Des retrouvailles heureuse [ PV - Blackberry ][SUITE]

Précédament dans le RP:

BlackBerry a écrit:

Aujourd'hui je vais a la cascade. Je voulais voir l'eau tomber pendant des heures. Alors je galopas le plus
vite possible. Quand je fus arrivé il y avait quelque chevaux qui
buvaient. Ce n'est pas grave je vais me mettre dans un coin isolé. Je
marchas tranquillement et passa devant les trois juments. Celle-ci
levèrent la tête a mon passage puis la rabaissèrent pour continuer a
boire. Je m'allongeas dans la fine pellicules de neige froide et
regardas l'eau tomber. Je trouvais cela reposent et même qu'a un
certains moment mes yeux se fermèrent tout seul.

Je
fus réveillais par des sabots qui galopèrent. Il sont léger et souple.
C'est donc un jeune. Quand je redressa mon encolure pour mieux voir qui
arrivais je fus heureuse de tomber sur un vieille ami. Je l'avais trouvé
grelotant de froid et de peur sous le saule pleureur. Il y avait
beaucoup de brouillards ce jour là et nous avions seulement pu partir
que le lendemain matin. J'avais garder un bon souvenir de lui. Quand il
arrivas près de la cascade il ne me vis pas. Je pus alors l'observais.
Il est devenu si grand et fort. Si beau. Il a complétement changer. Je
ne reconnais presque plus le petit poulain apeuré. J'ai peur d'aller le
voir car il risque de ne pas me reconnaitre. Il a du devenir un étalon
comme les autre, matcho est stupide.

Mais il tourna la tête et me vit. Je fus prisse de frayeur et tourna vivement la tête.

Boontie a écrit:: Il y a des jours où la chance est plus qu'étonnante, les événements s'enchainent, et créent de très beau moments.

De
bonne heure, je me promenais dans une terre que je ne connaissais pas,
une cascade coulais là, des chevaux broutaient, de l'autre côté, trois
juments buvaient allègrement l'eau du ruisseau qui prolongeait la
cascade. Je marchais derrière quelques arbres dénudés de toutes
feuilles, mais tout aussi majestueux. Je ne m'attendais pas à faire
aucune rencontre, juste découvrir un nouveau paysage, de nouvelles
terres. Je me mis à galoper, les crins aux vent, libre, heureux, pensant
a ma mère et mon père, qui eux broutaient ou s'amusaient ensembles. Je
senti un regard sur moi, je m'arrêta et reconnu de suite... Black Berry!
Oui, c'était bien elle, cette jument, avec qui j'avais passé ma nuit
dans le brouillard.

J'étais
tout joyeux, je m'élança donc à ça rencontre, tout joyeux, la queue en
panache, lui montrant toute ma gaieté. Je pila devant elle et la salua
joyeusement:

-Black Bé? Depuis combien de temps je ne t'avais pas revu? Comme tu as grandi, tu es... BELLE!

J'étais tout fou, je n'avais aucune arrière pensée, juste la joie de retrouver mon amie, bien changée, magnifique!

BlackBerry a écrit:

Le voila qui s’avance vers moi ! Vous
êtes sur ? Oui vous avez raison il s'avance vers moi. Il est devenu beau
et fort a faire tomber toute les juments par terre. Je voyer l'étalon
qui s'approchait de plus en plus a mesure qu'il avançais. Les juments au
loin levèrent la tête a son passage et le suivirent du regards telle
une carotte ou une pomme, je voyaient qu'elle le trouver craquent. Je
rougie quand il me sourie. Non je fu gener quoi. Je me leva de mon petit
nie douiller pour me lever et etre a sa taille. Malheureusement il est
plus grand que moi.

- Black Bé' ? Depuis combien de temps je ne t'avais pas revu ? Comme tu as grandi, tu es... BELLE !

Il
était tout joyeux a priori de me revoir. Quel bonjours joyeux ! Je
rougie encore de plus belle sous se mot compliment. Je me regarda et
trouva qu'il avait utiliser un bien fort mot pour me décrire. Belle ?!
vous trouvez tant que sa ? Pas moi. Oui d'accord j'ai de belle forme
ainsi que magnifique crinière avec mon pelage soyeux et ... ok d'accord
je suis belle mais je ne suis pas le genre de jument a me venté de la
beauté enfaite. j'aie pas tellement que l'ont me le disent. Cela me gêne
car il y a d'autre juments qui, elles, se sont pas gâter par la nature.
Je n'aurais pas aimer être bai.

En le voyant
comme cela je repensa a ce que je pensais tout a l'heure. Non il ne m'a
pas oublier et non il n'est pas devenu matcho et stupide. Il est si
beau. mais yeux étincelaient. Va falloir que j’arrête de le regarder
ainsi sinon il va croire que je suis devenu folle. Je secoua vivement la
tête qui fis aussi voler au vent la crinière toute soyeuse.

- Boontie !? C'est bien toi ? Cela fait si longtemps ! Tu est devenu si ...

Je
n’ose pas bien sur de dire ce que je pensait. Je suis devenu si timide ?
Avant je disais sans peur ce que je pensais ! Non c'est que je suis
juste intimidé devant lui. Il doit être populaire !? Et moi petite
pouliche de prairie je parle avec lui qui doit avoir tout une bande de
jument fan de lui. Je rie a cette image de voir Boontie entourer de ses
dan qui le vénère comme un dieu.

- Tu est devenu si beau ...

• Je m’ébrouai, ma crinière volait au vent. Black Berry me regardait
de ces beau et grands yeux et me dit "- Boontie !? C'est bien toi ? Cela
fait si longtemps ! Tu es devenu si ..."Elle hésitait, pour quoi?
Était-elle gênée? Il n'y avait pas de raison, elle continua, "- Tu es
devenu si beau ..." Je lui souriais, elle avait tellement grandit,
difficile de me dire qu'il n'y a que très peux de temps elle était plus
petite, et nous nous rencontrions sous la pluie, j’eus un petit sourire
nostalgique.

• Je me souviens alors de sa gentillesse envers
moi, de son soutien, et de mes larmes de poulains perdu, qu’elle avait
tant bien que mal séchées, j’eu un petit sourire malgré moi. "-Tu te
souviens, ça fait tellement longtemps, mais c'est comme ci c'était hier,
tu m'as manqué!" J'étais comme sous le charme de cette si belle jument,
je n'en côtoyais pas souvent, j'étais plus souvent avec mes parents,
mais elle me faisait un drôle d’effet, très agréable, je ne lui dirais
pas, c'était tout de même gênant.

• Je me mis à tourner
autours d’elle joyeusement. Je la regardais, mes yeux bleus ne
décrochaient pas ceux de mon amie. Je ne parvenais pas à détourner mon
regard. Dans mon élan de joie, je la bousculais et l’entrainais dans une
course joyeuse.

Invité

-Tu te souviens, ça fait tellement longtemps, mais c'est comme ci c'était hier, tu m'as manqué ! - Ho oui je m'en souvient. Cela fait longtemps, et je trouve aussi que c'était comme si que c'était hier. Une vague nostalgique m’envahis. Combien il y a de chance de se retrouver plus grand alors que on s'est juste rencontré étant poulains ? Il y en n'a pas beaucoup. Je le regarder, belle étalon qui l'est devenu, peut-être encore adolescent mais cela ne se voyer presque plus. Il se mis a tourner autour de moi d'un air joyeux tout en plongent ses yeux bleu dans les miens. Je le suivrais tout en tournent la tête a chaque reprise.

Dans son élan il me bouscula et m'entraina dans une course joyeuse et folle. Le bruit de l'eau pendant notre course ne s'entendait presque plus. Je pris une légère avance sur lui par une fouler de galop. Nous galopons côte a côte pendant quelque temps. Je riait et il en fis de même. Que demander de plus ? Moi je ne vois rien. Je me sens si bien a côté de lui. Nous passons sur le l'herbe rase, des hautes herbes, des cailloux, quelques rochers qui longé la rive de la cascade. Après quelque moment je commençais a fatigué. Je m'arrête donc et souffla pour reprendre mon souffle. Je m'approchas de l'eau et bus quelque gorgés et cela fis du bien. Je me retourna et je vis que Boontie m’observait, gêner je tourna la tête pour regarder le paysage. La nature commencer enfin a reprendre du vert après un hiver fort froid. Mais ce n'est toujours pas le printemps pour autant.

Mais un bruit me fis tourner l'oreille. Je tourna vivement la tête dans la direction d'un buisson. Les branches qui portés de petite feuilles, bougèrent dans tout les sens. Que peut bien cacher ce buisson. Je fis un air inquiet sur mon visage, mes yeux s'agrandirent et ma bouche s'ouvris légèrement. Je me mis derrière Boontie comme pour me protégeais. D'habitude je suis téméraire et courageuse, mais je ne sais guère pourquoi je fis un telle chichi !

Nous galopions joyeusement, follement même, la belle jument grise arrivait à ma hauteur, ses magnifiques crins volaient au vent. Sous mes sabots, les matières du sol changeaient, je sentais de l’herbe fraiche, des cailloux qui roulaient sous mes sabots, sur les rives, quelques petits rochers se superposaient élégamment, certains recouverts de mousse. Je me redirigeai mon regard vers l’avant. Je vis Black’ Bé s’arrêter, je fis de même quelques mètres plus loin, elle s’abreuvait, je la contemplais, sa longue et fine encolure formais une ligne que ses crins recouvraient élégamment, j’étais subjugué par une telle beauté, je n’avais jamais ressenti cela au paravent, mon cœur volait, il courrait après cette douce jument, et mois, qui courrais après lui. Elle releva la tête, et me regarda, je lui souris et elle détourna son regard, j’eu un petit rire masqué.

Nous entendîmes un bruit, je dis nous car, je ne la lâchais pas du regard et je vis bien qu’elle aussi avait réagis à ce bruissement de feuilles. Le buisson qui faisait le bruit en question s’agitait, quelque chose était dedans. Black’ avait l’air paniqué, son visage était figé dans une expression de panique… Je ne savais pas qu’elle pouvait avoir de telles réactions, elle qui cette nuit d’orage c’était montrée si forte, si rassurante, était aujourd’hui folle d’inquiétude, et je devais moi-même la rassurer, bien que moi-même je n’étais pas très fier. Elle me rejoignit et se cacha derrière moi. Je lui adressais un regard rassurant. Je me retournai et plaqua mes oreilles sur ma nuque, je grattai le sol et montra ma face la plus agressive soit-elle, je voulais faire peur à la chose qui ce trouvait là… J’attendais qu’elle sorte !

Invité

Et là devant nous se tenait un gros ours brun, sortie de sa grotte avec son hibernation. Il doit avoir très faim vu les grognement qu'il pousse. Il balancer ses grosse pattes velu dans le vide comme si il était aveuglé. Mais il ne l'ai pas non il nous fixe avec se petite yeux. J'avais peur, et c'est bien la première fois de ma vie que j'ai peur. Je ne connait pas cette animal sauf de nom, je ne connait rien de lui alors je ne peut pas fuir la la russe, ou la vitesse, ou d'un coup de sabot non car je ne connait rien de cette animal qui pus.

Je me blotti derrière Boontie qui me donner l'impression d'être protéger mais je pense que lui aussi est tout aussi apeuré de sa que moi. Je ferma les yeux et baissa la tête comme si j'avais rêver. Quand je la relève de nouveau l'ours est toujours la a attendre que l'un de nous comme a fuir pour nous poursuivre. Il grogner horriblement que mes membres tremblèrent.

- Tu peux le chasser où on va devoir fuir ?

Un ours de dressait devant nous, je
tentais de masquer le frémissement de mes membre. L’animal mal léché sortait
visiblement d’une longue hibernation, j’en conclu que nous étions des proies.
Je me redressai, face à lui, il agitait ses pates musclées dans le vide. Je grattai
nerveusement le sol, lui montrant que je ne lui laisserais pas faire de mal à
mon amie. Il me dévisageait de ses petits yeux noirs, je leva vivement la tête,
et le toisai. Je sentais la peur de Black Bé, c’étais assez étrange, pour cette
jument si téméraire, il fut un jour où c’était elle qui m’avait rassurée,
aujourd’hui, j’allais lui rendre ce qu’elle m’avait donné. Elle vint ce blottir
contre moi, je frémis quand je la senti se poser contre moi, elle avait peur,
comme moi, mais je devais la dissimuler, je ne devais pas la décevoir. Je n’eu
jamais affronté un tel animal, je ne sais pas comment il allait réagir au moindre
de mes gestes. Son grognement résonnait fort, mais j’entendis la voix de Blackberry
me dire :

« Tu peux le chasser, où on va devoir fuir ? »

J’hésita un long moment, je voulais lui
montrer que j’étais fort, mais je n’avais pas la moindre chance face à cette
bête sauvage, la faim devait décupler ses forces. Je chuchota à la jument,
toujours plus serrée contre moi, que je n’étais pas assez puissant contre lui,
je lui dis de reculer prudemment, et de se retourner quand l’ours sera loin de
nous, pour en suite galoper, et passer de l’autre côté de la rive. Ce scénario
ne tenait pas vraiment la route, mais au moins j’avais dit quelque chose, et
nous avions une lueur de ne pas nous faire avoir par l’animal. Je me décala d’elle
et recula doucement, en me retournant pour prendre le galop, je lui glissai
timidement à l’oreille « Je t’aime ». Pris de honte je n’attendis pas
et partit.

Invité

Boontie me chuchotas a l'oreille un plan qui fus notre seule chance de nous en sortir face a ce montre puant. L'ours sentait vraiment mauvais a en tomber dans les pommes. Boontie me confias qu'il fallait reculer tout doucement, se retourner et galoper le plus vite possible et traverser la rive. Là nous serons en sécurité. C'est plus facile a dire qu'a faire. Il commençât a se reculer doucement et en se retourna j'entendis la voix qui frémis en prononcent un - Je t'aime - furtif a mon oreille. Il détallas comme un lapin pour fuir l'ours. Ce n'était pas du jeux, il est partie sans m'attendre. Il va voir, je vais le rattraper.

Je me retournas et me mis a galoper le plus vite possible pour pas le faire rattraper par l'ours affamé. Je galopais, devant Boontie aussi, et pendant notre longue cavalcade pour atteindre la rive pour la traverser et être hors d'atteinte de l'ours je réfléchie. Le "je t'aime " de tout a l'heure ma perturbé. Oui je ne sais plus quoi penser de ce que je ressens pour Boontie. Je l'aime c'est sur mais de quel degrés ?! Amitié ? Amoureux ? Ma gorges se nouas quand je vis au loin la couleur de l'eau bleu qui scintiller, se rapprochais. Nous serons bientôt a l’abri et je vais me retrouver face a Boontie. Ce qui vient de me dire là me noue totalement l'estomac, et je n'ai pas tellement envie de me retrouver en face de lui maintenant.

Me voila en face de la rive, tout juste derrière Boontie qui allait sauter pour la traverser je suppose. Je tourna la tête pour regarder où était l'ours dans tout sa. Là ! La masse poilus et marron se rapprochais de plus en plus. Prisse de panique je me cabras et hennis de peur. Je ne comprend pas mon comportement a changer depuis que j'ai retrouver Boontie ! Pourquoi je devient si fragile et si peureuse ? Moi qui avant était téméraire et sans peur ! J'ai peur d'avoir changer ....

Je sautai de l’autre côté de la rive,
elle était éloignée et je me retrouvai dans l’eau. J’eu à peine à nager pour
remonter sur la rive. Mes crins mouillés et épais pesaient lourd sur moi. Je relevai
ma tête d’un mouvement sec, renvoyant en même temps mon toupet qui cachait ma
vue. Je fus stupéfait quand j’aperçu à l’opposé de la rivière, BlackBerry qui se
cabrait, et paniquait, je ne savais pas quoi faire, j’avais peut moi aussi,
peur de cet ours, mais je laissai tomber mes craintes et retourna de l’autre côté.
L’ours cavalait loin, mais il se rapprochait. Je me hissais à ses côtés et lui
parla :

« Black Bé ! Viens c’est pas
le moment de paniquer j’ai besoin de toi, peut être pas toi, mais moi si !
Calmes toi. »

Je paniquais, et trépignais face à la
menace qui arrivait de plus en plus vers nous. Je me cabrai et hérissai à faire
une chose qui me venait en tête. Puis je gratta le sol et fonça tête baissée vers
le prédateur.

Invité

Je paniquas, s'était horrible. j'avais peur de me faire dévorer et en même temps peur de traverser la rive. Je vis Boontie revenir vers moi alors qu'il avait déjà atteint la rive opposé. Il s’approcha de moi et me dit - Black Bé ! Viens c’est pas le moment de paniquer j’ai besoin de toi, peut être pas toi, mais moi si ! Calmes toi. - Je fis alors ce qu'il me demandas. Je me calmas et arrêtas de me cabrais. Ma respiration était forte et saccadé par la peur de l'ours. Je m’apprêtais a lui parler quand je le vis se cabrais et hennir. Il grattas le sol et fonças sur la bête monstrueuse qui se rapprochais. Non ! Il va se faire massacrer. Je me mis alors a galoper vers lui le rattrapent assez facilement. - Boontie ! Non fait pas sa ! Il va te tuer ! Vient ! - Je lui pris alors la crinière et tiras dessus de toute mes force comme pour l’empêcher de faire la plus grosse bêtise de sa vie. Je ne voulais pas que nous nous fassions manger tout crue par une sale bête qui pue et qui a l'air très méchante. Non j'ai envie de traverser cette fichue rive et nous en sortir.

- Boontie ! Non fait pas sa ! Il va te tuer ! Vient !Je pila, BlackBerry me tirais sur une mèche de crins. Je m'arrêta et la regarda-Pour quoi tu ne bougeais pas?Je fixait mon amie, mes flanc se soulevaient à un rythme saccadé, je cru alors comprendre. En baissant ma tête et levant les yeux ,pour mieux voir les siens qui étaient cachés sous son toupet, je lui dis:-C'est par ce que je t'ai dis que je t'aimais c'est ça? Je ne sais pas ce que tu ressens toi, mais, je parlais d'amitié, je tiens très fort à toi, comme une sœur!
Je lui souris, et regarde au dessus de mon épaule, l'ours s'en était allé. Il avait lâchement déguerpis, surement découragé ou attiré par une autre odeur plus attrayante. Je l' entraina vers le bord de la rive. L'eau ruisselais sur mes flancs, et mes crins gouttaient. Je regarda mon reflet dans l'eau, je souris en me comparant à un vieux loup mouillé. Je me retourna vers Black Bé et lui souri En m'avançant vers elle. Je la câlina et l'interrogea du regard, pour enfin lui dire sur un ton enjoué et interrogateur:-Hey, tu as perdu ta langue?

Black'bé

- Pour quoi tu ne bougeais pas ? - Il me fixait dans les yeux. Il baissas alors la tête et relevant les yeux pour rencontrer les mien que j'avais caché sous mon toupet. Il repris - C'est par ce que je t'ai dis que je t'aimais c'est ça? Je ne sais pas ce que tu ressens toi, mais, je parlais d'amitié, je tiens très fort à toi, comme une sœur ! - Je fus soudainement soulager. Oui car cela m'embêterais de lui dire que je l'aimer juste en amitié. Je relevas la têt et souris alors a mon ami. J'eus l'impression que l'ont ma retirer un gros poids du cœur.

Il me souris et regardas au dessus de son épaule. Je fis de même. L'ours n'était plus là, il a eu partir, ennuyer de nous courir après. Il m'entrainas vers le bord de la rive. Je vis que l'eau ruisselaient sur ses flanc ainsi que ses crins. Il se regardait dans l'eau avec son reflet. Je fi de même. A cause des petite vagues nous étions déformer et cela me fis rire. j’étouffais mon rire pas un raclement de gorge. Boontie se retourna vers moi avec un grand sourire. Il s'avança vers moi et me câlina tout en m'interrogent du regard. Il dit enfin avec un ton enjoué et interrogateur. - Hey, tu as perdu ta langue ? -

Je secouas la tête et ris. - Mais non pas du tout. - J'étais contente d'avoir échapper a ce montre et déguster ce moment de tranquillité. j'étais bien là avec mon ami. Je m'approchas de lui et collas mon encolure contre la sienne rassurais et apaiser. - Je suis contente d'avoir échapper au truc plein de poils. - Je le regardas dans les yeux, un large sourire et ris.

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