_Bonjour être oposé [Doll]

Matin. 6h30, l’aube un coq chanta, me réveilla. Un petit courant d’air froid rentra dans l’écurie, caressa mon dos et me fis frissonner. L’hiver approchait-il si rapidement ? Il me tarde pas de me voire avec une couverture. Une couverture de satin et de cachemire voilà ceux à quoi j’espérais pour cet hiver. Malheureusement cette année je doute avoir tant de luxe c’est vrai, maintenant je suis dans la même écurie que ces ingrat chevaux d’attelages ou encore ces bêtes de somme. Quelques fois même ils m’avaient adressé la parole ! Les pauvres... Il ne ça pas qu’il ni a pas qu’un fossé entre nos deux monde mais bien une véritable crevasse. Je ne sais dans quelques univers parelles ils avaient imager une seconde que j’allais leur répondre. L’autre jour ce fut un trait pie qui m’avait demandé si j’allais bien. Je l’avais ignoré et m’était retourné dans mon box.

Un homme entra dans l’écurie avec une brouette remplie de granulé suivit d’un autre qui roulait un ballot de foin. Mon cavalier lui était arrivé précèdent le gars au foin. Il prit mon licol et me sortit du box. Je n’aurais donc pas le temps de déguster ma ration. Il m’annonça : Princesse nous allons faire un petit tour. Bien sûr il n’allait pas monter et il avait me prendre en longe certainement. Comme prévue, il venue avec un autre équidé Babylone ? Oh non je ne crois pas, l’étalon n’avais pas assez de grâce pour l’être. L’homme monta sur le dos de l’autre. Puis nous partîmes.

Nous marchâmes de longue heures durant, je suis la parfaite voyageuse, je ne sais où je vais, je voyage et découvre de nouvelles choses ce n’est peut-être qu’a quelques minutes de l’ancien fort mais si on oublie ce détail : nous sommes loin. Loin de tous, loin de ces dorures et de ce ‘luxe’ même si ce n’est qu’un mirage. Il faut sauver l’apparence, c’est tout. Ne chercher à paraitre même si l’on ne l’est pas cela ce n’est pas important. Juste les apparences, qu’importe si au fond de toi tu souffres ou que tu te sens enchainer, étouffé par ces manières de snobs qui ne font que te cacher, te mettre dans l’ombre. Etre ce que je suis vraiment n’est pas possible. Je ne suis qu’une jument qui met des masques pour sembler heureuse et sainte d’esprit. Des masques de personne intouchable, inébranlable. Indestructible. Apparence, apparence…

Nous nous étions finalement arrêter, après une longue marche. L’homme m’avait accroché a une branche. Il m’avait mal accroché. Il était parti s’allonger un peu plus loin auprès de sa monture.

L’homme s’était assoupi. Ma gorge elle était sèche. J’avais donc hennit afin de le réveiller mais rien n’à faire. Cet imbécile avait oublié de me fournir de l’eau pour me désaltéré. On n’est jamais mieux servi que par sois même de toute façon. La belle eut en deux trois mouvement défait son nœud et était partie à la recherches d’eau.

Enfin ! Même si cet endroit semble très pittoresque, il fera la faire. De toute façon je ne puis me tenir plus longtemps. Son délicat museau frôla l’eau avant de ci enfoncer. L’eau était fraiche et avait ce gout si bon de la pureté. Voilà enfin de la tranquillité. Personne pour m’admirer, ni pour me flatter. Il ni a que moi. Ou plutôt nous. Je suis une princesse tout de même et sans cette cour je ne suis rien à vrai dire. Je veux retourner avec l’humain lui au moins me prendra pour son dieu et veillera au grain qu’aucun mal me soit fait.

_Bonjour être de...La gente féminine

Un intrus c’était glisser a ces coté sans qu’elle ne s’en rende compte. Est-ce parce qu’elle avait toujours ou l’habitude d’entendre des pas près d’elle ou était-elle tout simplement perdue dans ces pensées ? Du moins, l’étalon lui était bien là et il lui avait lancé un regard indifférent. Indifférent bien sur… Quel étalon qui se respectes pouvait-il resté sans aucune réelle émotion près de Princesse ? Aucun.

-Bonjour. A qui ai-je l’honneur ?

Peut-être s’ennuyait-elle pour lui demander ou était-elle juste en manque de flatteries ? Ou était-ce juste par politesse ? Certes elle est orgueilleuse mais elle connait quand même les bonnes manières.

Le male me scruta de haute en bas, haussa un sourcil puis ria. Pourquoi ris-t-il cet imbécile ? Ne voit-il donc pas que j'ai besoin de respect ? Moi, Princesse ! Comment ose-t-il rire de ma personne ?! Apres tout il n'est qu'un vagabond, un moins que rien. Il n'est peut-être pas si sale que cela mais quand même. Ces sabots sont use par ces longues marches et son pelage parsemé de boue. Malgré tout cela, il a quelques chose qui me force a le regarde. Il semble plutôt distingue dans son genre et c'est avec une certaine classe qu'il parlait. Sa voix, un mélange de surprise et de mystère. Qui était-il ?
Le male s'approcha de Doll en titubant, sa beauté l'a-t-elle fait quitter la terre ferme ? Son parfum lui fait-il tourner la tête ? Du moins, il ne marche pas droit.

-Holmes... Je suis Holmes... Et vous mademoiselle ?

Galant. Il est plutôt bien éduquer pour un sauvage. Il connait la politesse, lui. Pas comme ces indigènes d'équidé qui vivent dans la même écurie que moi. C'est un scandale cela ! Me faire partager mon écurie avec ces bouseux ! Quel honte. Bon revenons à Holmes, ce charmant Holmes. Il semble tout à fait disponible pour me servir et devenir mon larbin. Néanmoins, il semble appartenir à la même classe sociale que moi. Par ces manières et son maintien. Le male l'avait questionne et attendait maintenant sa réponse. Le son de sa voix douce et sucre qui le révèlerais son nom. La belle s'était tue et observait tantôt avec mépris tantôt avec compassion. Lui trouvait-il un quelconque intérêt ? Surement puisqu'elle prit le temps de lui répondre.

- Doll, mademoiselle Doll.

Il la regarda sans émotion, sans trop de hâte. Son regard enveloppait Doll, il imprégnait dans son cerveau les moindres détails du corps de la belle. Doll en fit autant, ses yeux rives sur l'autre essayant de deviner ces intentions.