Corax.
Petit lapin courant dans les champs de carottes du paradis ...
Messages : 287 Points Automatiques : 323 Date d'inscription : 27/04/2012 Age : 26 Localisation : Derrière mon ordi, hehe (8
♣ Fiche de personnage ♣ Personnage Principal: Second Personnage: Troisième Personnage:
| Sujet: [♦. Songe d'une Nuit - Solitaire ] Ven 27 Avr - 12:58 | |
| PRESENTATION | | .songe.
▬ Nom du personnage ▬ Songe d'une Nuit. ▬ Groupe ▬ Solitaire. ▬ Age ▬ Adolescente.
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▬ Physique ▬ En 2 lignes minimum.
Songe est d’une beauté rare. Cela ne veut pas dire qu’elle est plus belle que les autres. Non, cela veut dire qu’elle est d’une autre beauté. Songe est fine, gracieuse. Elle galope avec légèreté, se tient droite. Ses pattes sont grandes et fines, ses crins doux et soyeux. Son pelage parait alezan aux premiers coups d’œil mais en regardant de plus près, on voit qu’il est moucheté de taches plus clairs et de taches plus foncés. Les taches claires se trouvent sur son dos et sur le haut de son encolure. Les taches foncées sont placées en bas du ventre et de l’encolure. Ses pattes sont brunes, foncées en haut et claires en bas, se finissant sur des sabots de couleur crème.
Songe a de longs crins qui se balancent au gré du vent. Ils sont gris à la base et blanc aux pointes, ondulent légèrement. Au soleil, ils brillent, scintillent même, tout comme les étoiles qui illuminent le ciel à la nuit tombé. Son museau est blanc, son front alezan, ce qui donne l’impression qu’elle a joué avec la neige. Ses oreilles rousses sont un peu plus petites que la normale, mais cela ne se remarque pas. Ce qui ce remarque, ce sont ses yeux noisette. L’un est normale, tandis que l’œil droit à la pupille blanche. La plupart des chevaux en déduisent qu’elle est aveugle mais ce qu’ils ne savent pas, c’est qu’en plus de cela, elle n’entend pas de l’oreille droite non plus.
▬ Caractère ▬ En 5 lignes minimum.
Songe est assez difficile à cerner. Elle n’est ni toute blanche, comme elle voudrait vous le faire croire, ni toute noire. Elle a des bons cotés, comme des mauvais. Certes, elle est gentil et non méchante, mais elle n’a pas que des qualités, et ses défauts sont, pour certains, handicapant pour elle comme pour les autres. Je pense que commencer par les défauts n’arrangera rien, tandis que commencer par les qualités la ferait plus belle qu’elle ne l’est. Je ne me rangerais pas aux habitudes des autres.
De même, Songe a son avis personnel sur toutes les choses de la vie. Elle a un point de vue bien à elle et quand elle vous l‘expose, elle n’as pas peur de dire ce qu’elle pense. Elle n’as aucune retenus car sa liberté est toute nouvelle, et elle auras certainement besoin de l’aide de congénères pour apprendre a se taire, quand il est nécessaire de le faire bien sûr. Quand on arrive à la connaître, il n’est pas compliqué de l’apprécier. Songe est gentil et bien qu’elle ne soit pas vraiment bavarde, elle aime beaucoup rigoler. Elle n’engagera pas la conversation et préfèrera toujours la laisser couler, mais si vous parlez d’un sujet qui l’intéresse, elle pourra parler avec vous des jours entiers, façon de parler bien sûr.
Je ne vois pas quoi vous dire de plus sans trop entrer dans les détails. Et si vous essayer de la connaître par vous-même ?
▬ Histoire ▬ En 10 lignes minimum.
Prologue - « Le début de tout. » - Spoiler:
Au fin fond du cimarron, là ou l’herbe est verte toute l’année et où les hommes n’existent pas, vit une jument. Elle vit seule, solitaire. La saison des chaleurs est là, et son amant vient de repartir. Ils se voyaient souvent, mais jamais de près. Ils échangeaient des regards, chacun de son côté. Sans jamais s’être parler, ils savaient tous deux qu’ils s’aimaient. Aujourd’hui, alors qu’il avait franchi le ravin qui les séparait, il était venu la voir. Ils s’étaient câliné, s’étaient murmurer des mots doux. Puis, comme tout couple qui s’aime, ils s’étaient rapprochés de plus en plus près, et cet étalon l’avait sailli. Puis une hennissement dans l’air, un dressement d’oreille, et il avait déguerpi le plus vite possible sans même un regard en arrière. La jument savait pourquoi il avait du partir, et elle savait aussi qu’elle lui pardonnait d’être parti. Elle l’avait suivi, un jour ou ce même hennissement avait retenti. Et elle avait vu qu’il vivait avec elle : une autre jument, au ventre déjà bien rond.
Elle aurait du être jalouse, la solitaire. Elle aurait du le détester. Mais c’est avec elle qu’il passait ses journées. C’est elle qu’il regardait avec ce regard, regard amoureux et protecteur. C’est à son oreille qu’il avait chuchoté des mots doux. Et désormais, elle allait fonder une famille. Seule, certes. Elle ne pourrait jamais présenter leur père à son enfant. Mais elle pourra se dire, pour se consoler, que l’amour de sa vie l’aime aussi. Elle pourra dire, à son enfant, que son père l’aime. Elle lui dira qu’il ne peut pas venir ; elle ne lui dira pas pourquoi. Elle lui dira juste qu’il l’aime, et son enfant la croira. Alors il aimera son père, d’un amour aussi fort que celle que la mère a pour lui.
Chapitre Premier - « Là où elle est née. » - Spoiler:
Comme le voulait la tradition, notre jument partie. Loin. Elle le savait, elle ne pourra plus jamais voir son amant. Elle n’avait jamais redouté ce jour, car tel était son destin. Son destin était de naître, de le rencontrer, de donner la vie. Puis elle pourra quitter ce monde. Quoi qu’il advienne, elle se plierait à la volonté des Etoiles.
Plume de Soie, car telle était son nom, avait marché jour et nuit. Elle avait parcouru une très longue distance pour aller dans ce lieu. La grotte avait l’air sombre au premier abord. Plume fit quelque pas à l’intérieur. Elle redoutait que son ventre rebondit ne passe pas, au quel cas son petit serait voué a mourir. Mais les parois de la grotte étaient assez écartées pour lui permettre de passe, même si son pelage se frottait à la pierre dure et froide. La jument marcha tout droit pendant un temps infiniment long. Elle ne comptait plus le nombre de pas qu’elle avait fait, se contentant d’écouter le bruit de l’eau tombant sur le sol. Le noir complet l’empêchait de voir devant elle. La fin de se couloir était peut-être inexistante, mais alors que cette penser la traversait, Plume aperçut la lumière. Une lumière blanche, éblouissante, qui lui fit plisser les yeux malgré elle.
Des pointes de glace tombaient vers le sol, accroché au plafond. Elles étincelaient de mille feux, éclairées par une lumière invisible. Plume marcha doucement, slalomant entre les cônes de glace qui risquaient à tous moment de tomber et de la transpercer. La jument arriva à un endroit ou les stalactites avait disparus, remplacer par des stalagmites qui montaient jusqu’à son garrot. Au milieu, la roche était nue. C’est là que Plume s’allongea. Alors qu’elle allait se coucher, le sabot de son antérieur droit glissa sur la roche et manqua de la faire tomber. La jument se redressa puis, rongé par l’inquiétude, se coucha sur la roche, observant les milliers de pointes de glace qui reflétait son visage déformé pas la peur.
Chapitre Second - « Croyances des ancêtres. » - Spoiler:
Plume resta là allongé plusieurs jours, sans rien manger. Pour s’abreuver, elle se contentait de lécher la stalagmite à côté d’elle. Plus le temps passait, plus Plume se demandait si son petit irait bien. Elle avait trébuché avant de se coucher, et cela portait malheur.
Quand le travaille commença, Plume était allongés au sol, n’ayant même plus la force de se redresser. Son maigre corps fut agité de convulsion tandis que son corps expulsait sa progéniture. La jument chercha au plus profond de son être le courage de lever la tête. Ce qu’elle vit la fit sourire. Une petite pouliche était couchée au sol, la tête entre les pattes. Plume de Soie se força à se lever. Elle ne prononça pas un mot et espérais que sa fille en ferait autant. La mère devait parler pour que le petit parle, la jument le savait. Mais si son bébé prononçait un mot, et devrait l’abandonner là. Si elle ne le faisait pas, elle mourrait dans d’atroce souffrance et déshonorerait sa famille …
Plume lécha sa petite avec tendresse. Pour l’instant, tout lui paraissait normale chez elle. Quand la pouliche se mit fébrilement sur ses quatre pattes, Plume de Soie la conduit vers la sortie. Ses côtes saillaient sous son pelage hirsute, elle faillit tomber a plusieurs reprise, mais elle resta debout jusqu’à la sortit. Une fois dehors, elle s’allongea par terre. Son bébé cherchait les mamelles, mais la jeune mère la repoussa. Pas encore. Quand la pouliche se calma et se coucha au sol, Plume sourit.
Mais bientôt, elle déchanta : la petite avait les yeux d’un marron noisette, mais tandis que l’un avait une pupille noire, l’autre avait une pupille blanche. Plume ravala sa salive.
« Bienvenue dans ce monde, jeune pouliche ; dit-elle en utilisant les même paroles que ça mère avant elles. »
La petite dressa les oreilles. Plume remarqua qu’un oiseau chantait à droite de la pouliche, mais celle-ci ne sembla même pas le remarquer, si ce n’est son oreille gauche qui cherchait désespérément ce qui était a l’origine de la mélodie.
« Depuis des générations et des générations, les juments de notre famille exécute ce rituel. Tu ne devras donc pas parler jusqu’à la fin de mon récit. « Ta vie est sous la protection des Etoiles. Tu devras faire ce qu’elles te disent de faire, et non ce que tu as envie de faire. Ainsi, tu auras la certitude de vivre une longue et paisible vie. Maintenant, je vais te faire pars des étapes qui rythmeront ta vie. Tout d’abord, je t’apprendrais tout ce qu’il y à savoir. Tu devras rester près de moi et ne pas t’en aller. Jamais. Ensuite, tu devras trouver un étalon. Tu sauras avec qui tu voudras avoir un petit rien qu’au premier coups d’œil, crois-en mon expérience. Ensuite, une fois qu’il t’aura saillie, tu devras venir ici. « C’est le moment déterminant de ta vie. Tu viendras devant cette grotte et tu y entreras. L’entrée est assez étroite. Si tu n’arrives pas a entré, alors reste dehors est abandonne le petit à la naissance. Une jument avait voulu garder le poulain : celui-ci était mort le lendemain et plusieurs lunes plus tard, la jument a été frappé par la foudre. Il est donc important de respecter les traditions, comprend le bien. Aussi, si tu as un mâle, tu devras avoir d’autres petits, jusqu’au moment où l’un deux sera une femelle. « Un fois que tu sera entré, marche encore et encore. Quand tu entreras dans la salle de cristal, comme nous l’appelons, allonge toi à l’endroit "où le sol est nu et où la pierre luie ". Tu ne dois pas parler jusqu’au moment où tu ressortira avec ton poulain de la grotte. Tu lui trouveras un nom, à ce poulain, et tu lui dira tout ce que je t’ai dit, seulement ce que je t’ai dis. »
On aurait pus croire que la petite était, justement, trop petite pour comprendre tous ça. Et pourtant, le sens profonds de ses paroles était gravé dans son coeur. Elle se rappellerait toujours de ces paroles.
« Désormais, continua la mère ; les Etoiles te connaîtront sous le nom de Songe d’une Nuit. Désormais, le monde te connaître sous le nom de Songe. »
Plume souffla dans les naseaux de Songe d’une Nuit. La pouliche resta calme jusqu’au moment où ça mère se leva. Songe se mit debout et s’accrocha à la première mamelle qu’elle trouva. Sa mère lui lécha la joue et vit les yeux de sa petite : ils étaient tout les deux d’une couleur noisette profonde, mais sur l’œil droit la pupille de la pouliche était blanche.
Chapitre Troisième - « Politesse obligatoire. » - Spoiler:
Songe avait grandi. Elle tenait fermement sur ses quatre pattes et galopait vite désormais. Un matin, tandis quelle restait près de sa mère endormie, elle regardait les arbres qui leurs servait désormais d’abri. Elles avaient beaucoup marché depuis sa naissance. Songe n’était pas sûr de pouvoir un jour retrouver cette endroit mythique, mais elle ferais de son mieux. Comme le voulait Plume de Soie, elle avait appris la politesse propre a leur famille. Elle ne prononçait jamais le premier mot le matin et priait les Etoiles tous les soirs avant de s’endormir. Elle attendais la permission de sa mère pour tous : manger, boire, s’allonger, et surtout se lever. Elle restait toujours auprès d’elle et ne lui manquait jamais de respect.
Plume s’agita à côté d’elle. Songe la regarda se lever, lui souriant.
« Bonjour ; dis calmement sa mère. - Bonjour mère ; lui répondit sa fille en inclinant la tête. - Lèves-toi maintenant ; ordonna Plume. »
Songe se mis debout.
« Comment vous portez vous aujourd’hui, mère ? lui demanda-t-elle. - Fort bien. Le soleil est haut, allons nous trouver de quoi nous nourrir ; répondit-elle. Suis moi. »
Et alors que la mère partait au trot sans un regard en arrière sa fille s’efforça de la suivre sans se plaindre. Elle se laissa souvent distancer, devant contourner des obstacles que Plume avait franchis d’un bond, mais celle-ci ne ralentissait pas l’allure et Songe se devait d’accélérer. Trempée de sueur, sur le point de s’évanouir, la pouliche failli se cogner contre la jument qui venait de s’arrêter. Plume ne releva pas, se contentant de scruter le paysage. Puis elle se détendit.
« Nous pouvons manger désormais. »
Songe s’inclinât, le museau entre les pattes. Plume mangea quelques brins d’herbe, et seulement à ce moment là, la pouliche se permis de boire le lais sucré de sa mère. Et c’était comme ça tous les jours. N’importe quel poulain se serait rebellé, aurait désobéis. Mais pas Songe d’une Nuit. Elle n’avait jamais connu un autre enseignement, et celui-là lui convenait très bien.
Chapitre Quatrième - « L’envol du papillon. » - Spoiler:
Plus elle grandissait, plus Songe d’une Nuit se posait des questions. Elle ne pouvait rien demander à sa mère, ce qui serait impolie. Alors, le soir, quand elle avait la permission de s’éloigner de sa mère pour prier, elle questionnait les Etoiles.
« Etoiles, vous veillez sur moi, alors je vous rend honneur. »
Quand elle avait commencé, elle se sentait tout de suite mieux. Elle n’avait pas le droit d’écouter les prières de sa mère, de même que sa mère n’avait pas le droit d’écouter les siennes.
« Vous êtes les seuls à pouvoir répondre à mes question. Sommes-nous seuls sur terres ? Qui est mon père ? Suis-je obligée d’être soumis comme cela ? Pourrais-je un jour gambader librement, sans avoir a en demandé la permissions ? »
Et elle continuait comme cela : elle posait des questions, encore et encore, dans l’espoir qu’un jour, quelqu’un lui réponde. Mais rien. Pas même le scintillement d’une Etoile - de son Etoile - pour lui prouver qu’elles l’avaient entendu …
Et un jour, elle en eu mars. La vie n’avait plus de sens pour elle. Elle n’était pas faite pour cette vie. Alors, belle jument qu’elle était, elle salis son pelage en se roulant dans la boue et partie, une nuit, vers de nouveaux horizon. Elle ne vit pas le temps passer tant elle découvrit des choses plus surprenante les unes que les autres. Mais elle n’eut pas le temps de savourer sa victoire intérieure qu’elle se rendit compte que le soleil était déjà bien haut dans le ciel. Sa mère était réveillée, elle en était sûre. Alors elle se lava dans un étang et partit au galop vers la forêt.
En chemin, elle rencontra une mère te son poulain. Ils jouaient ensemble, rigolant, se roulant par terre, comme ne le ferais jamais notre Songe. Dans le regard de la jument brillait un amour éternel. Un amour fort, comme n’en avait encore jamais vu Songe.
Rentré chez elle, elle se posta devant sa mère, sans aucune révérence, et dit le premier mot de la journée.
« Bonjour mère. »
Plume se grandit, dominant sa fille de toute sa hauteur. Mais celle-ci ne recula pas, n’esquissant aucun geste de soumissions.
« Tu me déçois beaucoup fille ; dit seulement Plume. »
Songe leva les yeux, croisa le regard de sa mère. Elle espérait rencontrer de l’amour, mais elle n’y vit que de la fierté sur le point de s’envoler. La pouliche se redressa de toute sa hauteur.
« J’ai toujours pensé que tu m’aimais ! cria-t-elle, sans pouvoir se calmer. »
Elle l’avait aimée, sa mère. Sans rien en retour.
« J’ai tout fait pour que tu sois fier de moi. Je ne suis pas faite pour cette vie que tu mènes. Je ne rentrerais jamais dans cette grotte. J’aurais plusieurs enfants et je ne quitterais jamais l’étalon que j’aime. Je mènerais ma vie, et non la tienne. Au revoir. »
Et, sans un regard en arrière, Songe partit. Le cœur allégé, elle souriait, tandis que le vent ébouriffait ces crins comme pour la féliciter de son courage.
Epilogue - « Vire ici, mourir là-bas. » - Spoiler:
Songe d’une Nuit voyagea longtemps sans penser une seule fois à sa mère. Et enfin, après une longue journée de marche, elle s’arrêta au sommet d’une colline. Devant elle s’étendait des terres, plus belles qu’elle n’en avait jamais vu. L’automne était là, les arbres étaient nus, et pourtant ces lieux étaient beaux. Une rivière traversait la plaine, venant d’une cascade si loin qu’elle était presque invisible. L’herbe était verte, le ciel était bleu. Mais surtout, il y avait d’autres chevaux. Il y avait des chevaux seuls, ou à deux et au loin, un troupeau s’était regroupé, prêt à braver le froid de l’hiver. ----------------------------------------------- Plume, quand à elle, savait que ce jour arriverait, Songe avait été plus polie qu’elle-même ne l’avait jamais été, ce qui cachait forcément quelque chose. Alors, le cœur lourd, elle partit vers l’endroit où tout avait commencé. Quand elle vit l’étalon qu’elle aimait, après plusieurs jours de marches, il était en train de jouer avec trois poulains. La mère ce ceux-ci étaient à l’écart, regardant son étalon d’un air mauvais. Plume les observa longtemps et à la nuit tombée, elle se décida à aller le voir. Elle s’approcha de lui et le réveilla en lui soufflant dans les naseaux. ----------------------------------------------- Sentant son odeur, il se réveillât. Il la regardât, soudain incapable de parler. Toutes les nuits, il rêvaient d’elle, et la voila. Il allait dire quelque chose quand elle parla. « Elle est partie. - Qui ça ? demanda l’étalon. - Songe. » Alors l’étalon sus qu’elle parlait de leur poulain. Il ne dit pas un mot de plus, entraîna l’amour de sa vie à l’écart et la câlina tendrement. Puis une voix brisa le silence. « Je le savais ! » La mère des poulains se dressait là, sombre silhouette dans le noir. « PARS ! cria-t-elle a l’étalon. JE NE VEUX PLUS TE VOIR ICI !». Alors l’étalon pris peur. Lui seule savait combien la jument pouvait être dangereuse. Sans un mot, il entraîna son amante avec lui et partit au triple galop dans la direction opposé de l’autre jument. Mais dans sa précipitation, il tomba dans le ravin, suivit de sa bien aimée. Ensemble, ils tombèrent longuement, avant de s’écraser au fond du précipice. Et tel moururent deux amants qui ne s’était adressé la parole qu’une seule fois, sans jamais s’être dit leur nom. Tel mourut Courage de l’Aigle et Plume de Soie, les amants maudis par la vie.
▬ Code du règlement ▬ Oki by Thunder
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C'EST QUI | | .derrière l'écran.
▬ Age ▬ 14 ans ▬ Comment as-tu connu le forum ▬ Je cherchais des images de Spirit sur Internet, et je suis tombé sur des images de chevaux. J’ai regardé, et à un moment, je suis tombé sur votre forum. J’ai regardé un peu le tout, me suis renseigner sur le forum, et je me suis finalement inscrite. ▬ Comment le trouves-tu ▬ Pour l’instant, vraiment sympathique. ▬ Autre(s) ▬ Il y a plusieurs choses que je voudrais vous dire.1. La mère de ma jument est, comme vous avez pus le remarquez, TRES superstitieuse. Donc, ne faites pas attentions à toutes ces petites choses qui vous paraissent absurde. 2. C’est mon deuxième ou troisième RPG (j’ai un doute). Je pense pouvoir m’en sortir, mais s’il vous plait, ne me tuez pas si je ne fais pas ce qu’il faut, par ce que ça fait longtemps que je ne me suis pas aller sur un forum RPG ^^’ Aussi, j’ai pour habitude d’écrire a la 2ème personne (tu). J’espère que ce n’est pas gênant =) 3. Nom composé = La Guerre Des Clans. Je suis une grande fan =) Vous remarquerez aussi, si vous connaissez, qu’il y a cette même histoire de protection par les Etoiles/Le Clans des Etoiles. 4. Désolé pour ce pavé en guise d’histoire, j’espère que vous aurez tout de même le courage de lire l’histoire de ma Songe. 5. L’expression « Les gens » et sous mon copyright (ou pas xP) 6. Je ne suis pas très très bonne en Français - pas bonne du tout même -, je fais des fautes d’orthographe - tout le temps -, alors je vous pris d’être indulgent ^^’. 7. Ma jument est tous droit sortit de mon imagination. Si vous copiez sont physique OU son histoire OU son caractère (ou les trois pourquoi pas), vous m’aurez sur votre dos toutes votre vie. Et attention, je mors … *vampire* 8. Heu, un peu de sérieux, il faut attendre combien de temps pour avoir un autre personnage ? Car j’ai un bel étalon qui attends de sortir de sa boite ^^’ 9. A mais non de toute façon, il faut que j’attende que les Cow-Boy ouvre U_U 10. Il me semblait que je voulais dire d’autre chose … M’enfin bref, ça va me revenir.
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Dernière édition par Songe d'une Nuit le Ven 27 Avr - 14:18, édité 5 fois | |
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