un amis, un ennemis, comment savoir ?[PV:Bouriquet♥]

Invité

Un beau jour, je me réveillas au milieu des chants d'oiseaux, des papillons de mille couleurs et les rayon du soleil frôlant ma robe pie.
Je me leva doucement et regarda tout autour de moi, de crainte qu'il y est un danger, mais je ne vis que les oiseaux prenant leurs envole vers les cieux bleu. Je m’avança lentement, laissant le temps à mes membres de reprendre leurs force; une fois fait, je me remis à galoper comme tous les jours, en me disant que, de toute façon je ne savais rien faire d'autre...
Après une avoir galopé une bonne heure, je m’arrêtas à un point d'eau où j'y plongea m'amusa quelque instant en grattent le fond et ressortis en me secouant pour me séchée. Je m’allongea pour me reposé pour apres repartir galoper, mais un bruit vint frôler mes oreilles, ce bruit venait d'un buisson, je me releva et sans même attendre de voir quel espèce allais y sortir, je pris la fuite. Je courrais les yeux fermés pour m’empêcher de me retourner, j’étais t'enter mais je me disais qui si c’était un homme lui n'allais pas perdre une seconde a me tirer dessus, je ferma encore plus mes yeux et courus plus vite qu'avant.
A bout de force, je m’arrêtas et m’écroulai au sol. quand j’ouvris les yeux, je vis un simple arbre au milieu d'une plaine sèche,j'entendis des bruit de sabots s'approcher vers moi, je détourna mon regard vers ces bruits et vis une ombre s'approcher de moi, j'avais peur, très peur et je voulais m’enfuir, mais mes membres ne me répondaient plus, je ne pouvais plus bouger, j’étais paralyser. Je fermas les yeux en me disant "c'est la fin", je me serais défendus jusqu'au bout, mais pas assez a mon gout. je sentais qu'il était là, tous près de moi, je ne pue m’ empêché de lâcher "LAISSER MOI!!!" mais je savais que c'est pas parce que j'allais crier qu'il allait me laisser ....

Babylon ~

♦ C'est beau la vie en extérieur mais pas aussi bien qu'en intérieur, enfin quoi que ? En liberté, tu es libre de galoper, de faire ce que tu veux mais tu n'as pas les bonnes rations de granulé de la ville. Et pourtant, l'étalon de la ville se promène aujourd'hui dans les plaines. Il a perdu toute raison depuis le voyage vers la ville. Il n'a pas tout compris dans ce changement de vie qu'on lui offrait et depuis, il s'échappe sans cesse sachant qu'en retour, il n'aura pas de ration mais plutôt des coups de fouet.

♦ Il avance tête basse, observant et reniflant les alentours. Sa queue bicolore est dressé. Jamais il n'était venu ici, cet endroit si étrange pour lui, habitué au abreuvoir et mangeoire, les costumes des cow-boys et leurs armes. Il essaye de retrouver son chemin quand il sent un odeur, qui vient chatouiller agréablement ses naseaux. Une odeur de jument, subtile et délicate qui ne fait faire qu'un tour à son sang. Il commence à trotter de plus en plus vite vers l'odeur, sans se soucier une seconde, des branchages qu'il traverse. Il voit la lumière et l'odeur qui lui emplit les naseaux. Il se dirige toujours vers Elle, jusqu'à la voir couché, prête à se lever, et mouillé. Au moment ou Babylon surgit des buissons, elle part au grand galop.

♦ L'étalon gris la suit, pour lui, pas de problème, il est endurant quand il veut, rapide quand il veut. Il arrive à la suivre avec aisance sans la coller tout de même. Il la voit s’étaler au pied d'un arbre. Un arbre unique aux feuilles jaunis par le soleil. Il s'approche de la jument, pie. Il secoue sa tête et prend sa tête qui se veut la plus adorable mais séduisante à la fois. Pas question de laisser une chance pareil passer. Il s'approche, lui faisant de l'ombre sous le soleil de midi alors qu'elle le regarde appeurée. Elle hurle ! Elle croit sérieusement qu'il va lui faire du mal ?! Il ne joue qu'avec les sentiments, il s'en veut encore de s'être laissé faire par les hommes, par les chaleurs et d'avoir saillie cette pauvre jument qui pleurait.

♦ Il se décale de façon à ce qu'elle le voit en couleur et non pas avec une auréole. Une auréole n'est pas le mieux adapter, lui c'est plus des ailes de chauves souris, une queue piquantes, des cornes et la panoplie du Diable. Il se pense en un figure appris chez les hommes. Celle-ci consiste à poser les genoux sur le sol tout en gardant les fesses en l'air et surtout l'équilibre.

_ Alors on a peur de Moi ?

♦ L'air hautain, les sourcils levés, et les petites cornes qui pointent en dessous de ses crins volumineux. Il va l'effrayé mais tempis, elle est faible, elle ne peut s'enfuir, il va la séduire jusqu'à lui faire mal. Il a envie de lui faire croire qu'elle est la seule au monde et qu'il n'y a personne d'autres alors qu'elle n'est qu'une jument futile parmis tant d'autres. Alors qu'il a la chance de cotoyer de magnifique jument domestique aux allures de princesse, qui font rouler ses yeux quand elle passe, pourquoi devrait il choisir cette stupide qui s'enfuit pour un rien ?!

Invité

Je vis que l'ombre de ce cheval ce déplaça en sorte que je puisse voir sa tête et sa robe, il était gris en majorité avec les yeux bleu.

Il ce baissa tout en gardant les fesse en l'air et il me dit d'un aire moqueur a mon gout

_ Alors on a peur de Moi ?

Peur ? Moi ! Mais non je venais juste de lui crier de me laisser ! ... Cet étalon était loin d'être sympathique a première vue ! Il avait une tête qui m'aurais fait peur si il était rester devant la lumière en sorte que je ne voie pas son visage mais la je n'avais plus peur ! Ce qui est rare venant de moi !! Cet étalon venait allégrement de ce moquer de moi ! J’essayai alors de me remettre sur mes pattes, avec beaucoup de difficulté j'y arriva et je gonfla mon poitrail et monta ma tête haute en sorte d’être un peu plus grande que lui et je lui dit

-Comment ne pas avoir peur d'un étalon qui vous prend par surprise et qui vous fait des têtes bizarre!

Je faillis rire de ma phrase mais je me reteint, sinon sa n'allais pas vraiment le faire et il allait encore plus ce moquer de moi. Je le regardais de haut ne détournant pas mon regard du sien pour montrer que je n'avais pas peur et que je n'allais pas me faire piétiner par un étalon comme lui !
Mais au bout de quelque seconde, je regarda autour de moi pour voir quand même où j'avais atterris mais je ne reconnue pas l'endroit mais la foret n’étais pas loin donc je saurais retrouver mon chemin mais ce cheval je ne l'avais jamais vue ici, dans les parages.
Je le regarda de nouveau

- Tu vient d’où ? je ne t'es jamais vue des les parages ?!

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