Que puis-je pour vous, sinon rien ? [PV: Blackberry]

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Je regardai a terre. Un carnage j'aurais dit. Le puma était passés par là, ou je dirais plutôt un. Comment savais que c'était un puma ? Tout simplement car beaucoup de chose les différenciaient des autres félins ou même carrément des loups, mais cela tout le monde le remarquait, vu la taille des traces de pattes mais aussi la façon d'attaquer, des morsures et non des griffures. Je n'aimais pas ces prédateurs, ils avaient beau se nourrir en le faisant, c'était lâche de s'attaquer aux poulains, ou même aux plus faibles. Je ne les aimais pas mais je ne pensais pas a m'en débarrasser, même si j'en avait bien envie. Même les chevaux sadiques me semblait sympathique a côté de ceux-là. Je ne comprenait pas vraiment moi, en tant qu'herbivore, comment l'on pouvait tuer pour se nourrir. mais selon moi, les hommes étaient bien pires que cela, ils tuaient, eux, pour rien. Oui ils le pouvaient, ces êtres soit-disant les plus intelligents. J'entendis du bruit autour de moi, autre que le bruit du vent, quelque chose qui arrivait, et a vive allure. Je relevai le tête, pour voir d'où cela venait mais je ne vis rien, comme si ce qui s'approchait était invisible. Mais c'était bien réel, des bruits de sabots, le rythme du galop d'un cheval , ou plutôt de plusieurs. Mais.. ça faisait longtemps que je n'avais pas entendu un troupeau se déplacer, donc j'en conclus que ce n'était pas des chevaux sauvages, c'étaient des domestiqués, qui voulait attraper un cheval. Et cela ne m'aurait pas étonné que se fut moi. J'étais a découvert dans la plaine, a l'orée de la forêt, ç'aurait été facile d'y entrer mais non, ce ne fut pas ce que je fis, je me mis a galoper dans leur direction. Tellement étonnés, comme je m'y attendais, il stoppèrent leurs chevaux et moi je continuai sur ma lancée. Mais ils ont perdu de précieuses secondes a s'être ainsi arrêtés et finalement je leur échappai.Pfiu..ils m'ont surpris durant ma réflexion, heureusement que je ne fus pas aussi surpris qu'eux, sinon j'aurais déjà été au fort en compagnie de ces créatures. Je marchais et, comme pour échapper a tout cela, je me dirigeai ver sla vallée du paradis. Ce n'était pas si loin et en moins de temps qu'il n'en fut pour le dire je fut arrivé a destination. Je m'approchai du ruisseau qui la traversait et but quelques gorgées de l'eau claire qui coulait en abondance. Je fermai les yeux. Cette vie était loin du paradis je le savais mais je m'en fichait presque. Surtout de moi. Je n'avais rien a faire ici, mais cet endroit me faisait du bien. Tiens ? Encore du bruit. Qui cela pouvait-il être ? Quelque chose de fin se rapprochait, la preuve, j'entendais a peine. Mais je fis comme si de rien était, je continuai de boire tranquillement, la tête baissée, les yeux mis-clos. Ça y était, je sentis une odeur particulière, celle d'une jument. Je n'allais rien faire pour attirer l'attention, tant que l'on ne m'avait pas vu. Et puis je ne sentis plus de présence soudainement. Je levai la tête, elle était là.... Je ne savais pas ce qu'elle faisait là; peut-être la même chose que moi... Je n'étais guère galant, je ne parlai pas, la laissant commencer si elle en voulait.

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Avide de nouvelle trouvaille, voire de nouveau paysage connaitre de nouvelle personnes, découvrir de nouveau caractère. Je sens en moins comme un étouffement. Je veut tant apprendre, tant savoir, tant connaitre ! Cela devient en moi une obsession que je cache devant tant de chevaux. Personne n'ai au courant de cette lubie. Je marcher en direction d'un lieux encore inconnu pour moi. Je sais apprendre de nouveau un lieux qui, j'espère, sera magnifique.

J'avançais pas a pas, tranquillement. Oui car j'ai tout mon temps, aucun danger a l'horizon. Le temps devenait de plus en plus chaud a chaque jour que nous approchions du printemps. Je huma l'air frais du matin et regardas autour de moi. Quand d'un coup un groupe de cow-boys passèrent devant moi sans faire attention a ma petite personne. Non mais quel culo. De peur je partie au galop vers une vallée. On la nomme la vallée du paradis. C'est vrai qu'il faut y être pour y croire, c'est vraiment magnifique ici. Une multitude d'arbre se tenait dans cette vallée ainsi qu'une rivière qui y avait élu domicile.

Je vis en bas de la vallée, le long de la berge, un cheval sombre qui buvait. Je descendis donc doucement la pente pour entré dans cette vallée. Je regardas plus précisément le cheval. C'est un étalon vu sa carrure et de son odeur. je m'approchas de lui tout en douceur pour ne pas lui faire peur. Quand je fus près de l'eau il leva la tête pour voir qui était là bien la rabaissa sans un mot. Tient il me dit pas bonjour ? Quel impolitesse. Mais je ne fus pas vexer pour autant. Il buvais tranquillement l'eau clair et je fis pareilles. Les oiseaux qui chantaient rompirent le silence entre lui et moi. Puis enfin je me décida a lui parler.

- Tu est du coin ?

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Je l'observais du coin de l'oeil... elle venait et me dérangeait car elle m’intriguait. Je suivais ses mouvement et a la voir je savais qu'elle m'avait remarqué et qu'elle n'allait pas tarder a me saluer ou a me poser des questions vu son air interrogateur. Mais faisant semblant de rien, je continuai tranquillement de boire l'eau dont le courant était doux et sans remous. Tout autour de nous, les quelques oiseaux qui n'étaient pas partis durant l'hiver, piaillaient. Je n'aimais pas beaucoup leur chant a ceux-là. Ce devait être des moineaux ou des volatiles encore plus rare. Contrairement ce que peuvent penser certaines personnes de quelqu'un avec une ouïe excellente comme moi, je ne reconnaissais pas le cri des oiseaux et pour tout dire je trouvait cela inutile. Je n'avais pas gardé les choses inutiles en moi et plus je ne les avait même pas apprises pour la plupart. Certains me prenaient pour un incultes de ne pas savoir de quelle race est tel ou tel cheval, ou bien même tout simplement de quoi son composé les nuages. Je le savais pour sur c'était facile, mais je l'oubliais très souvenir car cela était de très peu d'importance. Tout en réfléchissant je regardais la jument encore, elle était descendu auprès de la berge du ruisseau et fis la même chose que moi, après avoir fait une moue désapprobatrice devant mon désintérêt vis-avis d'elle. Je l'entendais boire, pire j'entendais chaque gorgée qu'elle prenait du liquide translucide. Et puis Elle releva légèrement la tête et d'une voix claire qui avait l'air de cacher légèrement son énervement elle me dit, ou plutôt me demanda:

- Tu est du coin ?

Les yeux baissés je semblait au premier regard comme absorbé par ce que je faisais ou bien par le bruit de l'eau. Puis finalement je relevai très peu la tête de sorte que mes lèvres ne fussent plus sous l'eau et soupirai. Pourquoi ? comme ça.. je savais très bien que mon soupir pouvait attiser la frustration de la jeune jument amis je ne faisait pas tant de manière. Je répondit juste d'un léger "mmh..". J'étais là, moi l'étalon que l'on disait inculte, fasse a une jument, et impoli. Je n'étais pas galant depuis que je savais que c'était inutile si l'on perdait tout. Je faisais bien sur allusion a Omega qui avait perdu les souvenir de moi. Mais cela ne me faisait plus ni chaud ni froid. Je me disais chaque fois "t’inquiète pas c'est pour la bonne cause qu'elle a perdu la mémoire, c'est mieux qu'un traumatisme non , Sabaku ?". Oui.. mais je ne me donnais jamais raison a juste titre je n'en avais pas envie, comme toute ces choses inutiles que je n'avais pas envie d'apprendre. Finalement je me dis qu'il fallait que je sois plus sympathique avec cette jument, après tout ce n'était pas sa faute. Je relevai vivement mon encolure, fis un mouvement de haut en bas avec ma tête comme pour me dégourdir les vertèbres du cou, comme si je n'avais pas bougé depuis longtemps et entrepris de lui répondre:

-Bonjour déjà, et pour répondre a ta question, non je ne suis pas d'ici, je me balade de partout. Je ne suis de nulle part

Et cela sur un ton neutre, je ne me suis même pas excusé pour mon comportement non. Je trouvais qu'il n'y avait rien de honteux la dedans. Je n'ai pas souris, j'attendais juste sa réaction, pour essayer de cerner son caractère, ce qu'elle savait ou ne savait pas. ce qu'elle était quoi...Puis, je me mis a marché légèrement sur le bord du cours d'eau, parce que j'avais du mal a rester sans bouger malgré ma patience.

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Il restas là les yeux baissées, il avait l'air comme absorbée par ce qu'il fessait. Au bout d'un certain temps il releva enfin la tête il fis un soupir. Je ne sus pourquoi mais je ne voulais pas savoir. J'avais envie de parler, et de connaitre une nouvelle personne, avec un nouveau caractère, j’espère qu'il ne seras pas simplet, j'aime pas les simplet ! Il sortir un petit " mmh " a peine audible. Je du tendre l'oreille pour le capter. Eh bé dit c'est pas un grand bavard celui là. Il avait l'air assez pensif et je n'osas le dérangeais déjà que je ne peux bavarder avec sans en tiré un léger marmonnement. Je continuas alors a boire. Mais d'un coup il releva vivement son encolure, et fis un mouvement de haut en bas pour je suppose se dégourdir les vertèbres du cou. Surprise je releva aussi vivement mon encolure. Je le regardas comme une enfant, les yeux pétillent de joie.

-Bonjour déjà, et pour répondre a ta question, non je ne suis pas d'ici, je me balade de partout. Je ne suis de nulle part.

Ho oui que je suis bête des fois j'ai complétement oublier de lui dire bonjour. Confuse je rougis de honte et baissa la tête comme pour m’excuser. Il s'était exprimer d'un ton neutre.

- Ho je suis désoler, quelle impolie je suis, je ne t'es pas dit Bonjour ... Je peux te tutoyer hein ?

J'avais relevais la tête pour le regardais dans les yeux toujours avec cette joie qui pétiller dans mon regards. Il m'a l'air bien sympathique malgré son caractère ronchon au premier abord. Enfin c'est l'image qu'il me donne. Me m'approchas de lui comme pour l’inciter a me répondre mais sans plus attendre je continua comme une vrai pipelette.

- Tu est de nul part ? Tu est un solitaire alors ? Ho les solitaire ils me rendent triste de les voir tout seule même si je sais que eux ils sont heureux seul ...

Je me rendis compte que je commençait a me mettre a parler toute seule alors que je ne le connait pas très bien et même pas a vrai dire. Je serais capable de me faire un monologue devant mon reflet. Je m'arrêtas et rougis a l'idée de cela et tourna la tête pour regardais les poissons qui nageaient dans l'eau de la rivière.

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Ma réponse eut alors l'air de la satisfaire, vu son expression de contentement. En quelque mots, même indifférents, j'avais presque réussis a la faire sourire. Bon... cela ne se dessinait pas sur son visage mais je voyais a la lumière dans ses yeux qu’intérieurement elle était plutôt contente. Et puis elle sembla soudainement honteuse. Pourquoi ça ? Je n'avais pas vraiment envie de le savoir, c'était encore inutile a mes yeux, tout comme ce début de discutions mais qui sait..cela allait surement devenir plus intéressant. Mais non en fait... la seule chose qui sortis de sa bouche a ce moment là était une simple excuse qui ne me servait pas vraiment..:

- Ho je suis désoler, quelle impolie je suis, je ne t'es pas dit Bonjour ... Je peux te tutoyer hein ?

Ouai, ouai moi non plus je n'ai pas dis bonjour et cela ne m'avais pas embêté pour autant. Je commençai alors a penser que nous étions relativement différents elle est moi. Je levai les yeux aux ciel. bien sur qu'elle pouvait me tutoyer, je ne me sentais pas assez important pour que l'on me parle avec la deuxième personne du pluriel. D’ailleurs je n'ai jamais compris pourquoi. Même quelqu'un, aussi important soit-il, ne pouvait être plusieurs personnes pour que l'on lui parle au pluriel. Et puis de toute façon je ne faisais jamais tant de manière. Je la vis me regarder, toujours une étincelle pétillant dans ses yeux clairs. Et puis elle s'approcha de moi, a pas lents et fluides comme si elle cherchait ainsi a m'inciter à lui répondre :

- Tu est de nul part ? Tu est un solitaire alors ? Ho les solitaire ils me rendent triste de les voir tout seule même si je sais que eux ils sont heureux seul

Sa façon de parler me rappelait le caractère des poulains naïfs qui ne comprenaient rien a la vie, mais j'avais bel et bien une jument en face de moi. J'esquissai un sourire a la pensée que je pouvais associer mon interlocutrice a un poulain, ce fut d'ailleurs le seul sourire que j'avais fait depuis qu'elle était là. Puis mon expression redevint normale, je n'avais pas grand chose a répondre a cela. Pourquoi les gens ont-ils tant de choses a penser des solitaires alors qu'ils ne les connaissaient pas ? Certains ne les aimaient pas, d’autre les prenaient en pitié. Mais aucune contraintes, aucune formalités, c'était plus ça être libre que d'avoir des choses a faire tout les jours. Moi je ne faisait rien et malgré l’ennui qui me tiraillait j'aimais cette vie. La seule chose que je trouvai a dire fut:

- J'imagine que tu viens d'un de ces troupeau n'est-ce pas ?
Comment je sais que tu peux pas être domestiquée ? A voir ta dégaine on dirait bien que ça ne pourra jamais être le cas.

Je n'ai pas dis ça méchamment, tout au plus je n'ai fait que constater. Et puis j’ai remarqué qu'elle parlait assez. Allons-bon... une pipelette. Je n'avais rien a faire alors je ne suis pas partis, et puis.. ç'aurait été trop impoli de s'en aller comme un voleur après ce que je venais de dire. Elle se mis a regarder l'eau après avoir légèrement rougis. Pourquoi cela ? Elle est vachement timide celle-la. Elle avait arrêté de marcher en ma direction,et donc se fut moi qui fis cela. Elle me faisait un peu penser a Omega, avant qu'elle ne perde la mémoire bien sur, sa façon d'avoir l'air si innocent, cette joie de vivre qui pétillait au fond de son regard. La jument que j'avais connu était devenue si vide d'émotion que ça m'avait rendu malade. Je souris intérieurement. Je n'avais plus envie de sourire physiquement, c'était comme ça...

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- J'imagine que tu viens d'un de ces troupeau n'est-ce pas ?
Comment je sais que tu peux pas être domestiquée ? A voir ta dégaine on dirait bien que ça ne pourra jamais être le cas.

Que je parle ainsi cela ne l'avais pas énerver a priori. Souvent on m’envoie balader quand je parle trop. Non lui il m'avais écouter ou plus ou moins mais il n'était pas partie ou fis un geste d’agacement. Cela me donna envie de mois bavarder comme une pie et de mener un vrai dialogue avec l'étalon. Mais en repensent a ce qu'il vient de dire comment a t-il fait pour savoir que j'appartenais a un troupeau ? Ma dégaine ? Ho il est fort dit donc !

- C'est exacte est plus précisément celui de Storm. Et au passage moi c'est Blackberry.

Je baissa la tête vers l'eau qui coulais et essayas de boire quelques gorgés malgré que l'eau soit trop froide a mon gout. Je releva la tête et l'admiras. Je lui fis un grand sourire. j'avais vraiment envie d'en apprendre plus sur lui, sa personnalité, son caractère, sa façon de voir les chose. Son nom aussi sa ne serais pas bête sa.

- C'est quoi ton petit nom ?

Je le regardas avide d'une réponse. Je vais pouvoir mettre un nom sur se visage. Les yeux étincelant de joie, un demi sourire au coin des lèvres. Oui je suis heureuse et ne ne sais pas vraiment pour quelle raisons. Peut-être d'être là en compagnie d'un étalon qui n'est pas aussi commun.

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Quelque chose a attiré mon attention. Elle avait vraiment l'air heureuse, sincèrement, que je lui réponde, ou même que je lui adresse la parole toute étrangère qu'elle soit. Mais aussi a voir son expression de surprise, j'avais raison sur son compte. Je souris intérieurement. Bien, a après tout je me trompais rarement. La jeune jument m'a répondu alors, montrant que j'avais bel est bien raison:

- C'est exacte est plus précisément celui de Storm. Et au passage moi c'est Blackberry.

Blackberry hein.. Ce nom ne me disait rien, mais c'était bien de faire de nouvelles rencontres, et pas seulement avec des morts disons. Je n'avais pas eu de compagnie depuis longtemps alors autant en profité. De plus cette vallée ne semblait pas pervertie par l'esprit mauvais, ou par tout autre chose. C'était tranquille, une vallée dans laquelle chantait une rivière, et de oiseau par la même occasion même si je n’appréciais guère leur chant.. Blackberry baissa la tête, a la recherche de l'eau pur et en pris quelques gorgées. Elle n'était ni jolie ni laide..mais je l'aimais bien, rien qu'en la voyant. Je n'arrivais moi jamais a trouver de qualité aux étranger, pas même a elle, ce fut pourquoi je ne pouvais jauger son physique. Je la regardai et elle releva la tête rapidement. Ses yeux verts brillaient comme si elle me trouvais bien. Elle sourit, et je le lui rendit, avec un léger sourire aussi. EN plus d'être bavarde, elle semblait curieuse, avide de connaître, et elle me posa la question incontournable a laquelle je m'attendais:

- C'est quoi ton petit nom ?

Je baissai la tête est souris, paupière mi-ouvertes.. Je m'y attendait, bien évidemment, mais pas de cette façon là. Enfin.. venant d'une jeune jument comme ça.. Mais je ne pouvais pas lui dire non, après tout elle m'avait donné le sien:

- Moi ? Je m'appelle Sabaku tout simplement.

Sans vouloir me vanter je suis relativement simple dans ma façon de parler, mais très compliqué dans ma façon de penser. Ses yeux brillaient toujours, je voyais que cela lui plaisait de rester là, en face de moi. Rien que ses premières paroles me faisait cerner son caractère. Jeune,curieuse, bavarde,polie, amicale.. enfin.. c'est cela ma première impression. Je sus aussi que par sa joie elle avait eu d'abord peur que je m'en aille et la laisse en plan, et elle avait découvert que ce n'était pas le cas. Mais je ne trouvai qu'un truc a dire:

-Et bien tu a l'air d'avoir beaucoup galoper dit-donc. N’aurais-tu pas croiser un humain ou plusieurs ?

Elle était transpirante, presque autant que moi, elle avait beaucoup de boue sur les membre. D'habitude cette terre ne monte pas si haut si l'on ai qu'au trot, ou au pas. Et comme il avait plu dernièrement je ne pouvais me tromper. C'était tout de même très facile a deviner...

(désolé pas beaucoup d'inspi..)

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- Moi ? Je m'appelle Sabaku tout simplement.

Je le regardais avec attention et curiosité. Sabaku, en voila un nom original pas un truc du genre " Cassis " ou " Tonnerre " Enfin pas un nom aussi banal. J'aime pas les nom banal je trouve sa monotone et d'aucune importance. Alors je ne trouve aucune utilité de m'intéresser a ce genre de personne. mais Sabaku porté un nom qui avec tout un sens, une énigme, quelque chose qu'il caché, son histoire et son caractère. Et moi je suis avide de tout savoir. Une vrai commère mais je ne répète pas ce genre de chose, qui voudrais savoir tout sa ? Personne alors je me tait et me délecte de toute ses connaissance.

-Et bien tu a l'air d'avoir beaucoup galoper dit-donc. N’aurais-tu pas croiser un humain ou plusieurs ?

Oui comment a t-il remarqué cela ? J'ai du galoper pour écharper a une meute de cowy-boys enragées a la recherche de nouveaux cheval pour leur servir de montures. S'ils m'avaient en temps que montures ils auraient de gros souci techniques. Je regardas alors mes membres pleins de boue. Je ne suis pas comme ses autres juments qui font très attention a leur pelage. Des fois je me roule dans la boue par pur plaisir. A la bonne franquette comme on dit ! Je regardais donc la boue et fis une mine du genre " bof pas grave " et regardas de nouveau Sabaku.

- Oui mais je les est facilement semer car il courser quelqu'un d'autre.

Je vis que lui aussi avait de la boue aux membres et le poils a certains endroit plaqué contre sa peau.

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Au moment où je lui ai parlé elle a semblé remarquer les morceaux de boue qui maculaient ses membres. Au moment où je me suis attendu a a un cri de jument genre, au secours je suis salie, J'ai eu une sacrée surprise, une bonne surprise pour ainsi dire. Elle a regardé les tâches nonchalamment n'a pas cillé durant une demi seconde et a reporté son attention sur moi. Limite elle aurait haussé les épaules ça aurait été pareil. Elle pourrait même dire que ce n'étais pas grave. Cela m'a fait sourire. Et bien.. pour une fois qu'une jument adolescente se fichait de son apparence. Pour moi c'était assez nouveau après Omega. Je n'ai pas soupiré. Je n'arrivais pas a l'oublier, pourquoi me revenait-elle sans arrêt en mémoire...ah la la... J'aurais bien aimer perdre la mémoire moi-même, quitte a perdre cette intelligente dont je me vante intérieurement parfois...

- Oui mais je les est facilement semer car ils coursaient quelqu'un d'autre

Je crois bien.. Que j'ai faillit éclater de rire... c'était moi. Rien que moi. Sans le vouloir je lui avait évité de se faire courser par les cow-boy. Oui j'vais pas dire éviter de courir car on dirait bien que c'était déjà fait. J'ai soupiré, mais je souriais toujours, comme un abruti en fait. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Peut-être parce qu'à cet endroit là, comme son nom l'indique, c'est le paradi et les malheur disparaissent. Mais l'enfer existe. Comme quand l'on perd quelqu'un d'une perte pire que la mort.. Et voila..J'y repensais encore. Je ne le faisais pas exprès. Chaque fois c'était comme si mon cerveau voulait me torturer en me redonnant des images en tête directement lorsque quelque chose est un appel, même léger, à elle. Bon.. J'ia faillit perdre la boule a ce moment là mais bon. J'aurais pu éclater de rire ou simplement répondre. j'ai répondu:

-T'as tout simplement eu de la chance, que les humains essayaient d'attraper un autre.

Je n'ai pas dit que c'était moi. Simplement pour voir si elle allait deviner. Ben oui... Elle avait l'air presque émerveillée a chaque fois que je devinais un truc, il fallait que je voie si je pouvais faire de même, même si pour moi, c'était impossible de me surprendre désormais. Ben oui.. tout d'abord je m'attendais a tout depuis un bon moment et parfois sans le vouloir je le devinais. J'attendis un peu, je baissai ma tête pour regarder mes membres. Eux aussi étaient plein de boue, et comme elle je m'en fichais beaucoup. Le ruisseau continuais son mouvement tranquille, l'endroit était simplement relaxant. Mais je ne pouvais pas rester là, dans cette endroit presque romantique, ç'aurait été bien un rebondissement là maintenant. Peut-être que en continuant a parler Blackberry enlèvera mon ennuis bien prenant...

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- T'as tout simplement eu de la chance, que les humains essayaient d'attraper un autre. - Que voulait-il dire ? Je ne suis pas blonde, j'ai une tête et je sais m'en servir. Alors black'bé pourquoi tu t'en sert pas ? Réfléchie ! Les humains essayaient d'en attraper un autre. Mais qui cela peut-il bien être. Je levas les yeux vers lui comme pour avoir une illumination. Et elle ne mis pas longtemps a venir. Mon visage s’illumina. Les cow-boys galopèrent après lui ? Mais pourquoi ? Ha pour le capturer bien évidement. Il avait tout comme moi de la boue sur les membres, donc il a courus, tout comme moi mais pas dans le même sens. - C'est toi qu'ils voulaient attraper ! Je me trompe ? - Je pris une petite voix de malicieuse. Si j'ai bon c'est que je devient meilleur en devinette.Je le regardais dans le blanc des yeux avec une impression de victoire. Comme si j'avais résolus l'énigme du siècle. Je ne réfléchis pas tant que cela moi. Je suis plutôt du genre, fouineuse, curieuse, toujours a la recherche de quelque chose. Je ne m'arrête pas pour réfléchir, je fonce dans le tas. Un danger ? Je fonce dedans. Un cheval ? Je vient lui faire la causette. Mais souvent ils partent bien avant la fin de la discutions. Sabaku, lui a battus le records de temps de discutions avec moi ! Je le regardais comme si j’admirais quelqu'un. Puis prise d'une pulsion je mis mon sabot dans l'eau et fis des projection d'eau sur l'étalon. Comment va t-il réagir ? Je n'en sais rien mais moi je ris au éclat.

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Je me mis a attendre la réponse, presque avec insistance. Donner un test très facile à quelqu'un m'aide parfois a découvrir leur caractère encore plus profondément. Qui réfléchira plus sera plus calme et posé, qui répondra de suite sera dynamique (ou super intelligent mais passons).. Qui donnera un réponse fausse montrera l'impatience -ou des fois la bêtise mais c'était rare... quant a elle..mmmh.. C'était un peu difficile a voir. Elle a réfléchit certes mais sa réponse ensuite plus directe et qui semblait plus rapide ne m'aidait pas trop.. Non elle était a part, comme celle qui jadis était ma meilleure amie. Revenons aux faits, elle m'a donc dit la bonne réponse avec bonne humeur, et un grand sourire:

- C'est toi qu'ils voulaient attraper ! Je me trompe ?

Bien sur que c'était moi. Si je disais ça c'était bien que j'avais quelque chose en tête. Un autre type sans aucun rapport n'aurait pas répondu cela. J'ai souris, avec bienveillance cette fois. Je l'aimais bien cette jument, Blackberry semblait vraiment bonne vivante même si elle semblait bavasser beaucoup et agir peu. Cette pensée a faillit m'arracher encore un rire. Je n'était pas autant bon vivant, je ne pouvais pas sauter partout a la moindre occasion et me mettre a parler de la pluie et du beau temps a tort et a travers. C'était mon caractère voila tout. Le soleil brillait un peu plus intensément dans le ciel sans nuage, et j'en vint presque a oublier l'horrible scène a laquelle j'a eu affaire un petit peu plus tôt. C'était triste. Et puis ces humains, qui m'avaient courus après pour je ne savais quelle raison. N'avaient-ils pas assez de chevaux de chasses pour vouloir en avoir d'autres ? Cette idée me dépassait complètement mais je me fichait de trouver la réponse où non. Soudain, je fus sortis de mes pensées par une giclée d'eau dans le visage et sur l'encolure. Je me retournai. Blackberry, les sabots dans l'eau, riait aux éclats.

Tout d'abord je fit mine de m'énerver. Je fronçai les sourcils légèrement, bien que les petits plis au coin de ma lèvre, très peu distincts, prouvaient le contraire. Qu'elle essaye donc de deviner ma réaction et mon humeur après cela. Non je n'étais pas rancunier, et pratiquement pas susceptible. Et si je me décoinçais un peu pour voir. Je rentrai dans le courant marin faible et me mis a marcher, faisant bien attention a ne pas glisser sur les cailloux du fond. Et soudain sans prévenir je me cabrai et retombai si lourdement dans l'eau que j'éclaboussai tout autour de moi, c'est-à-dire aussi mon interlocutrice. Je souri, mais ne riais toujours pas. mais j'étais tout de même plus content qu'il y a peu.

-Oui elle est très bonne j'en suis sur !

Et rebelotte j'ai encore éclaboussé la jument grâce a mon cabrage avant de démarrer au galop et partir un peu plus loin. Tu me suis ? C'est tout ce que je semblait dire tout au fond de mon regard. Je me sentais mieux tout de même. J'ai profité de l'attente pour brouter un peu l'herbe verte qui tapissait les côtés des rives, et puis je l'ai vue arriver..

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Sabaku me rejoignis dans l'eau. Il était en face de moi et n'avais pas l'air si heureux de cette éclaboussure. J'ai cru un instant avant qu'il rentre dans l'eau, qu'il fasse une tête de quelqu'un qui ne sais pas s'amuser et partir. A mon grand soulagement, non. Toujours un large sourire a mes lèvres je n'ai pas vu le truc venir. Sabaku se cabras sans glisser sur les cailloux plein de vase et d'algues. En retombent il fis tout plein de projections d'eau dans tout les sens. J'en reçus en plein visage et hennis de surprise. - Oui elle est très bonne j'en suis sur ! -

Je le regardas dans les yeux et ris. Il se recabras de nouveau et fis comme la première fois. Je fus encore plus mouillée. Je ris de plus belle. être pleine de boue ou d'eau cela ne me fessait absolument rien. On me traité souvent de garçon manqué étant petite mais en grandissent les autres me virent devenir plus fine et élégantes et les ricanement se transformèrent en hennissement de lourd séducteur. Il m'ont en fait voir de toute les couleurs étant petites et je m'était venger en les ignorant.

Je le vis sortir de l'eau et partir au galop un peu plus loin dans l'herbe tendre. Il me lanças un petit regard. Je vais pas rester en plan dans l'eau tout de même ? Ho et puis temps que j'y suis je vais enlever toute cette boue de mes membres. Je fis des petit mouvement et la boue se décollas facilement. Je sortie de l'eau avec une petite poussé de mes reins. Je m’ébrouais pour enlever la plus grande partie de l'eau qui se trouver sur moi, le reste sécheras hein ! Je le rejoignis au petit trot. - Alors on m'attend pas ?! - Je sourie et lui donna un petit coup d'épaule d'affection. Il m'avais l'air bien gentil sous cette coquille de solitaire. Un petit quelque chose se fis au creux de ma poitrine. Comme des papillons qui volaient.

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Je continuai de brouter comme si de rien été, comme si je n'avais pas fait le fou l'instant d'avant. Ici elle était bonne, comme si tout dans cette vallée se devait d'être parfait pour qu'elle mérite son nom, comme si le dieu en lequel je ne croyais pas essayais de l'entretenir chaque jour un peu plus. Ce petit coin de paradis où les humains n'avaient pas leur place, où ils ne devaient et ne pouvaient normalement pas venir.. Et j’espérais bien. Tout autour de moi s'étendait une légère plaine qui ensuite remontait en pente douce vers le sommet de la colline, le tout sous quelques arbres par ci par là, sur lesquels les oiseaux prenez un malin plaisir a me casser les oreille en s'y posant. Blackberry est sortie de l'eau, trempée de la tête aux pieds. J'ai remarqué qu'elle avait enlevé la boue de ses membres fins et bruns, et cela la rendait encore plus jolie. L'eau s'était chargé de me l'enlever aussi, et j'étais mouillé. La jument s'ébroua et s'approcha de moi l'air amusé:

- Alors on m'attend pas ?!

J'ai esquissé un sourire. J'avais bien vu a sa tête qu'elle avait été surprise par le fait que je m'étais cabré si soudainement. Donc elle n'avait pas pris le temps d'observer mes traits assez longuement pour deviner. Mais a son rire j'étais sur qu'elle allait faire.. Tiens je le savais. Elle me donna un petit coup d'épaule amicale, comme pour me dire en rigolant implicitement "méchant va!". Je n'ai pas répliqué et j'avais relevé ma tête. Etant légèrement plus grand je pouvais la regarder de haut. Non pas méchamment, plutôt avec bienveillance et protection. Elle était gentille avec moi et semblait faire des efforts pour rester tranquille.

- Mais si je t'attendais mais tu n'allais pas assez vite ! dit cela sur un ton légèrement moqueur mais sans plus. Juste après avoir dit ces mots, je suis partis au galop sur un petit éclat de rire. Tiens..C'était la première fois depuis notre rencontre t peut-être depuis longtemps, que je n'ai pas ris. Était-est du a sa seule présence ? j'en doutais.. Comment expliquer que seul la présence d'un être peut vous aider a surmonter quelque chose ? Bof..Donc je suis partis au galop, pas trop vite pour être sur qu'elle me suive, et j’ai longé le ruisseau. Je l'entendais derrière moi, pas très loin d'ailleurs, le rythme régulier de ses sabots martelant le sol, son galop a bonne amplitude. Je m’apprêtais a me retourner quand je m’arrêtai net. Nous étions sortis de la vallée et mes ennemis me regardais bien en face. L'un d'eux esquissa uns sourire, toujours assis sur sa monture. Il a murmuré un truc du genre: "on l'a retrouvé cet étalon malin, on va l'avoir".

*Vous en m'aurez jamais espèces d'incultes. Il ne vous arrivait jamais de fatiguer et d'abandonner un peu ?* Mais l'avantage du terrain était de mon côté. Je suis resté là un peu a les défier du regard, quand l'un d 'eux a murmuré un truc que cette fois je n'ai pas entendu. Et ils sont partis au galop. Mais pas en ma direction, vers Blackberry a côté de moi. Oh non ! Les lassos tournoyant au dessus de leur tête ils venaient vers elle. J'étais sur qu'elle allait s’enfuir et qu'elle était maline mais je en pouvais me résoudre a rester planter là. Ni une ni deux je me suis avancé devant le premier et me suis cabré de toute ma hauteur, les oreilles rabattues en arrière. Pas question ! Surpris son cheval s'est cabré aussi et le cavalier est tombé. Exactement ce que je voulais. J'ai fait signe a Blackberry de me suivre:

-Viens il faut grimper sur la pente des collines, ils ont du mal sur les hauteurs et dans la forêt.

Et je suis partis au galop sans savoir si elle me suivait. J'entendais tant de galop que je ne pouvais deviner lequel était le sien. Arrivé a mi chemin, je me suis retourné et ne l'ai pas aperçue ? Où était-elle ?

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- Mais si je t'attendais mais tu n'allais pas assez vite ! - J’étouffais mon étonnement. Moi je vais pas assez vite ? Je bat presque tout le monde a la course . Si un a moment on n'a l'occasion de faire une course, je gagnerais et tu verras qui seras le plus rapide. Mais il avait dit cela d'un ton légèrement moqueur et non méchant. Il partie d'un petit galop tout en rient. Je fus surpris car depuis tout a l'heure il n'a pas ris une seule fois. C'est qu'il se décoince le belle étalon. Je le suivis et nous longions la rivière.

Mais un a moment Sabaku s’arrêta net. Comme je suis derrière je ne vois pas la raison de cette arrêt brutal. J’avançais sur le côté gauche avec curiosité. Je fus surprise de voir les cow-boys de tout a l'heure. Je ne me mis pas a hennir de peur et partir au galop comme une jument banal le ferais si elle serais a ma place. Non, je fronças les sourcils et les regardas bien droit dans les yeux. Je plaquas mes oreilles et grattas le sol de son sabots. J'entendis l'un des bipèdes dire " on l'a retrouvé cet étalon malin, on va l'avoir ". Le soleil leur a trop taper sur la tête je crois, là !

Mais d'un coup les cow-boys partirent au galops. Ce qui me surpris c'était leur cible. Non ce n'était pas Sabaku, mais moi ! Moi ! Black'bé bouge ton derrière, et galope ! Je hennis et fis volte face tout en démarrent un galop. J'entendis Sabaku qui hennis aussi. Je me retournas et m'arrêtas pour le regarder. Il se cabras et fis peur a une monture qui se cabras elle aussi. Le cavalier tomba a terre. L'étalon me passas a côté et me fis signe de le suivre. - Viens il faut grimper sur la pente des collines, ils ont du mal sur les hauteurs et dans la forêt. -

Il se mis alors a galoper vers les hautes collines avec toute une végétations dense. Je pris une pulsion sur mes postérieur pour prendre mon élan et partir au galops quand je sentis un lien dur et sec se serrer autour de mon cou. Je baissa la tête et vis qu'autour de mon cou se trouver un lassos. Quoi ? Je tourna la tête et vis le visage joyeux du malheureux qui avait osé faire cela. Je lui fonças dessus pour l’assommer mais un deuxième lassos me pris un antérieur et je tombas a terre. Ho non, je veux pas devenir une esclaves ! Sabaku !! Je hennis, hennis et hennis de plus belle pour demander de l'aide a Sabaku qui devait être déjà loin. Oui il doit être très loin, partis, jamais je n'aurais de l'aide. - Sabaku !!!! - Je hurler maintenant de toute mes force. L'un des cow-boys me donna un coup de cravache sur la croupe pour me faire taire. Je me tournas vers lui les yeux remplie de haine. Je les surpris tous en me relevent d'un bond. Je bondis vers celui qui ma cravaché mais un autre lasso m'arrêtas alors que j'avais sa jambes a quelques centimètres de mes dents. Je bruler en moi, une envie d’explosé. Je n'allais pas le laisser faire, non, quitte a mourir de fatigue ! Je le sais, je n'aurais aucune aide venant de la part de Sabaku, il est partie et ne reviendras jamais. Ne jamais se fier aux étalons, ils sont tous pareils ...

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Effrayé, n'y comprenant pas, je tournais sur moi même, espérant l'apercevoir. Rien. Seulement la forêt, et des arbres a perte de vue; C'était la seconde fois que j'avais ainsi peur, peur pour quelqu'un. Toujours a cause de ces cow-boy... toujorus eux. Ils ont gâché ma vie, et maintenant comme une malédiction ils tentaient de m'enlever celle qui était entrain de m'aider a retrouver un meilleur jour... J'étais certains, même sans réfléchir, qu'ils l'avaient eue.. J'étais déjà bien haut et le sommet n'était plus très loin. j'aurais pu m'en aller, me sauver la vie, mais ç'aurait était extrêmement lâche a son égard. Je n’ai plus eut envie de me sauver. De toute façon al vie n'avait plus goût a rien pour moi. Alors autant la céder a quelqu'un auquel je suis attaché plutôt que de la garder et vivre avec un poids toute la vie. Même en comprenant le danger je me mis a galoper a fond de train vers le bas, sans regarder où je mettais les pieds. J’ai dérapé deux où trois fois mais j'ai continué sur ma lancée. Tout les arbres se déroulaient autour de moi, et je slalomait entre ceux qui étaient sur mon chemin. Finalement j'arrivai a l'orée et ce que je vis m’énerva d'autant plus.

"tu n'allais pas assez vite..." voila ce que je lui avait dit juste avant; moi j'étais habitué a courir, elle n'avais peut-être pas pu suivre directement.. Elle avait l'air d'avoir crié mais d'avoir abandonné finalement, n'ayant pas eu de réponse; Je m'en voulais. Par ma faute elle avait faillit se faire capturer. Oui faillit, car j'allais les en empêcher, racheter ma faute. Je galopait et fondis sur le premier cow-boy a ma portée. Il fut surpris et une expression de peur s'afficha sur son visage. Oui voir un cheval enragé était effrayant. Je me fichais des deux autres qui n'avaient pas jeté leur lassos encore. Je me suis finalement cabré, toujours de toute ma taille et lui ai balancé un coup de sabot sur le torse, si fort qu'il en a perdu connaissance et a lâché son lien, celui qui tenait le cou de la jument. Alors que je me précipitais sur le deuxième, l'un des autres m'a attrapé a l'encolure grâce a sa corde, mais je n'ai pas bronché. Il fallait que je finisse ce que j'avais commencé, quitte a me faire capturer une fois la chose terminée.

J'ai rué, j’en ai envoyé plusieurs a terre, ils ont finit par lâcher Blackberry. je 'lai regardée, toujorus cette expression de fureur dans les yeux et je lui ai crié de partir, que tout allait bien. J'ai esquissé un sourire et suis partis dans le sens opposé au galop, toujours le cow-boy accroché a la corde qui fut obligé de galoper a son tour. Son cheval étant très rapide il put me suivre sans trop de problème et moi j'étais un peu fatigué. J'en vis un autre apparaître a côté de moi et me lancer une corde au cou. Et de deux. Si c'était cela mon destin je me devais de lui obéir. Mais j'avais mon libre-arbitre aussi. De toute façon je ne deviendrais jamais esclave. Je ruai et me cabrai. Je luttais tant et tant; J'étais encore loin de la vallée paradisiaque. Finalement j’ai réussi. Oui j’ai réussi a les faire lâcher mes liens. Je hennit et repartis, en grimpant sur une autre colline recouverte de forêt. Cette fois ils n'ont pas pu me suivre, ils sont repartis. La seule chose que je voulait été revenir sur mes pas, revenir vers cette jument que j'ai faillit abandonner. Au bout de quelque temps je suis revenu, mais ne la voyant pas, même pas au bord du ruisseau je m’arrêtai. Je pense qu'elle était partie. Elle 'na pas eu le temps de me remercier mais a surement préféré s’en aller vite pour ne pas recroiser les humains.. Pfff.. je comprenait de toute façon même si j'étais un peu déçus tout de même.

Et puis j'ai entendu un bruit de pas derrière moi...

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Commence la musique a 1:12 :3

Je perdus tout espoir de m'en sortir. Je soupiras et laissa tomber ma têtu sur le sol. Les cow-boys tirèrent de nouveau pour me faire relevais mais mon poids était bien trop lourd. Un moment de répit m'est accorder mais bientôt ils vont me levais de force. Je fermas les yeux et laissas tomber une larme. Je n'ai plus aucune chance, seule de rester sauvage. Ils vont me transformer en porteuse de leur produits. Je me lèverais le matin avec un gout amer de leur granulé. Non je ne veux pas de cette vie. Je ouvras de nouveau l'oeil et leva la tête. Je hennis de pitié vers les monture. Mais elles me regardèrent avec un grand sourire au lèvre.

Là, en haut de la colline, se trouver Sabaku. Mais que fait t-il là ? je croyais qu'il s'était enfuit et qu'il m'avait abandonné. Je hennis de bonheur vers lui. Une bouffer de joie et de bonheur m’envahis. Sabaku ! Mon sauveur, mon héros. Il galopas jusqu’à nous et sautas sur le premier cow-boys qui lui passas sous le sabot. Il donnas des coup violent mais je m'occupais plutôt a enlever mes liens. Les cow-boys laissèrent glisser les cordes car ils furent surpris que l'étalon soit revenu a la charge. Quand je fus enfin libéré de toute ses cordes il me dit rapidement de partir loin d'ici. Il ne me laissas pas le temps de dire quoi que se soit. Il partis au galop dans la direction opposé de la mienne. Il me laissas de nouveau en plan, mais cette fois avec de la peur, peur pour lui.

Comme il me la dit, je partie alors. Je montas sur la colline qui se trouver a côté de moi avec toute la végétations. Je me fis derrière un buisson et m'allongeas. Je vais l'attendre. Mais je m’endormis bien trop vite et je fus réveiller que quelque temps passé. Je levas la tête pour voir ce qui se passais. Oui du bruit m'avais réveiller. Là, Sabaku se tenait là où je m'était effondrais a terre. Je me levas silencieusement et traversa le buisson pour le rejoindre. Je fus heureuse de le voir sans le moindre problème. - Sabaku ... - Je fus si ému que je ne trouvas plus mes mots. Idiote que je suis je pleure. Je tournas la tête pour pas qu'il puise les voir. Je n'aime pas quand on me vois pleurer.

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J'étais a désespérer de la revoir après cette mésaventure. Et pourtant en me retournant je vis une ombre s'approcher a contre jour, le soleil dans le dos. Ceci indiquant que c'était quelqu'un que je connaissais et c'était bien celle que j'attendais... non, pas celle qui ne me connaissais plus, celle a qui j'avais sauvé la liberté autant dire.Blackberry. Je la regardai, heureux de pouvoir replonger mon regard dans ses yeux verts. Mais même submergé par l'émotion je ne pouvais pas pleurer, ça ne m'était jamais arrivé encore, même étant poulain, même quand l'autre-son nom avait disparut de ma mémoire momentanément- avait perdu tout ses souvenirs de moi. Et pourtant que je voulus m'approcher de la jument qui désormais occupait mes pensées, elle murmura un truc, je n’ai pas compris, mais en lisant sur ses lèvres j'ai vu que c'était mon nom, et s'est détournée de moi. M'en voulait elle ? surement..j’ai faillit l'abandonner, j'avais honte de moi pour une fois. Pour une fois je ne me vantais plus, je ne pensais même plus a mon "intelligence", j'avais honte. Je lui avais fait peur a deux reprise.. C'était dégoutant..

Quand je me suis approché je me suis aperçut qu'elle pleurait. Pourquoi ? Je ne pouvais pas lui demander, cela paraissait vraiment indiscret de ma part. Surtout que je pensais encore que c'était tout de ma faute. Jamais je n'aurais du l'inviter a galoper jusque vers les limites de la vallée, jamais je n'aurais dut partir au galop vers les hauteurs sans m'assurer qu'elle me suivait... jamais je n'aurais du la rencontrer je pense. Je me sentais mal. Je ne comprenais rien, comme a mon habitude, a ce qui se passait en moi. Je me suis approché un peu plus et posé ma tête contre son encolure. j'ai ensuite murmuré doucement:

-Je suis désolé....

Et puis je me suis légèrement écarté d'elle. Je l'ai regardée , mais pas vraiment en face. Je voyais tout de même son expression. me serais-je trompé finalement ? Peut-être qu'en fait elle pleurais d'émotion... peut-être qu'elle ne m'en voulait pas ou peu. L'optimisme réapparaissais doucement dans mon esprit. Si je n'avais pas été là peut-être les cow-boy l'auraient-ils attrapée plus tôt. Un mot me vint en tête. Le destin. J'avais horreur de ce mot pourtant, mais j'ai pensé que c'était bien cela qui nous avait poussé a nous rencontrer. J'ai finalement fait un leger sourire et me suis rattrapé:

-Sèche tes larmes. Tu vois nous sommes là, pas au fort. De toute façon ils n'arriveront jamais a m'avoir !

J'ai souris de nouveau sans le vouloir, presque de façon sadique envers les humains. Oui.. j'inventerais toujours quelque chose, et si cela ne marchais pas, j'y allais a la force. J'étais bien trop fort pour eux ! Et puis je me suis repris, me rendant compte de la situation dans laquelle je me trouvais. J'avais toujours eu deux facette ou plus, dont celle plutôt douce qui quelque secondes plus tôt avait cédé sa place a celle de l'étalon un peu plus sadique et un peu vantard. J'étais trop fort pour eux. Cette phrase raisonnait dans ma tête. Mon sourire était moins étiré mais je souriait tout de même, allant même a rire intérieurement sans pouvoir m’arrêter... Tout cela en dépit de la jument qui me regardait toujours...

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Je le sentis, il posas sa tête sur mon encolure. Premier contact. ho je n'oublie pas le coup d'épaule tout a l'heure mais sa c'était rapide et aucune sensation. Là, une multitude de frisson me parcourus. Je m'arrêtas de pleurer et il me dit doucement - Je suis désolé ... - Il s’écarta de moi et restas là. Il doit penser que je suis qu'une pauvre petite pleurnicharde. Non j'ai pas envie qu'il pense sa de moi. Je releva la tête et lui souris gentiment tout en sèchent mes grosses larmes salée.

- Sèche tes larmes. Tu vois nous sommes là, pas au fort. De toute façon ils n'arriveront jamais a m'avoir ! - Oui il avait raison. Le relevas la tête toute souriante. - merci. -Merci ? Tu peux me la refaire là ! Non mais je rêve ! Je sort sa comme sa, merci ! Merci pour quoi en plus ?! Hum ? Je suis franchement nul.

Je me mis alors a trottiner autour de lui, tout en mettent ma queue en panache. Les oreilles en avant, la crinière dans le vent, je hennis et ris. - Attrape moi maintenant ! -Et je me mis a partir dans un de ses galop. Je longeas la petite rivière et montas vers une colline. Je ne regardas pas si il me suivais. Mais je riais toujours.

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Elle releva sa tête et sourit en ma direction. Ses yeux foncés étaient encore humides d'avoir pleurés et je m'en voulais encore un peu.. Et puis soudain elle souffla un "merci" a mon égard. Pouruqoi merci ? Il n'y avait rien que 'javais fiat qui méritait d'être remercié, je n'avais pas bien compris... m'enfin.. Nous étions en haut de la colline qui surplombait la rivière et je regardais le courant faire sa route doucement, emportant les quelques feuilles qui tombaient dedans. Et puis Blackberry se mit à trottiner tout autour de moi, la queue en panache, l'air malin et joueur. Tout l jument que j'avais rencontré, comme si les évènements qui s'étaient déroulés appartenaient au passé et ne venaient plus durant le présent... Et puis soudainement elle partis a vive allure, descendant la pente douce jusqu'à la rivière. Elle me cria:

- Attrape moi maintenant !

Et se mis a rire durant sa course. pris au dépourvu je n'ai pas bouge, du moins pas directement. Je préférais lui laisser un peu d'avance, mais comme le lapin je n'allais pas me laisser piéger bien sur. Après une battue des postérieurs bien puissante je me mis moi aussi a galoper, jusqu'à elle. Elle était rapide, amis moins que moi. Je finis par la rattraper sur le bord de la rivière. Arrivé a sa hauteur je lui souris.. Nous avions terminé de longer la rivière et nous entamions de nouveau une montée, sur une autre colline un peu plus loin. Se dressa alors un tronc d'arbre sur mon chemin. Je me mis a accélérer et d'un magnifique saut je le sautai et continuai sur ma lancée tout en faisant attention a ce qu'elle me suivit. Je riais désormais moi aussi. j'avais presque oublié mes soucis. Arrivé en haut de la colline je me retournai vers elle et dit:

-Je ne t'ai pas attrapée, je t'ai rattrapée !

Je al regardai, ses yeux avaient l'air encore humide et derrière sa joie 'javais l'impression qu'elle était troublée..Allez savoir pourquoi je pensais cela moi. Mais en même temps cela pouvait se comprendre, il y avait des signes qui ne me trompaient pas. Elle avait l'air moins vive qu'avant et son rire semblé moins fort, moins cristallin. Je me demandai bien pourquoi... Mais je n'osai pas lui faire savoir mes soupçons... Moi en tout cas je me sentais un peu bizarre et bien que je ne compris pas encore ce que je ressentais, je souriais tout de même en face d'elle.

Invité

Au début je n'entendis pas son galops derrière moi. Je voulus regarder mais je l'entendis enfin partir. Rassurais je me mis a fond de train. Il me rattraper au bord de la rivière. Ha non je vais pas me laisser faire. Je mis les boucher double. Il arrivas a ma hauteur et me souris. Déconcerter je ne lui rendis pas. Nous galopions jusqu’à une montée, sur une autre colline, un peu plus loin. Un tronc d'arbre se présenter devant nous. Je le vis accélérer et faire un magnifique saut. Je le suivis mais je commencer a avoir du mal. Je l'entendis rire mais j'eus de mal a faire de même. Une pointe de côte se fis présente. Arrivés enfin en haut de la colline nous nous arrêtons. Ouf enfin je peux souffler. - Je ne t'ai pas attrapée, je t'ai rattrapée ! -

Il me regardais, un peu gêner je regardais le sol et repris mon souffle. Je levas la tête avec une moue de tristesse. - Tu ma battus, d'habitude c'est moi la plus forte a la course. - J'avais pris une voix de petite pouliche triste. Je m'approchas alors de lui en repensent a ce c'était passer peut avant. Il m'avais sauver et je lui en était reconnaissante. j'ai eu si peur quand je l'ai vu partir au loin. Comme si mon cœur s'était briser. Ce sentiment que je ressentais maintenant était bien étrange. Pourquoi j'ai des palpitation étrange dans mon poitrails quand je croise son regards. Je posas alors ma tête contre son encolure protectrice.

Sabaku
J'arrivai en haut de la colline laissant Blackberry derrière moi. Bien entendu, cette fois j'ai vérifié qu'elle me suivait bel et bien, pour ne pas la perdre une seconde fois. J'ai encore repensé a ce qui s'était passé. J'étais partis devant, sans prendre le temps de savoir où elle était et elle avait besoins de moi. J'ai même presque hésité a m'en aller. Mon comportement ne me valait pas d'être si aimé que cela. Malgré le fait que je riais j'avais encore l'impression d'être un moins que rien... Elle m'a rattrapé, le souffle court et m'a regardé, avec une petite moue légèrement triste:

Tu ma battue, d'habitude c'est moi la plus forte a la course. -

Sa voix ressemblait à celle une petite pouliche mauvaise perdante, mais ça avait l'air ironique aussi, sans plus. J'ai regardé le ciel. Pas un nuage, tout avait l'air bien et tout prédisait que cette journée n'allait pas si mal finir finalement. Le soleil brillait et me réchauffait de ses rayons. Si un dieu avait existé je l'aurais remercié de ne pas avoir fait pleuvoir a ce moment là. Et puis j'ai sentis quelque chose. Je vis que la jeune jument s'était collée contre mon encolure. Elle avait encore l'air patraque mais semblait aller mieux tout de même. D'ailleurs elle n'avait pas l'air fâchée contre et cela m'alla droit au coeur. Je soupirai. Je n'étais pas seul a ce moment là, pour une fois. Je n'ai rien trouvé de plus intelligent dire que :

-ça va mieux ?

Oui je le savais c'était un peu bête mais sur le coup je ne trouvais plus rien a dire. Je me suis un peu écarté pour mieux la regarder, essayer de décrypter ses sentiments que je savais si bien le faire. La seule chose que j'ai vu c'est qu'elle avait l'air de m'apprécier autant que je l'appréciais aussi. Avec son petit sourire légèrement timide et ses yeux pétillants de joie.
Je n'ai rien pu lire d'autre.

(désolé si c'est court mais fallait que je rep tout de même...)

Blackberry

Je le sentis soupirais. Quelque chose n'allais pas ? Je reculas un peu pour pouvoir le voir dans les yeux. Il me dis alors - ça va mieux ? - Je souris a sa question. Mais oui bien sur, depuis que je les revus sain et sauf, je vais mieux. Bizarrement je ressentis une drole d'émotions en moi mais je n'arrivais pas a cerner ce que c'était. Étrange et angoissent a la fois. Je fis alors un sourire timide et fis mes yeux pétillent de joie comme d'habitude quand je suis gêner. Oui je le suis car il me regarde droit dans les yeux et cela me trouble. Ha j'ai les joues qui chauffe, faut pas qu'il me vois rougir sinon je vais passer pour une fillette. Je tournas alors la tête et souris gêner.

Je tournas de nouveau la tête pour le regarder en face. - hoo oui sa va bien mieux ... - Je plongeas mon regards dans le siens, sourient de plus belle et me perdis dans ses yeux. Je fus rester ainsi a le regarder un bon moment puis je baissas la tête vers le sol confuse.

La jument avait tout de même l'air de s'être remise, je ne devais pas m'en faire bien que j'eus toujours pensé que c'était de ma faute si elle avait eut cette frayeur. Elle avait d'un coup l'air gênée et me fit un petit sourire timide. Nous ne nous connaissions pourtant pas depuis longtemps mais j'avais l'impression d'être comme attiré par elle.
Je réfléchis. J'ai pensé que peut-être les cow-boy risquaient de revenir, où autre chose. Je ne pouvais jamais être tranquille, c'était un fait. Cela m'énervait mais sans cela la vie n'avait plus rien. L'ennuis s'installait et puis le quotidien menait parfois a la perte. Je n'aimais pas rester sans rien faire, j'aimais parfois les rebondissement. Mais là..je n'en avais pas envie. Je ne voulais pas qu'un quelconque animal ne passe par là. Elle tourna soudainement la tête, et je me demandai pourquoi. N'avait-elle pas envie de me regarder en face ? j'en doutais vu que l'instant d'avant elle était plutôt contente. Et puis d'un coup elle reporta son attention sur moi et me répondit, quelque chose a quoi je m'attendais en fait :

- hoo oui sa va bien mieux ... -

Je souris a mon tour. Mais la fin de sa phrase était étrange car le ton était retombé bien plus rapidement qu'à la normale. Soudain, j'ai cru entendre un galop plus loin. les cow-boy. Ils étaient plus nombreux qu'avant et j'avais presque l'impression qu'ils nous.. ou plutôt ME cherchaient. Je les humiliais bien trop souvent pour qu'ils laissent passer cela. J'ai alors pensé que si nous restions dans cette zone, même en hauteur, ils risquaient de nous apercevoir, et je n'arriverais pas a semer un si grand nombre, tout en aidant blackberry pour sur. Même avec mes tours. Je me retournai vers elle:

-je suis désolé mais.. on va devoir se dire au revoir pour le moment...

je me mis a marché, j'avais juste l'intention des les éloigner, mais je ne pensai pas à revenir de suite. Peut-être même que je risquais d'être emmené. Je ne pouvais pas grand chose pour l'aider sauf cela, la mettre hors de danger. Au moment de partir au galop je lui dit une autre phrase:

-Promet moi seulement de ne pas chercher a me retrouver tout de suite.. Mais aussi de ne pas être triste

Je suis partis au galop. je suis sortis de sa vision presque aussitôt en m'enfonçant dans la forêt. Arrivé bien plus loin je forçai les cow-boy a me poursuivre et a s'éloigner de cet endroit paradisiaque. oui..un au revoir.. je l'esperais bien

Black'bé

Il souris a son tour. Mais il tendis brusquement les oreilles, comme si il avait perçus un bruit. Je tendis les miennes mais rien. Je voyais dans son visage qu'il y avait du songe, il réfléchit. Mais a quoi peut-il bien penser ? Je le regardais avec réflexion. Il se tourna alors vers moi. J'eus peur qu'il me dise quelque chose que ne n'aime pas entendre. Les choses que les étalons aime bien faire. Aller faire les héros en éloignent les cow-boys. Oui car je perçus enfin le bruit lourd des sabots qui frappe le sol. Je baissas les yeux pour regarder le sol avec déception.

- je suis désolé mais.. on va devoir se dire au revoir pour le moment...

J'attendis qu'il se retournas pour relevais la tête. Mon cœur se serras de tristesse. Nous voila séparer de nouveau. Il est a peine partis que je me fait des soucis pour lui. Je gratte le sol tout en le voyant marcher pour s'éloigner. Que va t-il lui arriver ? Je ne veux pas qu'il se fasse capturer, s'il le seras, je le libérer. Je ne sais pas comment, mais je le ferais. C'est bien de bête espoir, car s'il se fait attraper, comment je serais qu'il le seras ? Et même s'il ne se fait pas capturer, comment je vais le retrouver ? les terres sauvages sont si vaste ! C'est peut-être bien la dernier fois que je le vois alors ! Mon cœur se serras encore de plus belle. Je me persuada a me dire que se n'était rien, que je trouverais un autres étalon, y'en n'a tellement. Il se retournas pour me dire quelque chose.

- Promet moi seulement de ne pas chercher a me retrouver tout de suite.. Mais aussi de ne pas être triste.

Puis il se mis a galoper. Non je ne pourrais pas trouver un autre étalon. Il sortie de mon champ de vision et le vis pour la dernier fois de la journée s'enfoncer dans la forêt. Je baissas la tête et soupiras. Oui je ne chercheras pas a te retrouver tout de suite mais non je ne peux pas ne pas être triste. J'ai l'impression d'étouffer mais je doit faire avec. Je me mis a trottiner alors, tête rasent le sol, retournent près des miens.

Fin.

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