Rencontre sans nom, un jour en déclin... [PV: Comet]

Kurai, pour vous servir

L'après midi, le jour était en déclin à ce moment là.
Une silhouette, réduite a une ombre parmi les arbres, se déplaçait lentement tête baissée. Elle passait entre les troncs, enjambait les obstacles. Elle errait tel un fantôme en peine. Passant sous un rayon de soleil encore présent elle découvre sa robe blanche, aux marques noires. Sortant de la forêt nous voyons que c'est un étalon.
Kurai espérait tant de sa dernière rencontrer avec les cow-boy, que quand il les a vu s'enfuir comme des lâche il n'a pas eu le courage de les poursuivre, déçu. Son désir de vengeance était toujours présent mais il ne pouvait jamais le mener a bien, et encore moins depuis la construction de la ville dans laquelle y aller était trop risqué. La rencontre avait été soudaine, et il s'étais dit qu'il allait pouvoir commencer, car il avait même crut en reconnaître un. Mais ils ont fuis, l'obligeant a revenir au point de départ. Cet espoir qui le faisait avancer allait de déceptions en déceptions. Il n'avait personne a qui se confier étant donné que sa famille avait été décimée durant l'attaque des humains.. Seul il ne faisait qu’espérer, et tentait aussi parfois d'oublier son passé. Il leva les yeux au ciel, une fois arrivé dans une plaine inconnue, observant l'étoile solaire, et pensant, pestant et s'énervant, intérieurement, comme a son habitude.

Ces humains.. je les ferait payer leur lâcheté, un jour j'ne suis sur. Il ne veulent même pas payer leurs actes après les avoir commis. Ils les ont peut-être abattus de sang froid.... Je les haïssait; pour moi il était impossible de me lier d'amitié avec eux même si je savais qu'ils n'étaient pas tous mauvais, que certains chevaux appréciaient a être avec eux. Je n'étais pas ignorant quand même. Je marchais, arrivé sur une plaine étrange, dont aucun bruit ne s'échappait, sauf le bruit du vent. Je me demandai alors si je n'étais pas sorti des terres neutres et n'étais pas entré dans l'un de ses territoires occupés. Alors que je songeais a repartir pour éviter de me faire chasser -oui bon ça va hein - j'aperçu au loin une silhouette. C'était une compagnie inattendue si j'ose dire. Je m'approchai d'elle, histoire de discuter, ou juste de savoir ce qu'elle faisait ici, mais si elle le voulait je repartirait illico.. a moins que...

Que ma curiosité s'éveille oui.
Cette silhouette que j'ai vu était une jument, je pourrais dire qu'elle était jolie mais cela ferais un peu dragueur. Non..joli, c'est tout. Elle n'avais même pas l'air mauvaise. En m'approchant d'avantage je pus détailler sa robe. Pie noire, avec les crins blonds, disons plus foncés que les miens, plus ternes aussi - sans être négatif pour sur. Je ne savais pas ce qu'elle faisait a ce moment là, ni si elle m'avait vu, mais d'une voix sympathique je la saluai:

-Bonjour

Je n'avais pas grand chose a dire. Alors que je n'attendais que sa réaction, je voyais au loin les montagnes rougir a cause du soleil qui commençait a descendre. La nuit était encore relativement loin, mais les couleurs étaient chatoyante. bientôt les rayons m'obligèrent a détourner les yeux, et a les reposer sur l'inconnue aux yeux verts...

Il ne savait pas ce qui l'attendait en entamant cette discutions...

Le vent souffle dans les branches dont les craquements te rappelle le bruit d’os qui se brise. Tu avances, le souffle rauque. Un nuage de vapeur blanche sort de tes naseaux quand tu respires, tes yeux larmoient à cause froide qui te glace le sang. Tu sais que tu rêves et pourtant, tout à l’air si réel … Tu n’as jamais aussi bien vu le paysage que dans tes rêves. La lune luit au milieu du ciel, les arbres autour de toi ploient sous le poids du vent, et l’herbe sous tes sabots se casse à chaque pas, gelé par la brise qui te glace le sang. Tu avances inlassablement, courant le plus vite possible. Tu es épuisée, tes muscles te supplient de t’arrêter, et pourtant tu continues de galoper droit devant toi, évitant avec peine les troncs qui apparaissent dans ton champ de vision. Tu la sens, cette force qui te poursuit. Tu le sais, si elle te rattrape, elle ne te quittera plus jamais. Mais n’est-elle pas déjà en toi ? Tu trébuches sur une racine et manque de t’étaler a terre en y pensant. Tu garde l’équilibre et puises au fond de toi le peu de force qu’il te reste pour accélérer. Tu as beaucoup de défaut. Mais pas celui là. Tu es égoïste, malpolie, tu ne supportes pas les autres. Mais tu n’es pas cruel. Plusieurs fois, tu as rêvé de faire partie des cow-boys et de massacrer les troupeaux afin de régner sur le monde. Plusieurs fois, tu as pensé à assassiner tes frères et ta sœur afin de prendre la suite du troupeau. Mais tu ne l’as jamais fait parce que tu n’es pas cruel. Et c’est la cruauté qui te poursuit, se rapprochant un peu plus tandis que tu files plus vite que le vent devant toi, traversant une forêt qui n’en finit pas.

Et alors que, n’en pouvant plus, tu t’écroules au sol, tu la voie. Elle se tient devant toi, un allo de lumière blanche l’entourant. Elle hennit de toutes ses forces et tu sens la force disparaître derrière toi. Tu te sens libérée, légère. Honteuse, tu te relève et regarde la jument dans les yeux. Elle a retrouvé toute sa beauté d’antan, bien loin de la jument fatiguée que tu as connue. Tu regardes ses beaux yeux bleu et pendant un cours instant, tu te revois tel que tu étais avant, petite pouliche insouciante. Tu jouait avec ton frère, te faisais réprimander, mais recommencer aussitôt à t’amuser. Tu te souvient de toutes ces fois où ton frère et toi vous vous êtes fait punir : une fois, tu l’avais convaincu de partir sur les terres de Shiny. Vous aviez été retrouvés à la frontière et n’avaient pas eu le droit de quitter la plaine pendant toutes une lunes. Mais la réalité te revient comme un coup de tonnerre qui frappe en plein cœur. Tu n’es plus cette jument.

« Maman, je suis désolé ! hennit-tu sans pouvoir contenir tes larmes. Je n’ai jamais voulu tous ça, mais je me sens si seule depuis que … » Et comme toutes les fois où tu as rêvés d’elle, elle ne t’écoute pas et pars loin de toi. « MAMAN ! » Answer galope plus vite que le vent. Alors que tu te lances à sa poursuite, elle a disparut. Tu ne t’arrêtes pas, suivant sa douce odeur qui te manque tellement, le soir, quand il est l’heure de s’endormir.

Devant toi, tu voix une rivière qui trace l’orée des bois. Tu la franchis d’un bond et te retrouve devant la cascade. En haut, tu y vois ta mère, à coté d’un étalon que tu ne peux que connaître. « Tu n’es plus la même. » chuchote-t-il. Tu l’entends a peine et pourtant, ses paroles résonnent dans ta tête et te font l’effet de coup de sabot. « Tu n’es plus ma fille. » Answer ne dit rient, se contentant de te regardez. Elle cherche sa fille au fond de tes yeux, mais toi-même tu sais qu’elle a disparu. Tu reste pétrifié sur place quand tu vois Cody disparaître dans la brume, Answer à sa suite. « ATTENDEZ ! JE PEUX CHANGER ! » crie-tu au désespoir. Mais ils ne reviennent pas.

Tu essayes d’escalader la cascade. Tu sautes de pierre en pierre, arrive jusqu'en haut. La brume revient et tu te permet de respirer, pensant que tes parents reviennent. Mais ce n'est pas ton père. Ni ta mère; La brume qui se sépare en trois commence à prendre forme, et tu n'as pas besoin d'attendre pour savoir qui elle va représenter. Tes frères et ta sœur sont là, devant toi. Storm est au milieu, elle est la plus proche de toi. A sa droite se trouve Slow, légèrement derrière, et a sa gauche il y a Andy. Il en dans l'ombre et tu ne vois de lui que ses yeux vert qui te regarde avec dégout.

Storm fait un pas en avant, se rapprochant un peu plus de toi. Tu respire son odeur, espère qu'elle va te rassurer, mais son ton est froid et sec. « Cesse de gémir ! tu n'es plus une enfant ! » Tu recules d'un pas; Slow se rapproche et dépasse Storm; « Tu crois vraiment pouvoir t'occuper d'un troupeau ? Tu ne peux même pas t'occuper de toi même ! » Tu recules encore et tes sabot arrières glisse dans le vide. C'est ce moment que choisis Andy pour sortir de l'ombre, ses émeraude remplit de haine et de dégout. Il hoche la tête en direction de Storm et Slow. D'un commun accord, ton frère et ta sœur s'avancent vert toi et souriant. Un sourire sincère, comme celui que tu adresses à ton frère quand il te fait rire. Adressais plutôt ...

Tu moulines des pattes arrière et les priant de te laisser remonter, mais il n'arrête pas d'avancer. Tes pattes avant glisses sur les roches, tu crois avoir trouvé une prise et t'apprête à te hisser en haut, mais l’une d’elle cède sous ton poids. Tu tombes en chute libre, hurlant de peur comme de désespoir, et alors que la morsure de l’eau glacée se referme sur ton corps, tu ouvres les yeux.

La grotte est sombre, le noir est complet. Tu te lève et marche vers la sortie, ombre parmi toutes celles qui t'enveloppent. pour a première fois, la grotte te semble froide et te fait peur. Une fois dehors, tu soupir et regarde le soleil. L’astre au éclat d'or t'illumine de ses couleurs orangées et tu te détend en te laissant aller à la caresse du crépuscule sur ton âme. En fermant les yeux quelques secondes, tu prends conscience des larmes coulant sur tes joues. Tu pleures. Mais personne ne doit le savoir. Comme toujours, personne ne doit rien savoir sur toi. Pour les autres, tu n'es qu'une coquille vide dont l'âme s'est brisée à la mort de sa famille. Ta famille. Tu a encore l'impression d'entendre Andy tu charrier. "Debout, secoue toi un peu ! Le soleil va pas t'attendre ! T'as pas envie de courir et de gambader vers les terres interdites ?" Sa voix est tellement vive dans ton esprit que tu ne peut t'empêcher de regarder autour de toi. Mais il n'est pas là. Il ne sera plus jamais là.

Tu t'ébroues et pars dans un galop effréné en direction de la plaine. Black-Cherry a accepter de surveiller le troupeau en ton absence mais tu n'avais pas prévu de t'absenter tous ce temps. Tu voulais partir faire une sieste et revenir. Tu avais dormis toute la journée. Mais en arrivant dans la plaine, il n'y avait rien a signaler. Black-Cherry était avec Sésame, son compagnon, en haut de la colline, entrain de surveiller le troupeau. Il ne te virent pas quand tu passas à côté, loin d'eux, en direction de la vallée sans nom. Tu étais jalouse d'eux. Il allait avoir un poulain, ce n'était plus qu'une question de temps, tandis que toi ... Tu rêvais de cet étalon qui ne t'avais jamais adresser la paroles que pour te demander de partir. Il avait une compagne. Il avait des enfants. Et surtout, il ne ressentait rien pour toi.

A la vallée dans nom, une silhouette blanche étais là, comme si elle t'attendait. Tu relevais la tête et repassa au pas, marchant vers l'inconnue qui n'était pas de ton troupeau. Ami, ennemi, tu n'en avait fichtrement rien a faire. Tu allais lui demander de déguerpir aussi tôt que tu serais plus prêt. Mais quand il te vit à son tour et qu'il te salua gentiment, tu te dit que tu ne pouvais plus le pourchasser jusque chez lui. Car s'il était vrai que tu étais sans gêne, tu n'étais pas malpolie.

Les couleurs du crépuscules teintaient la robe blanche de l'inconnue de couleurs orangés. Il avait les crins blonds, plus foncés que les tiens. Des lignes noires parcourait son pelage, tel des peintures de guerre, et son antérieur gauche était couvert d'un draps bleu et jaune créé par les humains. Bien que ce cheval attisait vraiment ta curiosité, le troupeau passait en premier. « Puis-je savoir qui vous-êtes et ce que vous êtes venu faire ici ? »

Kurai, vas-y qu'il se fait interroger

Il regardai le soleil se coucher al'horizon. Bien qu'il fasse encore jour il faisait de plus en plus frais. Un vent doux mais froid s'était levé, faisant bouger les feuilles des forêt alentours. Lorsqu'il avait aperçu la jument il s'était empressé dé la saluer gentiment sans trop essayer de savoir qui elle était, mais de toute évidence elle devait appartenir au troupeau qui vivait ici. Ses crins blonds plutôt clairs volaient a cause de l'air et scintillait de la couleur du soleil, rouge, ou orange. Son expression parut sévère soudainement, et il se demandai alors s'il n'aurais pas du l'ignorer plutôt que de lui parler. Il attendait une réponse, certe, mais ne voulait pas de mauvaise réaction. SI c'était parce qu'il était du troupeau de Raven il comprendrait, bien qu'il pense que les terres étaient quand même a tout le monde, ce qui était loin d'être le cas... Elle s'adressa a lui d'un ton qui révélait un léger mécontentement et qui semblait dire qu'il n'était pas le bienvenu :

« Puis-je savoir qui vous-êtes et ce que vous êtes venu faire ici ? »

Elle n'avait pas l'air de vouloir que je reste. D'un coup je me dit qu'elle me disait quelque chose. mmmh.. Sa voix m'avait-elle rappelé quelque chose. Non.. je ne 'lavais jamais entendue jusqu'à maintenant vu que je ne 'lavais jamais rencontrée. Peut-être son physique qui venait de tilter dans mon esprit ? Une description peut-être. Je n'avais pas énormément envie de lui répondre mais je pensais que ne pas le faire revenait a signer le pacte de guerre contre elle et donc l'énerver encore plus. Je fis un pas sur le côté histoire que nous ne soyons plus trop face a face - son regard me pesait - et répondit clairement:

-Rien de spécial, je suis venu c'est tout. je suis allé là où mes pas on décidé de m'emmener.

C'était une réponse simple, pas la peine de polémiquer encore plus. D'ailleurs sir elle voulait me chasser de force rien ne l'en empêcher, mais fallait qu'elle soit prête a en assumer les conséquence. Raaah je n'arrivais toujours pas a me rappeler de qui elle pouvait être.. J'avais beau fouiller mes méninges je ne trouvais rien qui ai un lien. mmmh.. je ne me rappelait pas avoir croiser d'autre personnes du troupeau de storm.. heu..ancien de storm je voulais dire. oui car je crois qu'elle était... partie. Et que c'est ça soeur qui avait pris sa place et..
AAAH !
J'ai limite sursauté a cette révélation. Voila, j'en avais entendu parlé dans le troupeau de Raven. Une jument pie noir aux crins blond. Mais était-est-ce vraiment la dominante que j'avais en face de moi ? Pff..quel idiot, et moi qui pensais pouvoir faire un truc si elle me chassait.. mais attendez.. ça ne lui donnait pas tout les droits quand même. Histoire que cela n'arrive quand même pas je décidai de reprend, en douceur, en me présentant et en omettant un certains détail important...:

-Excusez moi.. Je m'appelle Kurai, et ne vous en faite pas je ne suis pas ici pour tenter quoique ce soit contre votre troupeau.

Je baissai la tête vers le bandeau que j'avais a la jambe et qui avait l'air de l’intéressait, puis continua, histoire de ne pas avoir de quiproquo ni de malentendu :

-Ah et je n'appartient pas non plus aux humains, d’ailleurs c’est facile je ne les aime pas.

Elle risquait de me prendre pour un imbécile, pourquoi je garderais ça si je ne les aimais pas. Parce que tous ne sont pas si mauvais, certains méritaient de survivre dans ma mémoire. J'attendit de savoir si elle allait vouloir me chasser ou non, tout en écoutant le bruissement des feuilles et le souffle du vent.

COMET
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You're amazing, fire blazing, no more waiting, it's your time to shine.

Il me dévisage pendant de longues secondes. Je me tends et hausse les sourcils. Il devient aveugle ou quoi ? C’est bon, il m’a vu, qu’il arrête un peu de me fixer comme ça. Je le foudroie du regard. C’était d’abord légèrement énervent, mais là, ça me mets mal à l’aise. Qu’il arrête vite de me regarder ou la seule chose qu’il va voir, c’est mon sabot dans sa figure. Demande exauces, le blanc fait un pas de côté pour ne plus que l’on soit face à face. J’hoche indiciblement la tête et l’écoute alors qu’il me répond.
« Rien de spécial, je suis venu c'est tout. Je suis allé là où mes pas ont décidé de m'emmener. »
J’hausse un sourcil.
« La prochaine fois, fait en sorte que tes pas te mènent autre part, d’accord ? »
J’allais partir, mais ce cheval était trop étrange pour que je ne fasse pas plus ample connaissance avec lui. Oui, je sais, c’est vraiment pas sympas de s’intéresser à quelqu’un pour son physique. Mais au début, une amitié, ça se base sur le physique, non ? Ou sur la stupidité. Il faut bien que quelque chose nous fasses parler aux autres. Allez parler aux autres par charité, ce n’est pas plus sympa qu’aller leur parler pour leur physique. Les gens n’ont pas besoin de la charité. Ils savent se débrouiller. Si on se sent seul et qu’on n’aime pas ça, on va parler aux autres. Et si on aime ça, et ben on reste seul. Même si personne n’aime vraiment être seul …

Enfin bref. Je vois l’étalon tressaillir. Pourquoi ? Je m’en fiche. Je jette tout de même un regard derrière moi, au cas où, mais rien.
« Excusez-moi.. Je m'appelle Kurai, et ne vous en fait pas je ne suis pas ici pour tenter quoique ce soit contre votre troupeau. »
Il baisse la tête vers le bandeau qui orne sa patte. T’inquiète, j’aime bien les hommes. Ils me fascinent. Je ne pouvais pas le lui dire en face, bien sûr. Il me prendrait pour une folle.
« Ah et je n'appartiens pas non plus aux humains, d’ailleurs c’est facile je ne les aime pas. »
J’ai bien fait de ne pas le lui dire. Je continue de le regarder. Le vent souffle et m'apporte l'odeur de Kuraï. Une odeur que je connais bien. Je me détend et m'autorise à lui sourire.
« Tu viens du troupeau de Raven, non ? »
Question rhétorique, bien sûr, étant donné que je suis sur à cent pour cent qu'il vient de ce troupeau. De son troupeau. Bon aller. Soit gentil. Fait connaissance.

« Et donc ? Pourquoi crois-tu que tes pas t'ont menés jusque ici ? »
Moi. OU comment plomber l'ambiance.

» ♣ Troupeau de Comet
» Comet - Little star.
» Tu...La grosse truite bleue sans nom...
» Sans essayer on ne peut pas savoir ...
» Comet - Son propre troupeau.