Who are you ? with Stratus

Magic et Stratus

« Who are you ? »

Je galope. Ouai. C'est ça que je fais. Je galope et si t'as un problème avec ça et bah 'rien à taper. Je fais ma vie tranquille et c'est tout. Ne viens pas me dérangé. Bref. Je galope, je fais des ruades, des sauts de moutons et tout le tralala. Je traverse un petit lac. Je sens la présence des humains. Eurk. Je déteste leur odeurs. A chaque fois ça me pique les yeux puis j'ai des haut - le - coeur. Je me méfie trop de ce genre d'être vivants, même si comparer au serpent il ne font pas le poids. Bref, je plaque direct mes oreilles sur mon encolure. A j'vous jure ces bipèdes ! Et là c'est le drame, je les voient. Ils sont tout près. Mon coeur accélèrent et mes haut - le - coeur, eux aussi, ils viennent de plus en plus. Mais je ne suis pas bête j'accélère et je fonce en ligne droit - la grosse erreur. Les cow - boys et leurs crétins de chevaux me rattrape. Pfff. En même temps ce sol est nul. Remplis de cailloux et de sable qui me font déraper. Foutu désert. Mais ce n'est pas pour autant que je vais me laissai faire ! Les arbres défilent à mes côtés tellement mon allure est vive et rapide. Je ne sais pas comment ils ont pus mais ils ont ressuient à me rattraper et à me mettre leurs cordes. J'ai le regard haineux et méfiant. J'essaye de mordre à plusieurs reprises les deux autres chevaux à mes côtés mais ils s'écartent. Stupides. Alors je leur lance des injures et les menaces.

Arrivé au fort. Je regarde tout les chevaux avec mépris surtout ceux qui m'avait rattraper tout à l'heure. « Bande de crétins » leurs lançaient - je à tous. Un des deux cow - boy est descendu de son cheval et m'a pris par la longe. Crétin. Je l'ai mordu à la main et j'ai profiter de cette faille pour m'échapper. Je coure dans le fort mais c'est pas grave, ils ne me touche pas au moins. Ouai, je me trompe souvent aujourd'hui. Ils me rattrape. Et cette fois - ci ils ne me lâchent pas. Ils m'accroche alors à un poteau à côté d'un abreuvoir.

Je ne touche à rien, trop écœurer, vraiment, je préfère largement l'eau des rivières ou encore des sources cachées - que je suis le seul à connaitre. Et là, j'entends pleins hennissements. Encore un poulain. Je le regarde, il est avec sa mère, il trotte à ses côtés. « Trop mignon » Qu'il aurait dit les gens. Sauf que je ne suis pas « les gens » et que je n'aime pas les poulains. Le poulain gambade puis s'arrête et me regarde. Je lève le sourcil et le regarde comme si il n'avait pas de poils. Et en un quart de seconde je change de regard et il devient méprisant, comme - ci je le traiter de « crétin ». Comme je me suis vite agacé, je me suis retourner et j'ai mis à l disposition de sa vue ma jolie croupe d'haflinger/mustang. Bon régale !

Magic et Stratus

« Who are you ? »

J'entends la clôture s'ouvrir, je me retourne et qui je vois ? Ce petit crétin de poulain. Ma queue s'agita de gauche à droite. Je n'étais pas chez moi mais ce n'était pas pour autant que j'allais me laisser prendre mon terrain par un petit crétin de poulain. Il réclamait sa mère qui était rester de l'autre côté. Sa mère, elle, me fusillait du regard genre : « Fais attention à mon bébé, hein ?! Sinon mon chérie va te régler ton compte ! ». Je gonfla mon poitrail et grogna. Ce n'était pas une jument qui aller me dictée ma conduite ! Je ferais ce que je veux de son gosse.

Comme je ne suis pas bête et que ce n'est pas la première fois que je viens ici, je mordilla la corde jusqu'à ce qu'elle cède. Je me tourna en face de mon colocataire et lui fit un sourire malin dans le genre : « Tu sais pas ce qui t'attends ». Je fis trainer la longe sur le sol du désert, tout en m'avançant vers le petit. Je m'éclaira la gorge et regarda le poulain remplis de peur. J'adooore, c'est trop marrant de voir les chevaux paniqué à ma vu. Je suis trop fort. Je le regarde de haut en bas. Je m'avance. Je remarque alors que la mère est partit. Je souffle et ... me roule dans le sable. De droite à gauche, je galope, je saute, je tourne en rond, je ru, je fais tomber des cow - boys dans l'eau d'un abreuvoir. Je regarde toujours le poulain du coin de l'oeil et lui me regarde avec une tête d'ahurie.

Je me stoppe en face du poulain, je le regarde, il me regarde. Tous les cow - boys nous regardes. Je baisse les oreilles et leur fais peur pour qui s'éloigne.
▬ Hum, hum, tu parlais à qui quand t'as dis, je cite : « En tout cas, ton arrière train et bien plus beau que ta face ! » ? Je le regardais avec un aire très sérieux. Mais au fond de moi j'avais vraiment envie de rigolais, il était tellement paniqué.

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