Retrouvailles [PV Monday]

Ce matin la, n'etais pas comme les autres. Je me fit capturer par les cow-boys. J'etais trop faible. J'y vint Pillut et je sourit. Mais il ne me ramarquas malheureusement pas. Je baissas un moment la tete et ont me fit entrer dans un grand pres et me mettent un licol. J'essaie de recracher le licol pas habituer et il m'attachas a un poteaux. Puis je vint Pillut sortir. J'hennissas mais il me vint pas. Son amitre le fit sortir et il allas a l'endroit ou tout le monde appelle l'arbre perdu. J'imagine qu'il esperais me retrouver la bas. Malheureusement non. J'hennissas tres, tres fort pour qu'il mentendent. Il detourne son regard et regardas en ma direction. Je sourait a fin qu'il puisse me reconnaitre. J'essayas de tirer pour me dettacher du poteau. Les cow-boys me calmas en me mettent un fer avec du feu dessus sur ma croupe. J'hennissas de douleur et je crias pour appeller Pillut. Puis je m'effondras un moment par terre...

Arrivée au pied de l'arbre, personne... J'attendis... J'attendis toute la journée... Mais elle ne vint pas... Ce n'était pas normal... La nuit arrivait et je devais rentrer si je ne voulais pas qu'on remarque mon absence... Je galopais comme un fou furieux vers le fort, en me disant que dès demain je me mettrais à sa recherche.
Je sautai les clôtures plus vite que jamais. Mais trop tard... Tout les chevaux étaient rentrés, les prés étaient vides. Je hennis dans la nuit, peut être qu'on m'entendrait... Mais personne ne vint, j'avais faim... Je décidais de sortir, et allais ouvrir la porte, le loquet céda rapidement et je partis au pas en direction des boxes. Un cheval attira mon attention, il était seul dans le petit pré, étalé, mal en point... Mon cœur fit un bon, ce cheval, c'était Monday ! Elle était tellement sale, que je ne l'avait pas reconnue tout de suite. Je sautais la petite clôture et me précipitais au près d'elle.
-Monday... Monday... C'est Pillut... Au mon dieu Monday, sil-te-plait répond moi...
Je me jetais vers l'abreuvoir et aspirais le plus d'eau possible, je la fis coulé sur son encolure et ses lèvres. A l'entré, je repérais un sceau d'orge, j'allais en prendre des grains et les amenaient devant sa bouche.
-Sil-te-plait Monday réponds moi... Je ne leur pardonnerai jamais s'ils t'ont fait du mal...

Puis la journee pas sa, et moi inconsciente par terre ne fit aucun geste. Le soir arrivas enfin et personne ne vint pour me soigner, ni me donner a boir ou a manger. J'entendis un galop. Je pensais que c'etais les cow-boys qui viendrait pour m'achever et me mettre fin a la vie. Mais non ! C'etais Pillut mon brien aime... il hennissas et je reconnus se hennissement. Un hennissement de peur.

-Monday... Monday... C'est Pillut... Au mon dieu Monday, sil-te-plait répond moi...

Je ne repondit pas car j'etais faible. Mais j'avais essaye. Pauvre moi. Puis je sentis quelque chose dans ma bouche et l'avala.

-Sil-te-plait Monday réponds moi... Je ne leur pardonnerai jamais s'ils t'ont fait du mal...

Je relevas doucement la tete et ouvrit les yeux et fit signe de regarder ma croupe car il m'avait blesser les cow-boys et je fit deux mots :

-C...croupe..

Monday bougea enfin, elle me montra sa croupe, je ne comprenais pas et regardais, il l'avait marqué... La marque du fort... Cet horrible marque qu'ils font au fer rouge à tout les chevaux capturés et destiné à rester au fort...
Je partis chercher de l'eau et la fis coulé sur la marque, cela devait être horrible, mais nécessaire pour arrêter la brulure.
-Monday, tu dois te lever, je vais t'aider, ça va allé mieux, mais tu dois allé manger et t'approcher de l'abreuvoir pour que je puisse continuer à soulager ta brulure... Demain tu n'aura plus mal.
Je retourne chercher de l'eau et en refait coulé sur la brulure...
J'espérais une chose, arrivé à la faire sortir de cet enfer... Ce n'es pas ici que je veux vivre avec elle, c'est dehors, je veux fonder une famille avec elle, dehors, libre sans aucun mors pour me guider, sans aucune selle. Margaux a fait beaucoup de chose pour moi, elle m'a sauvé la vie, ne m'a jamais frappé, m'a toujours bien soigné, mais il est temps que je la quitte... Pour vivre libre, avec Monday.

J'essayas de me lever mais la douleur etais trop forte. Pillut me mettas de l'eau sur la croupe. Se qui soulageas peux la douleur. J'hennissas de pleure et de peur.

-Monday, tu dois te lever, je vais t'aider, ça va allé mieux, mais tu dois allé manger et t'approcher de l'abreuvoir pour que je puisse continuer à soulager ta brulure... Demain tu n'aura plus mal.

Je begaillas.

-Ev...evidement...s..ses...sesses...facile a d...dire pour...pour toi !

Puis j'essayas de me lever et je reussie. Je jetas un regard froid a celui qui ma mit l'eurs insigne sur la croupe. Sa faisait mal. Que des tares ceux-la ! Je me mit a grommeller. Puis je tendis le coup pour lecher Pillut et j'avancas doucement a l'abreuvoir et vers le foin.

-Ev...evidement...s..ses...sesses...facile a d...dire pour...pour toi !
Je ne relevais pas, elle souffrais et je le savais... Elle souffrait, alors je souffrais aussi...
Elle essaya de se lever, et après une tentative échoué, elle y parvint. Elle me lêcha le nez et partit vers l'abreuvoir, le tas de foin et l'avoine. Je la suivait, pendant qu'elle reprenait des forces, je continuais de soigner sa blessure.
-Il y a un moyen de sortir d'ici en passant par les prés, et en sautant la clôture du fond, tu penses y arrivé ? Si on est discret on sera très loin quand il s'apercevront de notre absence... Et je pars avec toi, je veux fonder une famille avec toi, vivre libre avec toi... Je veux quitté cette vie, quitté ces gens pour toi. Margaux me manquera, mais je t'aime et ton amour suffira à mon bonheur...
Je la regardai, elle mon amour, mon étoile... L'être qui importait plus que ma propre vie. J'espérais qu'elle accepterai, que nous quitterions cet endroit le plus rapidement possible et fonderions notre famille...

Puis je sentis beaucoup moins la douleurs et je me sentis revivre et moins faible. Je regardait Pillut soigner ma blessure et je lui sourit. J'avais froid et pourtant il faisait chaud. Bizarre. Avais-je de la fievre avec tous se qui ses passe ? Je sais pas. Je l'ignore. Puis il me dit d'un ton doux:

-Il y a un moyen de sortir d'ici en passant par les prés, et en sautant la clôture du fond, tu penses y arrivé ? Si on est discret on sera très loin quand il s'apercevront de notre absence... Et je pars avec toi, je veux fonder une famille avec toi, vivre libre avec toi... Je veux quitté cette vie, quitté ces gens pour toi. Margaux me manquera, mais je t'aime et ton amour suffira à mon bonheur...

Ses mots me fit chaud au coeur. Moi aussi je voulais fonder une famille avec lui, et elever des poulains. Je l'aime plus que ma vie.

-Tres bonne idee... moi aussi je t'aime et je veux rester avec toi pour la vie et fonder une famille. C'est mon plus grand reve...

Je souriait avec des etoiles au yeux et je me collas a lui croupe contre croupe et je lui mordillas le toupet.

-Tres bonne idee... moi aussi je t'aime et je veux rester avec toi pour la vie et fonder une famille. C'est mon plus grand reve...
Monday colla sa croupe contre la mienne et me mordilla le toupet, je ferma mes yeux, remplient de larmes de bonheur...
Je frotta ma tête doucement contre la sienne.
-Où tu ira, j'irai, ce que tu fera, je ferai et je maudirai tout ceux qui te feront du mal. Je t'aime mon amour...
J'avais dis ça comme ça, je n'avais rien préparer, c'était sorti comme ça... J'étais moi même surpris de mes propres paroles... Je l'avais regarder dans les yeux, lesquels m'interdisaient de lui mentir.
Je lui faisais signe de me suivre et me dirigeais vers la porte. Je chatouillais le loquet qui me céda facilement, poussais la porte et fis signe à Monday de me suivre discrètement. Je trottais doucement pour ne pas faire trop de bruit avec mes fers je préférais les bandes herbeuses du côtés du chemin. Au bout du chemin, la porte du pré du fond se tenait la, le loquet était ouvert, je poussais la porte et entrais. Je me retournais vers Monday.
-Tu pense pouvoir passé par dessus la barrière comme ça ou il faut que je casse le haut ?
J'avais déjà fais ça avant, les lattes très solides, cédaient sous mon poids, mais cela faisait mal et faisait un peu de bruit...

Puis je vint Pillut me sourire et fermer ses yeux pleines de larmes de joie, sans dout. Ensuite de cela, l les re-ouvrit me regardas, et frottas sa tete contre la mienne avant de dire :

-Où tu ira, j'irai, ce que tu fera, je ferai et je maudirai tout ceux qui te feront du mal. Je t'aime mon amour...

Je sourit a c'est paroles d'amour, et d'encouragement. Je me mit a bailler doucement puis je pris un air serieux. Ensuite Pillut fit signe de le suivre, je le suivie jusqu'a un petit pres.

-Tu pense pouvoir passé par dessus la barrière comme ça ou il faut que je casse le haut ?

Je souriait.

-Oui... je peut essayer. Ton amour et tes encouragements me donnes la force. Mais je suis encore tres faible. Mais je ne lacherais pas et je vais essayer.

Puis je reculas de quelques pas courut faiblement mais le plus vite possible sautas par dessus la barriere mais trebuchas la tete par en avant et tombas par terre avec la bouche en sang.

-G..g...ze suis...deboler...de ne bas aboir reubis..

Dit-je avec un peux de difficulte.

Elle me sourit.
-Oui... je peut essayer. Ton amour et tes encouragements me donnes la force. Mais je suis encore très faible. Mais je ne lâcherais pas et je vais essayer.
Je la regardais sans mot dire...
Monday recula, courut, elle était fragile, je voulus l'arrêter mais trop tard, elle c'était lancé, je sautais par dessus un peu plus loin et la retrouvais, par terre, du sang coulait de sa bouche... Je redoutais le pire...
-G..g...ze suis...deboler...de ne bas aboir reubis..
Je m'en voulais, si je n'avais rien dis et avais cassé la barrière, elle ne se serait pas blessé... Je la regardais affolé, je colla ma tête contre elle et fonça droit au ruisseau, j'emplis ma bouche d'un maximum d'eau et revint au prés d'elle, doucement je laissa coulé un filet d'eau sur la commissure de ces lèvres et ses naseaux. J'avais peur...
-C'est de ma faute, j'aurai dû cassé la barrière, j'aurai dû me douter que u n'y arriverai pas... Mais ça va aller maintenant, je vais t'aider à te lever, on va s'éloigner un peu et tu vas dormir, demain matin nous quitterons la forêt pour les terres des solitaires ... Appuie toi sur moi le plus possible d'accord ?
Je m'agenouillais, trembalnt et passais sa tête par dessus mon encolure.
-Maintenant essaye de te lever.
Je priais pour qu'elle ne soit pas blesser gravement, qu'elle puisse se lever et marcher...

Tout mes espoirs etais perdus. Dans l'etait que j'etais, jamais je pourrais fonder une famille. Puis je recevas de l'eau dans ma bouche.


-C'est de ma faute, j'aurai dû cassé la barrière, j'aurai dû me douter que u n'y arriverai pas... Mais ça va aller maintenant, je vais t'aider à te lever, on va s'éloigner un peu et tu vas dormir, demain matin nous quitterons la forêt pour les terres des solitaires ... Appuie toi sur moi le plus possible d'accord ?

Puis il s'agenouillas,tremblant et pris ma tete et la mettas sur mon encoulure. Je tombas immediatement en fermant les yeux un moment. Puis j'entendis.

-Maintenant essaye de te lever.

Mais trop tard j'etais par terre inconsciente. Puis quand je rouvrit les yeux, je me retrouvas en dessous d'un arbre. Oui je sais c'etais l'arbre perdus. Puis je vint Pillut se pencher au dessus de moi. J'allais mieux et j'etais guerrie. Je me relevas et allas brouter.

Enfin, elle se réveillait, ma belle au bois dormant... Mon étoile, ma Monday...J'avais eu si peur, peur de l'avoir conduit à la mort, mais je l'avais soutenu dans la fièvre, porter à l'abri du soleil et des cow-boys, soigner de ses terribles sueurs, veiller et ce pendant une journée entière, j'avais eu tellement peur de la perdre... Que mon c'était comme si mon cœur venait de se réveiller...
-Coucou, comment tu te sens ?
Je la regardais tendrement, je lisais dans ses yeux, une santé retrouvé... Je posais mon nez sur sa tête et lui léchais les oreilles. Puis je lui grattais doucement le garrot, l'épaule et soufflais dans ses crins...
-Nous sommes loin du fort, tu n'es plus en danger... Tu as eu beaucoup de fièvre, tu as mêmes eu des sueurs froides, j'ai cru que j'allais te perdre...
Je détournais la tête pour lui cacher ma douleur et ma tristesse...
J'espérais une chose, qu'elle ne soit pas blesser...

Je sourit a c'est mots touchant. Puis il me soufflas dans les crins,lechas les oreilles,me grattas doucement le garrot et il posas son nez sur ma tete. Je trouvais sa vraiment agreable. Je me sentais legere, je me sentais pousser des ailes dans le dos.

-Coucou, comment tu te sens ?

Je rigolais. J'allais netement mieux que la foix ou j'etais dans un pres pouilleux.

-Netement mieux mon beau..

Je lui sourit et je me levas.

-Nous sommes loin du fort, tu n'es plus en danger... Tu as eu beaucoup de fièvre, tu as mêmes eu des sueurs froides, j'ai cru que j'allais te perdre...

Je m'arretas brusquement et tournas la tete vers lui puis le rejoignit avant de repondre sur un ton doux:

-Meme si je n'aurais plus la vie, je serais a chaque fois avec toi mais dans ton coeur ! Il ne faut pas que tu t'inquiete pour moi..

Je lui lechas le front comme signe de tendresse puis lui dit d'un voix basse:

-Pillut... j'aimerais avoir un poulain..

Je baissas la tete car j'avais peur qu'il me prenne pour une folle.

-Nettement mieux mon beau...
Elle sourit et se leva, autant tout les doutes que j'avais sur son rétablissement. Je soufflais de soulagement, je fus d'abord content, puis nerveux et je finis par me détendre, évacuant tout le stress que j'avais accumulé...
Elle me regarda.
-Meme si je n'aurais plus la vie, je serais a chaque fois avec toi mais dans ton coeur ! Il ne faut pas que tu t'inquiete pour moi...
Je ne répondais pas, je lui aurai dit la même chose si ça avait été pour moi.
Elle me lécha le front, je fermais les yeux pour profiter de cette caresse qui était pour moi, le médicaments à ma maladie... L'amour...
-Pillut... j'aimerais avoir un poulain...
Elle baissa la tête, je ne compris pas pourquoi et me levais.
-Moi aussi j'aimerais avoir un poulain..
Nous en avions déjà discuter, et là, c'était le moment, je frottais ma tête contre son ventre...
-Je ne vais pas te faire mal. Je vais faire attention.
Doucement, je montais sur sa croupe.
Je redescendais sur terre et je ne pus m'empêcher d'imaginer, un poulain ou une pouliche aussi belle qu'elle...

Puis il me sourit gentiment il ferma les yeux quand je lui lechas le front et moi je baillas.

-Moi aussi j'aimerais avoir un poulain..

Je relevais soudainement et brusquement la tete, puis je restas toujours gies, sans rien dire. Puis il commencas a frotter sa tete contre mon ventre puis je sourit et je poussas un soupire de soulagement.

-Je ne vais pas te faire mal. Je vais faire attention.

Je sourit. Je lui faisait confiance. Alors je me laissais faire. Il montas sur ma croupe. Moi je m'imaginas la petite pouliche comment elle va etre. vingt minutes apres, il descendis de moi. J'etais en chaleur. Je souriait car je n'avais rien sentis.

-Je suis maman... je t'aime mon bebe..

Je sourit a Pillut puis je massas mon ventre qui etais maintenant devenue un gros ballon.