est le grand jour aujourd'hui! Dit il joyeusement.

    Il me conduit dehors où je put constater que tout le monde était de la même humeure que Kyle. Tout le monde souriait s'embrassai, se disait au revoir. Kyle salua quelques compagnons sur le chemin et me tenant fremement prêt de lui. D'un regard furtif j'exmainait tout autour de moi. Il me mèna jusqu'au prés, hors de question que je rentre dans cette boite a sardines, je l'interogea du regard.

    _C'est le départ ! Tu vas retrouver ta liberté mon grand! Ta liberté! Ma liberté? C'était pour rire ou bien il était serieux? Moi je retournerais au Canada et je continuerais mes études de médecine.

    Kyle me parlais souvent qand il fesait mon pansage, jétait un peu son confessoire. Il avait été engagée de force a l'armé alors qu'il allait entamé ses études de médecines, il aurait voulu devenir vétérinaire ou médecin. Mais tout ses rêves furent briser a cause de ça. Il était un peu le bouc emissaire au debut.

    J'était tout éxité, pouvoir galloper dans les plaines a nouveau, et...Revoir ma famille! Kyle ouvri la porte du prés quand soudain on lui arracha ma longe des mains: Le sous-officier. J'ai toujours eu cet individu en horreur, je le détestai, il avait faillit m'exploser les rotules et il fesait tout pour me pourrir la vie, ainsi que celle de tout les chevaux d'ailleurs. En le voyant je plaqua mes oreilles sur mon encolure, et fit mine de lui mordre les doigt. Il me repoussa d'un puissant coup de coude et se tourna vers Kyle:


    _Qui t'as autoriser a relâcher cet bestiole blanc-bec?
    _Mais, je...
    _T'imagine une seconde le blé qu'on pourrais s'amasser en vendant cette bête? Regarde un peu sa robe!


    Quoi? Moi vendu? Comme un simple objet? JAMAIS! Je tira sur la corde de toute mes force mais le sous-officier me ramena a l'ordre d'un coup sec. C'est a se moment que le colonel passa.

    _Que ce passe t-il ici? Jim, que faite vous a cette pauvre bête?
    _Cet abruti voulais libèrer la truite bleue!
    Dit il en fesant un geste de main désinvolte vers Kyle, qui regardait piteusement par terre, il avait toujours eu une peur bleu du cololel.
    _Ce cheval apartient a l'armé Jim, il seras vendu au enchère en ville comme les autres...
    _Mais chef...
    _A part si vous , Kyle désirez le racheter...


    Je jetta un regard a Kyle, il devait m'acheter, je le supplia des yeux. Mais je savait qu'il n'avait pas d'argent, une chance que l'armé lui payait le voyage en train. Il secoua la tête honteusement. Le colonel prit ma longe et la donna a Kyle.

    _Alors faitent vos adieu, et amenez se cheval au convois.

    Une larme roula sur la joue de Kyle il se jetta a mon coup et pleura dans mon poils. Je frotta ma tête contre sa joue, "Allez petit homme, resaisit toi!". Il me lança mille excuse tout en prenant ma tête entre ses mains. Il m'attacha a contre coeur au convois. Je regarda mon maladroit petit bloninet s'assoire sur le chariot qui menait a la gare. Je lui hennit de toute mes force, je le vit éclater en sanglot et hurler avant de disparaitre derrière un chemin:

    _J 'ECRIAIT UN LIVRE SUR TOI! JE TE LE JURE!

    Je regarda mon ami partir sur la charue, un sourire en coin. Peu importe ou il allait il réalisera son rêve...


[•Tu seras vendu en ville]
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeDim 15 Juil - 8:30

Caprica

Ce matin il y a tant d'agitation mais que ce passe t-il a la fin ? Tout le monde se bouscule, demande de laisser passer. Je suis dans mon box nerveuse comme rien et trépigne car j'ai peur. Pourquoi tu les cow-boys passe devant mon box rapidement, sortent les autres chevaux de leurs box mais pas moi ? Où est martin ? Un cheval passe devant moi énerver, j'aurais voulus lui demander ce qu'il se passer mais je pense que vu le bruit qu'il fait il m'entendrais pas. Je me retourne alors dans le fond de mon box et rumine. J'entends alors un petit pas souple et léger de Martin qui arrive. Je me retourne et va a la porte de mon box et hennis de toute ma bonne humeur. Il est là, a droite qui arrive avec tout le matériel de monte dans les bras. Les oreilles droites et les yeux pétillants de le voir je hennis de nouveau.

- Laaa ma belle du calme j'arrive. -

Il me fis un grand sourire et me demande de reculer pour ouvrir la porte du box. Je le fis et je le laissa me pensé le plus soigneusement possible comme d'habitude. Il démêle mes crins et fait tout propre, fait briller le poil de ma robe et me cure les pieds. Je me laisse faire contente qu'on s'occupe de moi. Puis il m'arnache du matériel qu'il avait prit en venant et qu'il avait poser sur le côté en attendent de me brosser. Après avoir finit de me sangler et de tout vérifier il me sortie de mon box. Je le suivais doucement et sentant une peur dans l'air qui émaner des autres chevaux. Je me demander pourquoi et commenças a ressentir une légère peur aussi en moi. Nous arrivons devant un charriot remplie de bagages. Martin m'attaque un moment a un barre en bois a côté de d'autre chevaux. J'en profite alors pour leurs demander ce qu'il ce passe.

- Il se passe quoi ici ? -


Un cheval gris se tourne alors vers moi l'air étonné et m'explique.

- Tu sort d'où toi ? B'hein les cow-boys partent en ville par'dit ! -


Je crois que j'avais l'air choquer car le gris se mis a ricaner et se retournas de l'autre côté. Quoi ils partent ? Mais et Martin ? Et moi ? Non ce n'est pas possible. Martin revient après quelque instant avec deux grosses malles. Il les met sur le chariots et revient me voir. Il me dit alors avec un grand sourire.

- Alors Capri' chérie t'es prête a aller en ville avec moi ? -


Alors c'est vrai ? La ville ... Sa ressemble a celle que je voyais en France ? Différente ? Je ne sais pas on verras bien. Martin me détache et me fis avancer vers les autres et se met a discuter avec d'autre cow-boys de chose inutiles. Je patiente alors tout en étant nerveuse. C'est alors que le Colonel vient prendre la paroles devant tout le monde. Un bref discourt.

- Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés. Stan et son collègue ont du passer dans les rangs pour vous demander ceux que vous avez choisit. Que ceux qui ne savent pas si il restent au régiment ou s'ils partent aillent voir la liste épinglée sur la porte du fort. Pour tout ceux qui partent, merci de charger vos effets personnels dans les deux chariots. -


En effet un cow-boys était venus voir Martin et lui avait demander ce qu'il choisirait. Il a dit la ville sans aucune hésitation. J'ai peur de me retrouver séparer de mon Martin. Mon cavalier me détacha et me fis aller dans la direction des chevaux allant en ville. Après quelque temps nous prenons la marche en direction de la ville. Après quelque temps de marche qui pour moi sembler longues on voyait une forme noir au loin : la ville. Des hommes se mire a crier de joie et quelque hennissement se fit entendre. Je baissa la tête et n'avais pas la même joie que les autres. Non car je venait d'apprendre que Martin aller me revendre en ville pour pouvoir s'acheter une petite maison et faire sa vie ... sans moi.

♠ Capri' chérie va en ville.
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeDim 22 Juil - 14:19

Orion


Cette agitation était presque insupportable . Plusieurs Hommes entraient dans les box des chevaux et les prenaient . Je regardais bêtement . Ma tendre mère était à côté de moi , je la serrai contre ses flancs en sueurs . Je ne comprenais rien ... Je partis au fond du box et me coucha . Liam tourner bêtement . Au loin je voyais mon père piaffer . Je tremblais dans mon coin coucher . Ma cher mère s'approcha de moi et me renifla . Elle me calma . Je me sentis beaucoup mieux mais je restais tout de même coucher dans le coin de se box .

Devant nôtre box deux hommes s'arrête pour parler . Si j'ai bien compris ils disait que nous allions partir à la ville ? Je ne sais pas se qu'est une ville ! Ils disaient aussi que tout les chevaux seront vendu . Que veut dire vendu ? Pffiou , je ne comprend aucun de leurs mots . Je ne sais pas se qu'est un vendu . Je me lève et vient posée la question à ma mère .

« Dit maman . Que veut dire une ville et un vendu ? »

Elle éclata de rire . J'étais vraiment perdu ... Ho mais attendez ! Perdu et vendu se ressemble . Bizarre . Peut - être que sa le même sens ? Après avoir rigoler . Maman regarda par le fenêtre et me répondit après quelques minutes .

« Orion . Une ville est - un lieux de vie pour les Hommes . Ils ont leurs maison , leurs magasins et pleins d'autre choses . Vois - tu ? Et un vendu comme tu le dit . Est - un verbe . Ce verbe est vendre . C'est assez difficile à t'explique . Prenons exemple . D'accord ? Hum ... Un homme entre dans une boutique . Il voit un très jolie chapeau et le veut à tout pris . Il va voir celui qui lui propose de le vendre et l'achète . As -tu compris ? »

Je cligna plusieurs fois des yeux pour enfin lui répondre que j'avais compris . Maman est vraiment trop forte ! A côté Liam rigoler . Allez savoir pour quoi ! Bon revenons à nos moutons . Donc après les explications de ma mère j'avais compris que nous allions - tout les chevaux - être vendus ? Pour quoi ? Je suis très bien ici dans mon box ... Bref . Un homme s'approcha de nous et ouvrit la porte . Il enfila un licol à tout le monde . Sauf - bien - sûr - à Liam qui refusser . Il peut - être lourd des fois . Après plusieur minutes enfin l'homme arriva à l'attraper .

Après un longue marche nous arrivions à la ville . Je fut émerveillée de se nouveau paysage . Ma mère me souffla dans mon oreille et celle de Liam :

« Vous voici dans vôtre nouveau lieux de vie ... »

en vi[color=white]lle ]



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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeMer 8 Aoû - 19:40

Sweetness :

  • Je n'ai pas fermé l’œil de la nuit, tous ces cow-boys, ces vas et vient incessant. Je sentais que quelque chose dans l'atmosphère de l'écurie était différent. L'attitude des cow-boys l'étaient aussi et elle l'ai toujours. Ils entassent leurs affaires sur d'étranges chariots, tiré par des, sans doute malheureux, chevaux. Je sens que la journée va être épuisante. Je ne remarque pas la présence qui est entrée dans le box, mais je sens que quelqu'un m'attrape la crinière, c'est simple : je botte. Il sort du box très rapidement. Je contemple tous ces chevaux que l'on sort du box avec des licols. Je ne comprends rien, l'étalon se trouvant à côté de moi me regarde, il semble perdu. Je frappe rageusement dans la porte de mon box. Quelqu’un revient avec un licol. Il me l'attache. Mon voisin sort en même temps que moi. Je cherche des yeux des chevaux que je connaît, pour leur parler, pour qu'ils m'expliquent. Les discussions me paressent lointaine, j'essaie de me concentrer sur une seule, mais le brouhaha que fait cette assemblée m'empêche de bien entendre. Le gars qui tient ma longe me fait temps bien que mal me diriger vers le début de la fille. Mes oreilles pivotent de tous les côtés. Personne ne daigne m'adresser la parole. Je bouscule alors le premier cheval venu, puis, après m'être excuser, demande poliment ce qu'il se passe. Je ne comprends pas un traître mot de ce qu'il me dit. J'hôche la tête pour faire comme si je comprenais ce qu'il dit, mais il n'en ai rien. Celui qui le tient en longe l'éloigne de moi. Plusieurs voix s'élèvent en même temps, plus fortes que les autres. On me tire brusquement sur le côté. Des chevaux, de toute sorte, de toutes couleurs, galopent. Personne ne les retiennent, ils vont où il veulent? D'immenses nuages de sable se forment. Apparemment, ils forment plusieurs groupes. Je tire brusquement sur ma longe, mais ce gars avait anticipé. Je donne plusieurs coups de cul, en faisant attention de ne blesser aucun cheval autour de moi. La longe est tirée en avant, je sais qu'il faut m'avancer. Les derniers chevaux sortent au grand galop. Pourquoi me gardent-ils avec eux ? Nous marchons pendant une bonne heure. J'ai la chance d'être à côté d'un hongre qui m'explique où l'ont va. "La ville". Je n'ai plus aucune chance de m'échapper. Trop de cow-boys à l'avant, et aussi trop à l'arrière. Ils me rattraperaient vite, c'est sûr. Nous continuons donc, jusqu'à apercevoir, parmi le sable, une ville. "Et voilà, c'est partit."


Liam :


  • Je me réveille de bonne heure a cause du vacarme qui règnent dans cette écurie. Maman et Orion sont encore endormis toute les deux. Je ne suis pas assez grand encore pour voir au dessus de la porte, mais j'entends. Des hommes qui parlent, qui courent, des bruits de fer. Maman et Orion ne tardent pas à se réveiller à leur tour. Je tourne en rond dans le box. Orion et Maman parlent ensemble, je les entends rigoler à côté de moi, mais je ne suis pas disposé à écouter ce qu'elles disent. Je fais un petit bond en hauteur, ce qui me permet de voir au dessus de la porte et d'apercevoir quatre jeunes étalons donner d'immenses coups de cul. Je rigole alors intérieurement, mais, finalement, de petits rires franchissent ma bouche. Je m'arrête rapidement et me couche dans la paille pour me reposer un peu. Orion et Maman continue de parler. Je ne retient de leur conversation que le mot "vendre" et "ville". C'est donc bien ça, les autres poulains m'en avaient parlé. Nous allons vraiment partir de ce fort... Le loquet de la porte grince et l'instant d'après, un cow-boy munit de trois licols entre dans le box. Orion et Maman se laisse faire, mais c'est hors de question pour ma part. Je lance de petits coups de cul et saut de mouton. Voyant le regard réprobateur que me lance ma mère, je décide de me laisser attraper. Il donne nos longe à un autre cow-boy et nous avançons. Visiblement, nous sommes les derniers sortis. Au loin, je remarque un nuage de sable, et je m'aperçois aussi que nous sommes moins nombreux qu’auparavant. Il tire sur nos longes, nous avançons. Pendant plus d'une heure nous marchons. Après cette marche , nous apercevons une ville. Voilà, notre nouvelle vie commence.

    Sweetness et Liam reste dans la ville (:
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quartzouille
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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeMar 14 Aoû - 12:51




Flowery Powder



Je ne vous parle pas du choc que sa m'a fais quand j'ai su que nous partions. Ce matin mon cavalier était venu me voir en hâte, m'avait pansé soigneusement et emmenée à la carrière le plus vite possible et était repartit chercher toutes nos affaires. Pendant qu'il faisait des aller/retour sans cesse un jeune homme me tenait par la longe en me répétant sans cesse : « Ne t'inquiètes pas, tout ira bien. » Mais je m'inquiétais et de plus en plus. Et puis mon cavalier à cesser de faire ses aller/retour, il m'a regardé d'un air rempli de tristesse. Je ne comprenais pas ce qui se passer. Tout le monde étaient là et semblait attendre. Puis le colonel est venu précédé par son étalon et il a annoncé : « Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés. » Je dévisagea le colonel, alors comme ça les chevaux 'inutiles' gagnaient le droit d'être libérés ! Je regarda mon petit homme d'un air inquiet et il sembla comprendre mes pensées. « Non, toi, toi tu ne seras pas libérée, j'en suis désoler ma petite Flo'. Toi, tu viens avec moi dans le nouveau fort. Avant même que je ne sache quoi penser il m'entraina vers les près ou il me lâcha en attendant le départ. Je regardai les chevaux qui partaient à la ville s'en aller déjà. Ce fut le tour des chevaux 'inutiles'.
A la fin de la journée il ne resté plus grand monde. Tous les chevaux qui restaient se sont endormis tristement. Il n'y avait pas beaucoup de chevaux heureux.
Le lendemain matin nous sommes partis en laissant le fort seul et pour toujours.
('Flower pars au nouveau fort et donc je ne la joue plus')


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MessageSujet: Re: Un nouveau départ [à tous les cow-boys]   Un nouveau départ [à tous les cow-boys] Icon_minitimeSam 22 Sep - 19:51



J'étais réveillé, il était encore tôt. Le sol me brûlait la peau lorsque je m'étais couché contre le sol. J'observais le sable qui se promenait dans l'air par la cause du vent, les mouches firent leurs apparitions après quelques minutes. Elles dérangeaient ma fatigue pendant cet instant précis, je ne savais pas encore ce qui allait arriver, ce gros changement. L'un des cavaliers du fort, avait laissé une phrase comme '' Ça va faire changement, dire qu'on va aller à...''. Mais, je n'avais pas eu le temps de suivre la phrase, lorsque mon cavalier fit son apparition proche du près. Le soleil gardait mes yeux presque clos complètement. Un sentiment de se sentir seul, me prit pendant un instant. Mais, le deuxième sentiment '' fatigué'' vaguait dans mes pensées, je me sentais fatigué. Je laissais ma tête retomber sur le sol brûlant, mais aucune réaction par la suite. J'entendis la porte du près s'ouvrir puis, les pas de celui-ci se diriger vers moi. * Je suis fatigué, laisse moi tranquille... Je veux dormir encore un peu. * Le main du cavalier qui me caressait doucement, voulait-il vraiment que je me lève ? Ne voyait-il pas que j'étais fatigué. Il me suppliait de me lever, c'est-ce que je fis à contre-coeur. Ne trouvais-tu pas que j'étais au paradis sur cette herbe douce ? Je vaguais dans mon esprit, qui était orné d'idées. Mais, ce qui me réveilla vraiment pendant que je me relevais pour la deuxième fois, fût le petit rire enfantin de la jeune créature humaine. Les bipèdes du côté des cow-boys, étaient souvent pris pour des méchants et tueurs. C'était faux d'un côté et vrai de l'autre, il en avait des doux ou ceux à caractère très fort. Le vent soufflait d'un côté, j'avais l'impression d'être une feuille qui d'écroche subitement de l'arbre. J'imagine pas la vie fragile d'une feuille... Respire-t-elle ? Non je ne crois pas.

Tandis qu'on se dirigeait vers l'endroit, où mon pansage se faisait habituellement. J'observais la jeune fille qui essayait tant bien que mal d'aider son père bipède, à me panser. Elle ne brossait pas de la bonne manière ce que je vis assez vite, mais en aucun cas elle me blessait. Elle était douce par la suite, lorsque le grand bipède lui avait montré comment panser avec la brosse. Le plus de poussières qui s'était infiltré dans ma robe était de nouveaux partis. Ce fût vite le tours de ma crinière à redevenir propre et scintillante. Puis lorsque tout ce travaille se termina, puis bouclant avec un noeud la longe à mon licol. Je le suiva de proche par obligation, tout en restant droit. Quelques regards se diriga vers moi, surtout celui de mon ancien cavalier qui n'en revenait pas. Normalement j'aurais tout fait pour éviter de marcher droitement et aurait fait mon rebelle. Mais, ce n'était pas dans mon occupation de ma journée, j'avais autre chose à faire que ça. Le colonel fit subitement son apparition devant une petite foule de bipèdes, il prit aussi vite parole que quand il avait apparu.
" Soldats, Sergents, je vous demanderai de vous organiser avec les chevaux. Que tout ceux qui sont vendus à la ville soient placés près des deux attelages, avec les hommes qui rejoignent la ville et que ceux qui décident de partir avec dans le prochain fort les parquent au pré. Quant à ceux dont il est convenu qu'ils sont maintenant inutiles soient relâchés."

Vendu ? Vendu en ville ? Non, tu ne peux pas me faire ça Maxime. Tu ne peux pas, tu me l'as promis qu'on resterait toujours ensemble. Mais, je me suis retrouvé dans les chevaux inutiles. Par la cause de mon ancien cavalier qui m'avait arraché des mains de mon cavalier. Ruant pour le retrouver, il avait disparu. Non, je ne voulais pas devenir solitaire comme d'autre. Ma vie, ma vie n'était pas là-bas. Finalement, ma longe ce fit rattraper de nouveaux par mon cavalier, qui m'amenna loin de cette foule de chevaux en joie. Reste avec moi Maxime. Ne me laisse pas tomber, finalement comme prévu il m'amenna à l'endroit où il avait désiré m'amenner. Vers la ville. Puis me répliqua de m'accompagner jusqu'à la ville. Mais, n'en dit pas plus. Me gardait-il ? Toute sa famille fit son arrivé, pendant la route vers la ville. Plusieurs questions prennaient mon esprit. Me laisserait-il là-bas ? Partirait-il avec moi ? Me venderait-il ? Aucune réponse ne vint à répondre à l'une de celle-ci... La route semblait être longue. Mes pattes ne me soutiendraient encore pendant un bon moment heureusement, nous étions moins nombreux. Et c'était normal, avec les autres qui étaient partis vers le nouveau fort sans ou avec leur cheval. C'était normal. Le trajet fût extrêment long, pendant des heures et des heures de marche, un fin bruit nous réveilla tous de notre trajet long et pénible. La ville. Une drôle de sensation me fit frissonner. Je ne me sentais pas si bien que ça, où étais-je vraiment ? Puis, quelques ventes étaient au cas. Maxime ne s'était arrêté que quelques fois pour observer l'endroit. Puis, nous avons continué notre route... L'aventure commence-t-elle ?

(Je suis maintenant en ville)
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