A partir de se jour le mot deux n'existe plus[PV: Cilbarra]

Cela faisait quelques jours que je le suivais partout. Même si son amour était en rehausse, je le trouvais toujours froid et distant. Depuis le levé du soleil, aucun de nous deux n'avait ouvert la bouche. Depuis le matin, on marcher côte a côte sans s'accorder un regard. Super ambiance! Bon on va bien devoir entamer la discussion.

"Cil.....Serais-tu prêt a devenir père?"

Je me posta devant lui, l’empêchant d'avancer. Son œil froid me fit frémir.

"Pourquoi es-tu devenu comme sa? aller répond Cilbarra"

je m'approcha de lui et posa ma tête sur son encolure, lui apportant tout la chaleur et gentillesse que j'avais en moi. Moi en tout cas, j'étais prête. Prête a accueillir notre descendance a tout les deux.
Je priais pour qu'il dise oui. Je n'accepterais pas d'autre père que lui.
Je relevai doucement la tête et coula mes naseaux contre les siens, fixa ses yeux, tentant de trouver l'once de gentillesse qui m'avais attirer en lui.

"Alors es-tu prêt? Prêt a élever un poulain dont tu seras le père?"

Aller répond Cil. Je veux entendre le son de ta voix. Je veux sentir battre ton cœur. Je veux entendre ta réponse. Je veux ressentir en toi l'envi de vivre. Un seul mot et je serais combler.

"Répond"

Des jours et des jours passaient , je l'avait retrouvé et mon coeur rebattait pour elle . Mais ma personnalité était trop forte pour que l'amour reprenne le dessus . Mes blessures avait laissé échappé cette partie de moi offerte par Tristess . Pas une parole , j'étais froid . Allais-je de nouveau sucomber à ses pleurs et ses yeux . Malgré moi , ma vie je la voyait que à ses côtés .

"Cil.....Serais-tu prêt a devenir père?"

L'étais-je ? Tout était là , en moi pour que ma vie soit de nouveau refaite à neuf avec une nouvelle personne réchauffant mon cœur . Elle se figea devant moi m'empechant d'avancer et de errer sans but . Je restai froid en toute circonstance les yeux étaient remplis d'amour , de peur et de tristesse et tout cela à mon égard .

"Pourquoi es-tu devenu comme sa? aller répond Cilbarra"


Elle s'approcha de moi et serra sa douce encolure noire contre la mienne . Je ne me reculai pas pour pouvoir ressentir les sentiments que j'avais connu. Que m'etait-il arrivé ? Pourquoi avais - je galopai sans but au lieu d'aller tuer ces loups ? Même moi je ne savais pas . Mon esprit de solitaire sans doute ? Elle , elle était prête .Prête à acceuillir un nouvel être dans vie si triste . Sans m'en rendre compte , elle avait posé ses naseaux contre les miens et ses yeux vairons me fixai avec le plus grand désespoirs . Je fermai les yens pour mieux apprécier sa chaleur .

"Alors es-tu prêt? Prêt a élever un poulain dont tu seras le père?"

J'étais perturbé , je l'aimais , j'étais prêt mais une part de moi repoussait tous cela .


"Répond"

Ma chérie , mon amour , la fleur de la vie , je t'aime , je veux vivre avec toi . Mon instinct de solitaire sera toujours une grosse partie de moi .

- Je ne souhaite que ton bonheur , je veux vivre avec toi . Je peux vivre avec toi et un enfant mais seulement ma part de solitaire fera toujours partie de . Pourras-tu vivre avec sa ?

Je me collai fort à elle . Mon cœur avait succombé à son doux regard , celui qui m'avait envouté sous les rideaux de pluie . On continua à marcher tranquillement encore plus proche que deux brins d'herbe avec des ètoiles dans les yeux . On arrivait au près d'un grand lacs aux nénufars roses et blancs avec de millions de rayons de soleil. On s'arrêta et je me mis à tremper mes jambes dans l'eau .

Il semblait hésitant. Hésitant a me dire se qu'il penser. Il semblait se combattre. Combattre cette partie de lui-même qui s'était enfui.

"Je ne souhaite que ton bonheur , je veux vivre avec toi . Je peux vivre avec toi et un enfant mais seulement ma part de solitaire fera toujours partie de . Pourras-tu vivre avec sa ? "

Il se mit fortement a côté de moi. L'un contre l'autre, les yeux empli d'une voie lacté de minuit. Nous nous arrêtâmes a côté d'un grand lac couvert d'innombrable nénuphars blanc et rose. Cilbarra s'approcha de l'eau paisible et si trempa les jambes. Je m’approchai à mon tour de la rive mais resta au sec. Je l'observais barbotant dans l'eau comme un enfant. En même temps, je réfléchissais à sa question. Et donc à ma réponse en toute logique. Après quelques minutes à ne rien faire, j'entra finalement dans l'eau et rejoignit celui qui me faisait vibrer. Je lui chuchota dans l'oreille.

"Oui. Je le pourrais malgré ton air froid et distant, je sais que on fond de toi tu cache ton amour pour moi et l'enfant qui naîtra si tu le décide. Mais sache que quelque sois ta décision, je t'aimerais toujours"

Je sortis de l'eau et m'installa à porter des rayons du soleil. Il s'était approché de moi. Je tourna la tête et dans son regard je cru apercevoir une étoile de tendresse que cette fois le froid d'une partie de son cœur ne recouvra pas.

"Je t'aime Cil."

j’avançai vers lui et posa ma tête sur son garrot. Je fermais les yeux pour apprécier cette instant de paix qui m'envahissais. Ensuite je me retourna vers lui.

"Es-tu prêt?"

"Es-tu prêt?"

Elle c'était retournée . Je savais que si je faisait cela , je ne serai plus aussi libre . Je savais que c'était le moment oujamais pour lui montré mon amour . Je respirai une dernière fois et m'avança vers elle .

-Je t'aime Tristess ...

Je grimpa délicatement sur sa croupe et trouva l'emplacement de ses reins . Une fois fini , je redescendit et m'approcha d'elle . Je passa mon museau dans sa crinière et lui tira une mèche . Je partit en gallopant et en riant . Une petite course poursuite s'organisa pendant quelques minutes . Quand on s'arrêta , essoufflé , on colla parfaitement nos chanfrein l'un à l'autre . Les yeux nous servaient pour communiquer . Le soleil se couchait et je me couchai au pied d'un arbre .

-Je suis père !

Un grand sourire éclatait sur mon visage habituellement froid et sombre .

Avant qu'il ne fit se qu'il devait faire il me murmura un "je t'aime" plus doux plus harmonieux, plus vrai.
Quand il eu fini, il s'approcha de mon encolure et dans un mouvement brusque me tira une mèche de la crinière. Il prit le galop et je le poursuivis quelques minutes toute joyeuse. Quand il s'arrêta, il soufflait fort, épuisé. J'approchai ma tête délicate quand lui, colla son chanfrein au mien. Aucune parole, les sentiments dégager par nos yeux nous suffisait à comprendre l'autre.
Quand les rayons du soleil déclinèrent, Cil se coucha au racine d'un arbre majestueux par son feuillage dense.
Un sourire radieux illuminait son visage comme l'aurais fait le soleil a midi. Il avait enfin quitté son air froid, sans émotions. Je me coucha près de lui et regarda mon ventre tendrement.

"Je suis père ! "

Quand je l'ai rencontré une première fois, je ne l'aurais jamais imaginé dire sa. Quand nous nous sommes revus, non plus. Quand, a vraiment débuté, oui. mais quand tu m'a abandonnais j'avais perdu espoir d'entre ses mot dans ta bouche. Mais aujourd'hui, tu les as dit. Cil, dans mon cœur tu es irremplaçable.

"Et moi mère. Merci."

Je posai doucement ma tête sur son épaule, comme sous ce saule qui nous avez protéger de la pluie.
Une larme perla de mes yeux.
Merci.

On avait passé la nuit l'un contre l'autre . Je me réveillais souvent et observai constamment les alentours et avant de m'en dormir , je jettai un coup d'oeil au ventre de Tristess . Le soleil se levait et teinté le paysage environnant de rouge , rose , orange . Tristess commençait à bouger . Je mît à chantonner . Cette chanson que j'avais enfuis au fond de moi après la mort de ma mère . Sa me détendait. L'amour que je lui portait était plus fort que tout . Elle se réveilla et je pus sortir et allait me degoudir les jambes sous les yeux de ma tendre Tristess . Je rentrai dans l'eau et les pétales venaient se coller à moi . Je resortis et trouvai sur mon chemin , une fleur bleu . Avec le bout de mes dents , je l'attrapai et me dirigea vers Tristess .

- Ma chérie , c'est pour toi .

Je lui posai entre son toupet et son oreille et me reculai pour la contempler . Je la regardai d'un regard différent . Maintenant , l'amour était plus fort . J'etait très influençable et encore plus par elle . Je pointai devant et me mît à m'agiter pour l'inciter à se déplacer . ...

Lorsque je me réveillai, Cil' alla marcher son mon regard attentionné. Il rentra dans l'eau est les fleurs de nénuphars se collèrent a lui comme des aimants. Il ressemblais au cheval du dieu des plantes. Un léger rire parcourra mes lèvres. Il sortit du lac et revint vers moi une fleur bleue à la bouche.

"Ma chérie, c'est pour toi"

Il me la posa délicatement entre mon toupet et mon oreille puis me regarda l’œil fière. Je lui souris. Je sentais son impatience. Je me leva et alla le rejoindre. Nous avançâmes côte a côte. Je le voyais de temps en temps jeter quelque coups d’œils vers mon ventre. Finalement, il avait l'air heureux.

"Tu aimerais que sa sois un p'tit gars ou un fille?"

J'avais envie d'avoir son avis sur la question. Nous arrivâmes dans un clairière dégagé ou l'herbe poussé en abondance. Je commença a brouter en attendant la réponse de Cilbarra qui semblait perdu dans ses pensée.
Le soleil briller fort pour un début de journée. Quel calme! Je sens en moi, se petit être qui va grandir et s'épanouir, profiter de la vie. Je t'aime déjà. Désormais, j'avais un famille, une vrai.
Encore merci!

"Tu aimerais que sa sois un p'tit gars ou un fille?"

Je m'étais jamais posé la question . Mais je savais que mon opinion comptait pour elle . On arrivait dans une clairière magnifique ou on se mît à brouter . La question résonnait dans ma tête . Je m'approchai d'elle . Elle semblait si heureuse . Je désirais qu'elle sois heureuse mais il fallait que je m'éloigne un peu . Je me préparait à la réponse et la nouvelle que j'allait lui dire .

-Tu sais Tristess , du moment ou je suis avec toi et un enfant qui nous coure autour , sa me suffit amplement . J'aurai une préférence pour une petite fille .

Je m'approchait et attrapa une grosse bouchée d'herbe grasse et la tendit à Tristess . On avait toujours les étoiles du bonheur dans les yeux .

-Tristess , je dois te le dire avant que tu t'attaches à ses moments . Je dois partir . Je te l'ai dit , je suis né solitaire et malheureux maintenant je suis solitaire et heureux .

Son sourire s'était éteint tout d'un coup . Je ne savais pas comment empêcher que ses larmes coulent . Je ne pus que la serrer contre moi aussi fort que je le pus . Je lui susurrais la chanson qui avait surgit de moi à l'aube .

-Tristess , rejoignont nous ici une fois par mois . Jusqu'au jour ou notre progéniture mettra jour .

Je l'aimais et sa personne pourra le contester . Elle m'as changé entièrement , elle m'a adouçit . Je me ruculai , posai mon museau sur le sien et lui dit aurevoir des yeux .

Je broutais toujours quand sa voix résonna dans le silence qui c'était installé.

"Tu sais Tristess , du moment ou je suis avec toi et un enfant qui nous coure autour , sa me suffit amplement . J'aurai une préférence pour une petite fille . "

Je relavai la tête quand il m’apporta un touffe d'herbe bien grasse. JE le regardai, envouté par son charme, sa beauté, ses yeux.

"Tristess , je dois te le dire avant que tu t'attaches à ses moments . Je dois partir . Je te l'ai dit , je suis né solitaire et malheureux maintenant je suis solitaire et heureux . "

Je perdit mon sourire face à ces mot brutale. "Je dois partir". Cette phrase résonnait dans ma tête, me rendais malheureuse. Mes larmes coulèrent sans que je ne puisse les arrêter, les contrôler. Il se colla a moi, tenta d’arrêter mes larmes. Il murmura une chanson. Magnifique est-elle. Ensuite après la dernière note de sa mélodie:

"Tristess , rejoignont nous ici une fois par mois . Jusqu'au jour ou notre progéniture mettra jour . "

Cette phrase sécha mes larmes. Il ne m'abandonnait pas au final. Il tenait juste a garder sa liberté de solitaire. Je l'aime. Il posa un dernière fois son museau contre le mien et partis, me laissant seule, enfin presque.

"Et j'espère que tu sera la, le jour de la mise au monde de ton enfant"

Je le regarda partis sans un mot, de l'espoir dans les yeux. JE t'aime Cil'. Je t'attendrais.

--Quelque mois plus tard--

J'étais de retour dans la clairière. Comme j'en avais pris l'habitude je l'attendais couchée sous un arbre. Mon ventre avait grossi.Depuis peu mon ventre me faisait de plus en plus souffrir et je savais que l'être a l'intérieur verrais le joursdans peu de temps. Je posa la tête sur le sol. Profitant des rayons matinaux du soleil.

Voilà des jours que je me rendait à la prairie . Il ne m'arrivait pas toujours de tomber en même temps que Tristess mais quand cela arrivé , c'était des jours de bonheur . Je voyais notre poulain grandir en elle . Le grand jour allait arrivé , je restait dorénavant constamment là-bas . Je broutai tranquillement , une silhouette noire bordé le bord de la clairière . Je dirigeai vers elle . J'étais sûr que c'était ma Tristess . Je posai mon museau sur son chanfrein . Elle semblait fatigué . Je m'allongeai à ses côtés et regardai ses yeux remplis de bonheur .

- Comment allez-vous ?

Soudain des jeunes viennent nous couper dans notre discussion . Ils nous tournèrent autour en criant gesticulant . Je me levai et me plantai devant celui qui semblait être le chef . Je me cabrai sur lui et une sorte de combat commença . Je le mis vite à terre . Les autres s'etaient sauvé comme des lâches . Pendant qu'il se relevait , je lui crachai au visage . Il partit en essayant de garder un air de prince . Je retournai vers ma fleur .

-Je ferai tout pour toi , il faut pas être ettonné.

J'avais ajouté cela pour lui expliquer ma réaction moi qui depuis longtemps évitait les combats . Elle parraissait crispée , tendu et avoir mal . Le poulain allait bientôt arrivé .

Cil' venait d'arriver. Je voyais sur son visage qu'il était heureux, qu'il nageait en plein bonheur. UN bonheur nouveau pour lui, mais aussi pour moi. Il posa délicatement son doux museau sur mon chanfrein avant de se coucher près de moi. Je lui renvoyais un sourire n'ayant pas la force de bouger.

"Comment allez-vous ?"

je n’eus pas le temps de répondre qu'une bande de jeunes étalon firent leur apparition. Il criait dans tous les sens, faisait les idiots... Cilbarra se leva et je pouvait sentir sa colère contre eux, qui avait troublé un moment de paix. IL s'approcha de l'un deux et, sans un mot, un combat commença. Un combat inégale. Un adolescent, n'avait aucune chance contre Cilbarra qui avait acquis plus d'expérience grâce a sa vie. les compagnons de l'ado eurent vite fait de détallé comme des lapins quand leur maitre se fit ratatiné. IL partit en essayant de rester fière mais derrière ses air de prince on pouvait lire la douleur. Je fus comme même légèrement étonner par le comportement de Cil.

"Je ferai tout pour toi , il faut pas être étonné."

Douleur. Mes muscle se crispèrent. Depuis quelques semaine déjà, ses douleur me surprenais mais après quelque minutes sa s'arrêter. Mais cette fois c'était différent. Je le sentais. Je le savais au fond de moi. Le poulain allait arriver.
Après de longues heure à souffrir le martyr, le petit être qui avais longer dans mon ventre pendant des mois était sorti. Ma souffrance disparu comme emportais par la légère brise du printemps. JE redressa légèrement l'encolure et j’aperçus la petite tête du poulain. JE me leva et me retourna vers lui malgré la fatigue. Je le lécha a grand coup de langue. C'était une joli petit pouliche noir au tache marron, comme celle de son père. La petite pouliche tenta plusieurs fois de se levé. Je l'aida avec mon museau. Encore toute vacillante elle se dirigea instinctivement vers mes mamelles et commença a téter. JE me retourna vers le père.

"Et maintenant, tu ne peux plus échapper à cette question! Comment veux tu l'appeler?"

Mon regard était tendre, ma voix était douce, mais les deux laisser entrevoir ma fatigue.

J'arrivai à ses côtés quand soudain elle se crispa. Elle fut prise de violentes contractions. Voyant sa tête , je sentais que le jour était arrivé. Mon enfant allait naître, j'allais être père. Son travail dura des heures , des heures sans que je puisse bouger et la réconforter . Finalement , le poulain sortis et Tristess retrouvit une meilleure mine quoique un peu fatigué. On avait une fille , belle et noire comme sa mère et au grandes balzanes colorées et aux tâches de son père . J'en étais fière de cette petite. Tristess se leva pour la sécher et l'aider à se mettre sur ses quattres jambes . J'étais tout ce qu'il y a de plus heureux . Il y a longtemps , Tristess avait supprimer le mot "un" de mon vocabulaire et maintenant elle me permettait de rayer le mot "deux" . Tristess faisait tout pour que notre pouliche goute à la vie sans problème . Elle finit par se tourner vers moi , elle etait fatiguée .

"Et maintenant, tu ne peux plus échapper à cette question! Comment veux tu l'appeler?"

De douces paroles à mes oreilles . Je m'approchai d'elle et regardai notre fille qui c'était endormis auprès des membres de sa mère . Une délicieuse brise remplis de parfums du printemps m'embauma . Je fit coucher Tristess pour qu'elle de repose et me mis à réfléchir .

" Que penses-tu de Asuka ? Mille parfums de printemps .


On accorda à notre fille un regard . Un regard vers un ange endormis . Voilà la famille .

La brise était fraiche. La brise du printemps. Cilbarra me força à me couché. La petite pouliche s'était déjà endormis. JE regardé Cil. Il avait pris sa tête de celui qui réfléchis. C'était cette là qui me faisait toujours rire.

"Que penses-tu de Asuka ? Mille parfums de printemps ."

Asuka. Quel beau nom! Nous regardâmes la petite endormis. Elle avait encore plein de chose a découvrir. Azuka. Ce nom sonnait bien dans ma bouche. Mais je ne sais pas pourquoi, j'avais l'impression que je le prononcerais souvent avec cette petite. Surtout si elle récupérait une partie du caractère de son père. Le solitaire indépendant. Toujours les yeux sur l'ange je répondit.

"Azuka. Ce nom me plait."

Mes paupière commencèrent a se faire lourde. Ma fatigue me rattrapé. Mais je voulais rester éveiller. Pourtant je m'endormis, d’ailleurs sans vraiment m'en rendre compte. Quelle beau rêve je faisais.
Galopade dans les plaines, première rencontre avec la vie d'Azuka. Au fond de moi, j'espérais que sa naissance ne soit pas un rêve et il ne l'était pas. Merci beaucoup. Merci a la vie qui ma donner le jours. Merci au destin pour cette rencontre merveilleuse avec l'être de ma vie. Merci a Cilbarra d'être revenue vers moi après l'incident. Merci a Azuka d'être nait.
Avant ma Tristesse est-elle quel m’empêcher de voir l'avenir. Cilbarra a changer ma vie. Il m'a fait renaitre, ma réappris a vivre. Et désormais, il m'a donner la chance d'avoir une famille.
Merci!