Sweet's présentation

Alors mon p'tit physique ... ben ... j'suis plutôt pas mal on va dire. Je suis une jeune jument pie alezane, tovero. Mes yeux ont une belle couleur bleu ciel, ce qui n’alterne pas pour autant ma vision. Mes naseaux sont roses et mes sabots ont tous les quatre une couleur différente, plusieurs nuances de marron, variant du taupe au brun foncé. Ils sont tous quatre naturellement très brillant. Maintenant passons à mes crins. Ils ont une teinte, comme les humains disent, caramel. Ils sont très soyeux et dès que le soleil tape un peu, ils prennent une belle couleur crème.

Mon caractère ? Euh ... ben j'suis parfaite ! Nan, nan quand même pas. J'suis une jeune jument joyeuse, pétillante, pleine de vie, peu modeste sur les bords. Je ne suis pas du tout timide et dit se que je pense, quand je le pense. Je connais tout de même la limite à ne pas dépasser pour ne pas devenir vexante. Je ne donne pas facilement ma confiance, mais, si jamais vous l'obtenez, vous ne serez pas déçu: je suis constamment à votre écoute si vous avez besoin de parler, je vous aide quoi qu'il arrive, je plaisante avec vous, bref, je deviens une très bonne amie. Si vous vous amusez avec mes nerfs ou que vous abusez de ma bonté, vous allez vite le regretter, s'il le faut, je peux devenir violente. Heureusement, ça n'est presque jamais arriver *presque*. Ben voilà, j'ai pas grand chose à dire d'autre.

Que dire de mon passé ... rien, ça m’arrangerait à vrai dire, je ne parle jamais de mon passé, mon passé ne regarde que moi, moi et personne d'autre. Pourtant, il n'a pas était traumatisant ni rien, mais juste ... je n'aime pas ça. Mais puisque que j'y suis obligée, allons-y ...

Je viens des terres de Cody, qui sont depuis quelques temps, celle de Storm. J'ai eu une enfance paisible, éloigné des hommes. Mon père était un fringant cow-boy et ma mère était elle-même originaire du troupeau où je suis née. Mon père l'avait saillie de force, mais elle réussit quelques jours plus tard, à s'échapper avec moi dans son ventre. Mon tout premier souvenir est celui d'une immense étendue vert, certainement la grande plaine de Cody. Comme je l'ai dit plus tôt, je suis complétement éloignée des hommes, je ne savais même pas qu'une telle espèce vivantes existait sur cette terre, autre que les bisons. Quand je devins plus grande, les attaques de cow-boys étaient régulières, mais j'étais restée, tout comme ma mère, dans le troupeau, du moins, jusqu'à ce qu'il me semblait être la millième fois qu'ils attaquaient. Moi comme ma mère, nous nous sommes fait attrapé et amené de force dans cette forteresse. Là-bas, des centaines d'autres chevaux, des noirs, des gris, des blancs, des bais, il y en avaient de toutes les couleurs. Je faisais quasiment tâche dans le décor, moi, la petite pie. J'ai grandis alors tranquillement, sans jamais cessé de me battre pour ne pas qu'il m'attrape au pré, qu'il me panse, qu'il me monte, qu'il me dresse. Moi, petite jument sauvage, dressée ? Où ce croyaient-il ? Où se croient-ils, maintenant encore ? Ils luttent jour après jour pour essayer de me monter, de me faire attraper des chevaux encore sauvages, un jour comprendront-ils peut être que c'est peine perdue ? Malgré ça, je vis assez bien, même si ma plaine me manque énormément.