Spirit Nouvelle Epopée
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♣ Le chemin de fer est terminé. Les cow-boys seraient-ils sur le point de partir ♣
 
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 Hell's |admin|

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April
    Co-fonda' - Mais comment tu fais ?

April


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♣ Fiche de personnage ♣
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MessageSujet: Hell's |admin|   Hell's  |admin| Icon_minitimeMer 27 Juin - 11:30



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Prénom

« jeune adulte ~ Chez Raven ~ femelle »




→ Présentation ←
Physique Minimum 2 lignes
Magnifique c'te question. Chuis grande, bien placée, les yeux bleus, une robe originale. Clair que tu va fantasmer sur moi, tellement chuis belle. Ma robe, c'est un dégradé de gris-bleu. Gris clair sur le dos, gris foncé à la fin de mes membres. Mes oreilles sont d'un gris si foncé qu'il en est presque noir. Sur ma croupe, j'ai une arabesque, sur la joue aussi. Sur ma tête, une belle liste grise foncée. Mon oeuil bleu est cerclé par du gris. Mes sabots sont noir et luisant. Je suis d'une taille respectable et je suis bien capable de tailler un étalon en pièce si il m'enquiquine. Grâce à mes fines et longues jambes, je peut courir rapidement si l'envie m'en prend. Je suis musclée tout de même, malgré mon apparence, de loin, on peut me prendre pour une faible petite jument. Mais essaie seulement de m'attaquer et tu te rendra compte de ce que mon physique vaut.

Caractère Minimum 5 lignes
Chuis sûre de moi, crâneuse, fière, arrogante, hargneuse, rancunière et je n'ai rien à foutre des lois. Il est rare que j'obéisse à qui que ce soit, mais je voue une fidélité sans bornes à Raven, le dominant de mon clan. J'aime pas les lois, je passe au travers, je les ignores. Pas peur de me faire enguirlander derrière, moi j'assume. Si j'ai un truc à dire, je le dit. Rien à faire du regard des autres, si j'ai envie de dire que tu me fait chier devant les autres, je le ferait. Si tu me cherche, tu me trouve et déclencher une bagarre ne me dérange pas du tout. Je déteste avoir tort et je pars dans la logique " c'est moi qui ai raison, pas toi". J'aime pas les poulains. C'est bruyant. Si ils se taisent je dit pas, mais sinon... Chuis pas fan quoi. J'aime pas les pleurnichards, les râleurs et ceux qui sont pas contents. Tu m'aime pas ? Tu dégage, je vais pas te courir après, compte pas sur moi. J'aime rabaisser les gens qui te regardent de haut. J'aime envoyer balader le monde. J'aime pas les gens qui pensent qu'ils valent mieux que moi. Pour que je m'attache à toi, t'as intérêt à le valoir. Je suis pas du genre "je suis ta meilleure poste pour la vie, wai ! copain !", vraiment, si tu te cherche une personne pour lui dire toutes tes petites emmerdes, compte pas sur moi.
Par contre, si je te connais vraiment bien, mais genre, à fond, et que je t'apprécie bien, je fait tout pour te tirer des embrouilles et je peut même t'écouter. Mais vu que t'es pas mon pote, bah, dégage.
Je supporte pas les humains non plus. C'est pas eux qui vont décider pour moi, je peut te le garantir. C'est pour ça que j'apprécie Raven : il est contre les hommes, comme moi.

Histoire Minimum 10 lignes
Quand elle est née, la première chose qu'à vu Hell's fut le ventre de sa mère. Chaud, douillet, rond. La demoiselle était allongée dans l'herbe fraîche, avec sa mère à ses côtés. Hell's se souvient encore de son souffle chaud et de son lait sucré. La mère de la pouliche présenta cette dernière à son père un étalon brun. Les deux parents étaient fière de leurs fille. Mais le bonheur de ne dure pas et un jour, le père de Hell's péris en chutant du canyon, tentant d'échapper aux cow-boys qui avaient attrapé Hell's et sa mère. La mère de la pouliche fut en deuil chez les cow-boys. Au début, ceux-ci furent triste pour le belle jument et tentèrent de lui redonner goût à la vie, en vain. Elle mourus à son tour, peu après. Pour Hell's, les humains devinrent le Mal, celui qu'il faut rabaisser. De la vermine, à ses yeux, ils devenaient de la vermine. Elle finit par haïr les hommes et leurs règles. Elle commença à mordre, à ruer. Elle appris à se sauver autours du fort et à se cacher pour les embêtés. Les hommes la voulaient pour eux et elle, elle s'offrait à la liberté. Elle appris plus tard à sauter la clôture ou à la casser selon l'humeur du jour. Elle se mis à bousculer les hommes, à manger la ration des autres, à piller le stock de nourriture. La jument devenait insupportable. Elle ne craignait pas la cravache, le poteau, le manque d'eau ou de nourriture. Elle savait qu'ils finissaient par arrêter, contrairement à elle. On décida de la dresser à la selle très jeune, pour qu'elle soit montable plus tard. Si ils s'y étaient pris plus tôt, ils auraient réussis. Pour commencer, Hell's se roulait avec sa selle et en cassa le nombre effroyable de treize. Pour empêcher les cow-boys de la sellée, elle se roulait et restait sur le dos ou se collait à un mur. Pour qu'ils ne puissent pas lui passer le mors à la bouche, elle gardait un bout de bois entre les dents. Si elle ne l'avait pas, elle reculait vivement la tête au moment où ils passaient les doigts dans sa bouche pour les mordre. Lorsqu'il sanglaient, elle gonflait le ventre si fort qu'ils devaient changer de sangle. Lorsqu'ils re-sanglaient, elle faisait mine de se laisse faire, mais gardait toujours un le ventre rond. La première fois qu'elle eu un homme sur le dos, elle cabra si fort qu'elle se renversa sur lui, l'écrasant. Elle se redressa, l'homme toujours sur le dos et l'envoya à terre. On lui colla plusieurs cavaliers, un sur le dos, trois ou quatre la tenant. Au bout de quatre jours, elle n'avait toujours pas été montée. Un des soldats eu l'idée de génie de la faire courir pendant longtemps. Dès que Hell's fut fatiguée, on l'enfourcha. Au lieu de se laisser faire, elle rua encore plus fort, l'envoya dans le décors et franchis la clôture. La jument était pleine de sueur, harnachée, méfiante et sur le qui-vive, au milieu des pâtures. On décida d'en faire une poulinière, ce serai ça de pris.
Le jour où les hommes menèrent Hell's à la salle de saillie, la jument était d'humeur massacrante. Encore plus mauvaise qu'à l'ordinaire. Lorsqu'ils l'attachèrent, elle plaqua si fort les oreilles au crâne qu'elles disparurent sous ses crins. Lorsque l'étalon entra, elle se mis à lui ruer dessus tout en le menaçant :

" Évites-toi des ennuis et pars."

Au début l'étalon resta sans bouger, mais lorsqu'il faillit se prendre un coup de pied dans le ventre, il partit au trot. Les hommes se mirent à rouer Hell's de coups, mais la jument tenait bon, un rictus moqueur aux lèvres. Elle s'en foutait. Elle avait tenu tête aux ordres et avait réussis. Lorsque les hommes la détachèrent, elle les tapa à nouveau, rageuse. Ils la mirent dans le corral. Elle marchait, en long, en large, en travers, fixant des yeux la porte et les hommes.
Enfin, elle s'ouvrit. Hell's constata qu'aucun cheval n'était prêt à partir avec un homme. L'occasion rêvée. La jeune adolescente se mit au galop et franchis la clôture, bouscula les cow boys, tapant, mordant. Elle franchis la porte et galopa longtemps, changeant de direction régulièrement. Elle se roula dans la poussière pour ne plus être grise. Avec joie, elle pensa à la chance qu'elle avait eu, pouliche. Les hommes avaient tout bonnement oublié de la marquer au fer et il était impossible de la faire approcher des deux barres de bois ou de l'approcher avec un fer. Plusieurs fois, elle l'avait éviter de peu et le seule chose qui fut brûlée furent ses crins. Rien de bien grave.
Libre. Enfin. Elle était à nouveau libre. Pendant une semaine, elle ne bougeât pas trop, mais les cow boys se lancèrent à sa poursuite. Soit. La jument les faisaient tourner en bourriques. Puis l'un d'eux l'attrapa au lassos et se mis à l'étrangler en lui passant un licol de corde. Hell's en eu marre. Elle se cabra sur le cow-boy, l'écrasant avec satisfaction. Le cheval de l'homme la regardait avec un drôle d'air et Hell's lui cracha presque dessus :

" Ouai j'ai tué un homme et alors ? T'en r'demande ?"

Le cheval lança un petit couinement puis s'éloigna en trottant, suivis des autres cow boys. La jument garda le licol pendant un long, très long mois, frottant sa tête contre les arbres. Lorsqu'enfin il tomba, Hell's poussa un long soupir de soulagement. Elle finit par tomber sur Raven et écouta ce qu'il avait à dire. En gros, pas copain avec les humains. Il plut à Hell's, et il était bien le premier :

" Ouai, tu défends des valeurs sûres. Ça t'gêne pas d'm'avoir dans ton troupeau ? Parfait, j'm'y invite."

Voilà en gros à quoi se résumait ce que dit Hell's avant d'intégrer le troupeau de Raven. Toujours, elle a écouter son dominant, mais il reste le seul. Elle est septique face aux autres et moqueuse. Lorsqu'elle croise un humain, ce qui reste rare, elle le chasse ou le tue. Bref, Hell's c'est un chieuse née et elle à pas fini de vous emmerder.

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