La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur [ ♣ Pv Calypso ]

Je me réveille et je te vois , tu est couchée là , collée à mon flanc. Alors moi , devant cette visions qui m'attendris , je souris et je te souffle doucement dans les naseaux , comme un bonjour. Je te vois comme un ange , et je ne sais pas quoi dire. Je me lève alors , doucement pour ne pas te dérangeait. Je suis debout et je broute.
Nous sommes dans une petite forêt , elle a l'air d'être paisible, sans danger. Cet endroit est désert , il n' y a que nous deux. Mère et fille.

Je continue de broutais , mais un bruit de buisson me dérange. Je m'approche de toi au trot , pour te protégeais. Si quelqu'un s'approche , je le tue ! Un couguars bondit , mais je reste calme. Il tourne , tourne et tourne. Il va avoir le tournis , si il continue. Je montre les dents et hennis de rage , fonçant sur lui , cabrant , ruant. Je me tourne vers Caly' , je ne veut pas qu'elle soit blessée :

-"Part , cours ! Vite ! "

Je me battais pour laisser vivre ma fille en paix. Elle était trop jeune pour se battre, et aussi pour mourir. Même si le faites qu'elle parte seule me térrosise, je n'avais pas vraiment le choix. Je lui hurlais de courir, encore et encore, sans s'arrêter, que j'aller la rejoindre.

Le couguars bondit sur mon dos, griffant mon garrot. Je hennis méchamment, cabrant, ruant de tout les côtés. Rien à faire, le couguars était là, accroché à mon garrot qui était complètement en feu à cause des griffures. Je hennis encore, rua encore, bondis encore. Toujours pas. Je me mise alors à galopais, galopais vite, très vite, et puis, d'un coup, dans un virage, j'envoyais une ruade. Le couguars vola et atterrit deux mètres plus loin. Je baissais la tête et galopais jusqu'à lui. Je hennis à son attention et je me cabrais de toute ma hauteur, fendant l'air de mes sabots. Le couguars se leva d'un bond et partit dans les buissons, avant que je n'atterise sur lui.

Bon, maintenant, il me faut retrouver Caly', qui doit être complètement apeurée par ce réveille " en douceur ". Oui, j'ai beau être douce, parfois, il faut faire violemment. Je marche donc, la peur au coeur, cherchant sans relâche ma fille. Ses yeux sont dans ma tête, je la vois, je sais qu'elle est là, avec moi... Ses yeux si joyeux quand elle voit son père, ou quand elle joue avec son frère. Et si elle c'est perdue ? Je ne sais pas. Et si elle est aller trop loin ? Je n'en sais rien. Aïe, mon coeur se serre. Pourquoi a-t-il fallut que se couguar vienne maintenant ? Hein ?!

Je ne me rend même pas compte que je galope, les yeux perdue dans le paysage, je la cherche. Oui, je la chercherais jusqu'à ma mort s'il le faut. C'est ma fille, et si elle vient à périr parce que je n'ai pas su la protéger, je ne pourrais plus vivre. Oui, j'aurais encore •Tu et Boon', mais ce n'est pas elle. Elle est unique. Toujours son regard espiègle. Parfois garçon manquait, mais toujours sensible.

Aïe, elle est là ! Mais, il y a quelqu'un avec elle, un autre cheval. Le même cheval qui a voulus me tuer quand j'étais avec •Tu. Un énorme étalon noir, une cicatrice à l'oeil gauche, des sabots gros comme jamais nous n'on avons vu. Pendant un instant, je suis là, ma respiration couper, mes jambes incapables de réagir. Mais enfin, alors que je le vois s'approcher, je peut réagir. Je galope à fond, je hennis méchamment, tête et oreilles baissaient. Si il l'a touche... J'arrive devant Calypso, je la protège, je l'a fait reculer. Je m'adresse à l'étalon qui a un énorme rictus aux lèvres. Quel salop !

-Tu touches à ma fille, l'impossible sera possible !

Un rire grotesque s'échappe de sa gorge alors que mon ton est le plus menaçant. Pourquoi rigole-t-il ? Non, mais c'est vrai quoi, je serais capable de l'impossible pour sauver et protéger ma fille. Ma seule, et unique fille... J'y tien comme à la prunelle de mes yeux, c'est mon trésor ! Si on me le vole, qu'on me tue, je ne survivrais pas... C'est ainsi que je le vois, même si Mon Zou et Mon Boon' seront là pour me soutenir.

Le rire c'est arrêter, et je sort de mes pensées juste à temps. Le temps de voir l'étalon noir se cabrait et lançait son sabot dans ma face. De justesse, je me recule, même si celui-çi me touche. Ma tête est prise violente douleur. Il m'a viser le crâne. Son rictus reviens et il dit, d'une voix méchante :

- Tu voulais jouer petit chose, jouons !

Je n'ai pas le temps de réagir, deux sabot me touche en plein poitrail et m’envoient valser par terre, deux mètres plus loin. Je suis affaler par terre, j'ai mal au jambes ; Elles ne réagissent plus. Je relève difficilement la tête pour voir Caly' et l'étalon face à face. Un hurlement me sort de la gorge. Un hurlement de rage.

- Caly', Noooooooooooooooooooooooooooon !

La douleur la tuer. Son poitrail est en sang, son coeur bat la chamade, l'adrénaline est montée d'un coup. Son souffle se calme lentement, elle essaye de se lever mais ses membres ne réponde plus, ils sont mous, tremblant. Elle lève la tête et l'encolure, tentant d'apercevoir Caly', mais ce qu'elle voit la terrorise. Son bébé est retenue par ce monstre, cet étalon noir sadique, sans coeur. Elle hurle, elle crie, elle tape du sabot, mais l'étalon ne la lâche pas. Et puis, alors que les larmes brouilles de nouveau sa vue, elle sent Calypso s'approchait, la renifler. Elle souffle, son coeur s'arrête de battre aussi vite. La voix de sa fille la rassure, et elle la voit partir dans un galop fou :

- Maman, courage, lève-toi et va là ou on était tout à l'heure !

Cette voix lui apporte de la force, et, avec un gémissement, la jument dorée se lève. Ses membres trembles encore, mais petit à petit, ils reprennent de l'assurance. Mais l'étalon est encore là. Il s'approche d'elle sans qu'elle est le temps de partir, il lui bouche la route pour retrouver sa fille. Elle hennit méchamment, il rigole. Comme tout à l'heure. Et puis, alors qu'elle ne s'y attend pas, il la sert contre lui, lui souffle dans les oreilles. Ambre se rebelle, mais l'étalon noir la retiens :

- Tu es mienne.

Sa voix rauque la choc, elle ne bouge plus. Cette phrase l'a coule sur place, ses membres lui font de nouveau défaillance. Elle est déconnecter, son regard est vide, ses oreilles sont droites, son souffle irrégulier. Mon dieu... Et puis, soudainement, elle sent des naseaux sur les siens. Elle fronce les sourcils, hennit de nouveau et cabre de toute sa hauteur. L'étalon n'a pas le temps de réagir, elle s'enfui. Elle court, elle galope jusqu'à se qu'elle aperçoive Caly', entrain de guetter. Elle s'approche d'elle et la colle, sentant son poil contre le sien. Elle lui souffle dans les crins, la rassurant.

- Mon bébé... J'ai crus t'avoir perdue.

• Toujours d'actu' ? ^^