Rencontre entre un étalon fou et une jument sadique [ Pv Psychopathe ]

Les jours passent. Les jours apparaissent et disparaissent. Les heures s'écoulent et je continus mon chemin. Au pas, au trot, au galop. Aujourd'hui, le vent souffler assez fort, faisant voler les crins qui tenait ma croix. Pourtant le soleil tapait dru. Finalement je me mit a observer le paysage. Banale. Sans la petite étincelle magique, qui attire l'iris.
Des bruits de sabot vinrent à mes oreilles. Bientôt une odeur inconnu de jument vint aussi a mes naseaux.

"Hey toi ! Qui es tu ? "

La voix était méfiante. Jument. Mais d'où venait-elle? Je ne connais pas cette odeur. Peut-être un solitaire? Mais méfions nous comme même. Je retourna vivement la tête vers elle. Un rayon solaire fit étincelais ma croix de métal au passage. Son air était naïf et innocent. Je la fixa droit dans les yeux. Ses pupilles reflétaient pourtant un sentiment contraire.

"Moi. Je suis tous simplement. Je ne t'autorise pas a savoir mon nom."

Je continua à la regarder droit dans les yeux. Au cœur des iris. Si mon regard la gêner elle avait qu'à tourner la tête. Je m'approcha d'elle à pas lent, toujours mon regard rouge braqué sur elle. Son air naïf ne marcherais pas avec moi. Elle n'était pas innocente, loin de là. Dans ses yeux on pouvait lire la plus part de ses sentiments.

"Pourquoi, prend tu cette air si innocent?"

Cette jument m'intriguais. Je voulais vraiment savoir ses intentions. J’avançais toujours. Bientôt, je me retrouver presque naseaux contre naseaux. Mes pupilles sang insistaient toujours dans ses yeux. Je m'arrêtais, devant elle, le regard braqué.

Elle m'avait répondu. Et oui je ne suis pas bête très chère jument. Elle avait baissé les oreilles. Est-elle méfiante ou en colère? Malgré sa, son ricanement me rester en travers de la gorge. Je n'aime pas que l'on se moque de moi. Depuis ma dernière question, dans son regard bleu on pouvait retrouver plus de sadisme froid que de l’innocence pure. Sa véritable personnalité avait surgi de son cœur. Au moins elle n'est plus fausse c'est déjà ça.

"Qui es-tu réellement?"

Je la fixais. Insistant de tout mon être dans mes yeux pour la faire céder. Cela faisait quelques minutes, que l'on se regardait mutuellement l'iris, sans engager une véritable conversation. Après tout, se n'est pas mon intention. Mais es-ce la sienne?
Un silence s'installa. Un silence pesant,angoissant mais tellement puissant. Le soleil tapait fort dans mon dos et ma robe noir agissait comme éponge à chaleur. Le silence se brisa, au son de ma voix.

"Je n'aime pas que l'on se moque de moi"

Mon ton avait été plus menaçant que voulu. Tan pis si je lui fait peur. C'est son problème. Pourtant un bruit, derrière moi me gêner.Un bruit de branches qui craquent sous un poids. J'arrêtai de fixer la jument, pour me retourner et me rapprocher du bruit. Je m’enfonçai dans les buissons. Je me retrouvai naseaux contre naseaux avec un étalon. Il me dit d'un voix pleine de puissance.

"Tu dragues?"

Je lui répondu avec la même intonation et en faisant le même regard qu'à la jument, fixant ses yeux au cœur de ses pupilles noire.

"Moi! draguer! Tu rêves un peu mon grand!"

Une idée me traversa l'esprit. Pourquoi ne pas rigoler un peu. Alors je dit à l'étalon:

"Si tu veux, elle est à toi!"

Je me retournai vers la jument un rictus aux lèvres et l’œil fou. L'étalon s'approcha d'elle en frimant minablement.

[i] L'étalon me demanda qui j'étais réellement, je réfléchit puis souris quand il dis ensuite qu'il n'aimait pas qu'on se moque de lui. Pfff ... il croyait me faire peur avec ce ton menaçant ? Non, vraiment. Je secoua la tête, le soleil tapait fort sur mon corps. Pourtant l'air était plutôt frais, m'enfin. Soudainement un bruit de craquement se fit entendre.

L'étalon se tourna et s'éloigna dans les buissons, je tapa du pied énervée. Me lâcher ainsi ?! Non mais ! Pour qui se prenait t'il ? J'observa autour de moi. Il n'y avait plus de bruit quand j'entendis des chevaux parler mais je ne compris pas ce qu'ils disaient, je m'ébroua.

Après quelque minutes un étalon surgit des buissons en frimant. Peuh, nul. Qui était t'il ? et ou était t'il ?. Je le regarda méchamment et lui lança :
- Hey ! T'es qui toi ?!
Je secoua ma queue pour chasser des mouches embêtantes.