ϑ Ou allons-nous Mademoiselle ? Dans les étoiles. ϑ

Moi ? Nous sommes la meilleure. Nous sommes tous pour toi et tu nous chériras jusqu’à ta mort. Nous sommes ta raison de vivre et jamais tu ne te défileras à mes ordres. Nous sommes magnifiques et si indulgente. Aucun de vous ne viendra jamais me demander quelques choses mais toujours tu seras près à me rendre service. Jamais tu n’oseras me répondre et me demander si quelque chose ne vas pas. Nous sommes sans émotion et tu ne chercheras à me procuré une seule forme d’émotion. Nous sommes sans pitié et sachez que nous hésiterons pas à vous faire souffrir. Sachez, aussi que toute forme de trahison seras sévèrement punis. De plus, nous ne sommes pas du même milieu alors si tu veux me parler nous te prions d’utiliser le « vous » et de t’incliné devant ma personne. Nos seuls égaux sont ma sœur et ma mère aussi nous te prions de les respectées tout comme tu le fais pour moi.

Une vie de Princesse. Voilà ce qui vous être l’histoire de la belle. Mais que nenni ! Notre majesté a eu une vie assez mouvementé jusqu’à ce jour, oui , elle n’est pas dans la rue bien-sûr. Elle provient d’une lignée de pur-sang qui daterait des origines. Donc ce n’est pas son sang le problème. Vous ne voyez pas ? Cherchez donc encore un petit peu, toujours pas ? Bon on ne va pas y passer toute la nuit. Sa mère, n’est pas sa vrai mère. Comment cela ce peut-il ? Tout simplement lors de la naissance de la Princesse sa mère a succombé. Les riches éleveurs ne voulant pas perdre deux chevaux en une nuit décidèrent de mettre la petite avec une autre poulinière : la sœur de sa mère et la mère de Caprica.
Caprica ? Vous ne savez pas ? Eh bien c’est l’égo de Doll , la seule personne qu’elle respecte ne serai-ce juste lui souhaitez une bonne journée. Elle est sa sœur enfin sa demi-sœur mais elles se considèrent comme telle après tout, n’ont-elles pas grandies ensembles ?
Après ces toutes péripéties, Doll a vécue heureuse et comblé même si elle ne le montre pas. Elle avait sa petite routine, ses petites habitudes jusqu’au jour ou …
Journal de Doll : L’homme qui s’occupait de moi, mon esclave était venue avec mon licol rose imprégner d’une multitude de diamants. De sa voix horrible et rauque, il me disait que j’allais partir puis la suite je ne l’avais comprise car il avait commencé à larmoyer. Devant moi ! Ce roturier pleurait devant moi sans essayer de ces cacher le visage et ainsi en m’affligeant cette horrible scène aussi dégoutante que repoussante. Oui, ces larmes entrainaient avec elles les bouts de terres qui parsemaient son visage squelettique .De ces mains crasseuses, il m’avait passé le licol rose. Il m’avait guider vers la sortie ou m’attendait ma Mère et ma sœur qui elle aussi sortait a peine de son écurie. Toutes trois nous étions a présente attaché a la cabriole de notre Maitre en compagnie d’une autre jument et d’un autre étalon : Klaus. Klaus, un étalon aussi distingué que magnifique et autant vous dire qu’il ni a pas plus distingué en ce bas monde. Le cortège démarra et quitta le lieu qui me servait d’écurie. Ou allons-nous ?
Nous avions marché pendant plusieurs heures jusqu’à ce que nous arrivions à la grande ville qui, toujours aussi agitée, semblait s’être agrandie. Nous l’avions traversé jusqu’à finalement que ma sœur, moi et les autres s’arrêtèrent devant le Fleuve qui traversait notre bien aimé contrée. Un gars m’avait détaché un peu brusque à mon gout et il m’avait même flatté l’encolure ! Enfin passons , il m’avait emmené dans un bateau amarré a la rive ou se trouvait déjà Klaus et l’autre. J’étais donc rentré sans me posé plus de questions. Ma mère rentrât puis ma sœur et enfin la calle se referma et après quelques minutes de cries insupportable venant de homme nous prîmes le large.
Cela fait plusieurs jours que nous voguons, plusieurs jours ? Je n’en avais aucune idée du temps que nous passions dans ce rafiot de pacotilles. Tout ce que je savais c’est que j’en avais marre de ne pas voir le ciel, les étoiles … Oui , nous étions confiné dans la calle et de temps en temps on venant nous nourrir. Ce spectacle était la décadence même ; je devais faires mes besoin devant les autres ! Décidément la prochaine fois je me poserait des questions avant de m’embarquer n’ importe où.
Aujourd’hui, Maitre est venue nous annonce que nous allions accoster et que nous irons dans notre nouvelle demeure. Je suis perplexe. Après tout ce temps dans cette calle j’avais médité sur la confiance que l’on devait accorder aux hommes et la réponse fut plutôt aucune. Je finie donc ici je ne marquerais rien de plus par peur de me faire de fausses idées.