Pleine lune, brume, hurlement, yeux rouges .... ||Grouper pour Halloween||

Neara

Je frissonne et m'avance a petit pas dans les montagnes de l'ombre. Quel idée aussi d'être venus ici part ce temps. Surtout par cette soirée. La lune est au éclats et brille de tout son gré. Mais les nuages sont là et la caches de temps a autre. La brume épaisse comme des buissons vous cache la vus et vous devez avancez a petit pas pour ne pas tomber ou vous ramasser sur un rocher. Il fait nuit noir quand on n'est pas habituer au noir. Solitaire, j'aime marcher la nuit, donc le noir sa me connais mais là ...

Hurlement ! Je frissonne de nouveau et avale ma salive difficilement. Pourvus que ce ne sois qu'un simple loup solitaire tout comme moi. Quel jours on n'est ? Non on n'est ? Eh merde c'est Halloween. Non c'est pas que je crois a toute ses bêtises de fantômes, sorcières et loup-garou raconter par les bipèdes. Mais certains chevaux aiment croient a ce genre de chose. Surtout pour faire peur au autre et faire leur malin. Personnellement je déteste Halloween. Avant de passer par ici je suis aller voir au bord de la ville et j'ai vus pleins de gamins toquer au porte demander des bonbons. C'était étranges car ils riaient et avaient l'air de s'amuser. Je suis repartie aussi sec ne voulant pas être capturer par les hommes.

Je voulais aller a la vallée du paradis mais pour cela je devais traverser ses montagnes. Et pour tout vous dire que crois que je me suis perdus. Tantôt une pente, tantôt une descente. Des arbres morts sont éparpiller un peu partout ici. Je me mis alors a gravir un rocher qui se situer en hauteur. Je me mis a hennir de toute mes forces. Si quelqu'un qui se trouver par là m'auras entendus, c'est certain, j'ai de la voix. Je repense au hurlement de tout a l'heure. J'écarquille les yeux et prend peur. Il m'a peut-être entendus ... Merde !

Fuir. Toujours fuir. Fuir ce bruit, ces rires, ces cris, ces déguisements qui déforment les visages. Il a essayer de te retenir, il a lâchement échoué. Il t'a laissé tomber. Il t'as fait peur, t'as laisser avoir peur, t'a laisser fuir à en perdre haleine, à en mourir. Car te voilà perdu dans les montagnes, affublés de bêtises aux couleur sombres et effrayantes. Les sourires de ces citrouilles te reviennent en mémoire, te donnent des sueurs froides. Où es-tu maintenant ?

Tu marches dans le brouillard en essayant de sentir une odeur familière, n'importe laquelle. Mais tu l'as perdu, cet instinct qui te donnais confiance, avant. Qui t'obligeai à rester et non pas à fuir. Jamais la fuite. Tu dresses tes oreilles et respires à fond l'air froid qui t'entoure. Le voilà. Il revend. Te redonne confiance. Tu te colles contre un arbre et fait un bond en avant, cassant la sangle de ta selle. Celle-ci tombe par terre. Tu secoues ta tête, fait tomber les rênes et, marchant dessus, tu te tortille pour t'extirper du filet. La frontale casse et le filet tombe au sol. Libre.

Tu trottes dans les bois en humant les senteurs de la nature. Des arbres, des feuilles mortes étalées au sol, l'odeur des pins loin d'ici. L'odeur des aguilles, d'un bourgeon tardif qui va bientôt mourir. Le brouillard ne te fais plus peur. Tu es de nouveaux chez toi.

Mais un hurlement retentit. Tes oreilles se couche, tu t'arrête quelques secondes, puis pars au galop vers la source du bruit. Les montagnes. Elle se dressent devant toi. Tu les as plusieurs fois aperçus, de tes terres. Le soleil en éclaire le haut, mais au milieu, c'est le noir complet. Tu escalade la pente, sautes de corniche en corniche. La curiosité; Voilà ce qui t'attire. Curiosité qui t'a tant de fois fais défaut, mais que tu aimes tant …

Un deuxième hurlement. Ou plutôt un hennissement. Tu es presque en haut. Tu saute par-dessus une barrière de pierre et te retrouve face à un étalon. Un étalon de la ville.

« C'est toi qui a hennit ? ? »

[Déso du retard, j'espère que ça tient toujours =/ Je n'avais plus d'inspi mai là ... POUF ! un surplus d'envie créative (8 ]