Je m'en vais, au revoir et adieu, je pars.

Spoiler:

Maman ? Pourquoi tu ne bouges pas, pourquoi tu ne respires plus ? Maman vient, on part cet endroit ! Maman, pourquoi tu te relevés pas et tu viens me rassuré comme tu le fais si bien ? MAMAN ?! Arrête de dormir aller vient ! Tu es devenue sourde ou simplement refuses-tu de me répondre ? Les muscles de la pouliche se crispèrent. Mais pourquoi donc sa mère n’avait aucune réaction à ces appels, a ces cris ? Ces yeux étaient pourtant grands ouverts : elle ne dormait pas, non. De plus, les juments du groupes l’avait rejoints et voulait à tout prix l’éloigner de sa mère. Pourquoi fuir l’être qui t’as mis ou monde ? Non, Jazz ne bougeras pas. Oui, elle restera coucher a côté du corps de sa mère. La petite jument fermait ces yeux, elle cherchait cette petite chose a quoi se rattaché, cette petite chose qui lui permettrait de survivre. Survivre ? Survivre à quoi ? Des questions , pas de réponses. Des bruits de pas dans son dos. A quoi bon regarder ? De toute façon qui il aurait pour faire se relever sa mère ? Jazz restera au sol. Décider, elle ne bougea pas. Elle sentait quelque chose l’observer et une odeur familière. Papa ? Oui, Papa ! Lui va relever Maman ! Ces muscles ne préparaient a lui sauter dessus le sourire au lèvres quand soudain il dit :

- Viens Jazz, ne restons pas ici ... Je t'en supplie suis moi ...

Papa ? Normalement il n’avait pas cette voix et normalement il aura crié mon nom jusqu’à ce qu’il n’est plus de voix. Alors pourquoi m’avais-t-il parlé sur un ton si grave si vacillant ? Y’avais-t-il quelques chose de grave ? La jument s’exécuta suivit son père jusqu’à un petit arbre avant qu’il ne fit volteface et qu’il retourna au corps de la mère. Il se coucha à son niveau comme s’il lui murmurait quelque chose de secret et de si doux. Super ! Il doit être entrain de lui dire de se relever ! La pouliche isabelle avait le sourire aux lèvres mais ce qu’elle ne savait : c’est que jamais l’un de ces parents ne se relèverait. Mais que font-ils ? Il en met du temps à se relever. Pfff’ Je suis sûre qu’ils font ça pour m’énervé. Bon aller je vais les faire bouger. Jazz partit dans la direction de ces parents lorsqu’elle fut stoppée par la jument de la petite bande dont elle faisait partie. Pourquoi elles ne me laissent pas passé ?

-Mais laissé moi passer bon sang ! Je vais pas leur faire mal, je veux juste un peu les secouer.

Le visage des juments s’était ombragé. Elles semblaient atteintes d’une maladie très grave. Ou tout simplement étaient-elles attristées par l’ignorance de Jazz ? Voulaient-elles à tout prix la laissé dans son monde sans défauts ou la mort n’existe pas ? Ou bien allaient-elles lui révélé l’état de ces parent et ainsi la sortir d’une enfance qu’elle n’a pas et qu’elle n’aura jamais totalement eut ? Toutes se tuent. Toutes la laissaient passé. Toutes larmes aux yeux. Toutes avaient ce sentiment amer. Toutes partirent. Laissant la pouliche sans avenir seul proie a des prédateurs. Meilleur solution, se disaient-elles sans cesse, jamais elles n’auraient pu vivre avec nous. Elle est trop faible et nous n’avons pas les moyens de la nourrir. Jazz était sure de pouvoir réveiller ces parents à coups de sabot et de petites morsures. Tant pis si elle se ferait gronder, tant pis si elle on la punissait. Elle les réveillera. Tient les vielles sont parties. J’m’enfous y’a encore Papa et Maman avec moi.La pouliche s’acharna jusqu’au soir ou elle tombât morte de fatigue sur ces parents.

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Elle rêvait maintenant, elle rêvait de ces parents.
Sa mère était à ces coté ainsi que son père tout deux souriaient et galopaient avec elle. Jamais elle n’avait été si heureuse. Blind jouait à cache-cache avec elle, April la sermonnait un peu. Puis il était arrivé à la falaise. Ah ce que Jazz aime cette endroit. Là, ils s’étaient couchés. Les étoiles brillaient plus qu’à leur habitudes et même que Jazz avait aperçu la grande ourse. Elle rigolait des bêtises racontées par ces parents, frissonnait devant leur récit. Puis elle s’endormie. Le lendemain, April et Blind était partis. Jazz crue d’abord à un jeu et les chercha pendant une heure puis deux, puis trois sans les trouver. Elle commença a les appelle. Rien. Ils l’avaient abandonné ? Non, jamais ils ne l’auraient fait. Donc soit ils lui faisaient un farce soit ils avaient été obligé. Désespéré, Jazz continua chercher quand elle tomba sur un renard. Un renard ? Au canyon ? Impossible !

Bonjours, ma petite.

Qui parle en plus ?! Jazz était choquée et ne pus que lui répondre un petit bonjour tout timide.

Ne t’inquiètes pas, je ne vais rien te faire de mal. De toute façon que pourrais-je te faire si je ne suis pas réelle ? Enfin bref, je suis là pour te dire un message très important de tes parents. Tu sais qu’ils t’aiment ? Surement que oui. Bon, venons-en au fait : tes parents ne sont plus comment dire là. Mais ils sont toujours à côté de toi mais plus en chair et en os. Ils sont partis loin et surtout ne les cherches pas. Il faut que tu continus ta vie. Ne te poses pas plus de questions. Quand tu te réveilleras, tu partiras et tu chercheras un refuge. Tu m’as bien compris ?

Jazz, n’eut le temps de répondre a aucune des questions et surtout pas à la dernier car le renard c’était volatilisé. Il était parti en fumé. Mais qui était-il ? Comment connaissait-il ses parents ? Et de quel droit lui donnait-il des autres ?

En un sursaut Jazz se réveillât, toujours allonger sur ces parents. La pauvre petite ne comprenait toujours pas la morbide scène dont elle faisait partie, elle vivante dormant sur deux corps inertes. Oui, cela est peut être écœurant enfin ça l’est mais bon, Jazz est dans l’ignorance. L’odeur de la mort attirait nombres de corbeaux que Jazz chassait avec tant de ardeur qu’ils ne s’approchaient plus d’elle et de ses parents. Voilà, maintenant ils ne viendront plus ces corbeaux de malheur. Ou sinon ils reviennent ; ils vont voir ce qu’ils vont voire. Jazz n’une qu’un moment de répit : elle sentait un puma. Puma ! Oh non ! Un puma, va-t-il me blaiser tout comme mon père ?! Je dois me sauver ou les protéger ? Mes jambes non. Elles veulent plus bouger, non ! Au… AU SECOUUUR ! Ma tête me dit de fuir ! Papa ! Maman ! Non, j’veux pas vous abandonné ! Les pas se rapproche vite, faut que je fasse quelque chose. Dans une dernière tentative, Jazz essaya de réveillé ces parents. En vain. Je dois vous laisser … Non, je peux pas ! La jument était au bord de la folie et attendait que sa mère se relève et la rassure.

Maman ! Debout ! PAPA ! Lèves toi !

Le puma était toujours plus près ; il était trop près. COURS ! La pouliche galopa en direction du bois. Laissant, derrière elle, ses parents et son enfance.