● Un moment de détente peu ordinaire ~ ( PV : Poséidon )

Invité

● Encore une journée, j'essaye de comprendre chaque seconde qui défile si bien, trop bien ... La matinée est fraîche et parsemé d'une rosée légère. Le soleil n'affichait que quelques rayons parmis les nuage de cotons. C'est une journée banale comme tant d'autres et pourtant j'ai un prèsentiment.

● Toute la matinée mon cavalier m'a encore travaillé en vitesse. Tourné en rond à une allure folle me parait idiot mais je ne saurais quoi faire sans lui. J'essaye de me rapeller, de quelque chose mais quoi ? Les autres chevaux racontent souvent leur enfance mais moi je n'en ai pas. Pourquoi, comment et quand ? Aurais-je perdu ces pensées qui seraient à présent dispercés dans le monde ? Je ne sais pas, je ne sais plus. Ces derniers temps je me pose un tas de questions et surtout aujourd'hui sa me trottine vraiment dans la tête. Voyant mon inquiétude mon cavalier me mis au près, lui seul le sait, il connais mon passé mais il ne me l'a jamais raconté. Pourquoi d'ailleurs ? Après tous ses mon cavalier il pourrait me le dire ! Ou alors il aurait trop honte de parler à sa fidèle monture ...

● Je longe le vaste près tout en pensant à toutes ces choses. Le regard vide. En fin de compte je repris conscience et me mise à galoper tranquillement, un vent farouche froissé ma crinière. Une chaleur tiède m'accompagnait en harmonie avec mon allure. Je ne sais plus se que je fait, je le fait pour m'occuper. J'ai bien envie que quelqu'un soit là pour me tenir compagnie mais j'étais seule. Depuis que je suis arrivé seul quelques chevaux on tenter de me parler mais ils abandonnèrent rapidement. Pourtant je ne suis pas méchante ! Au contraire j'aime la compagnie mais ils doivent avoir mauvais oeil sur moi pour le moment. Avec le temps sa changera j'en suis sure ... Je me stoppa net, derrière la barrière ou je suis une jolie forêt chaleureuse me narguée. On dirait qu'elle m'appelle mais je ne cède pas à la tentation, jamais je n'ai pensé à la liberté. Les arbres nus pointés leurs branches le plus proche possible du soleil, je restais là à observer l'endroit. j'attends depuis ce matin ... Mais quoi ? Ou qui ? Un espoir ? Peut être ...

Courage.
Cela faisais plusieurs minutes qu'ils me suivaient, les "Yah, yah plus vite !" n'en finissaient plus, ils me traquaient, pourchassé, je n'en pouvais plus. Ma rigueur commençait à me lâcher brutalement, le déséquilibre faillis m'emporter. C'était une grande plaine, aucun endroit pour reprendre son souffle et me reposer quelques part ou même plus simple, semer ma piste au cow-boys. Il en venait de partout, de tout les côtés, j'étais pris au piège, je ne pouvais m'échapper de cette manière. J'étais finis, j'allais perdre mais pas question de me décourager, il fallait continuer, me battre pour ma liberté, comme le légendaire Spirit. Un lasso me frôle les oreilles, virage à droite. Je frôle l'emprisonnement d'une liane à chaque instant. Encore un lasso, virage à gauche cette fois. J'évite tant que je peux ses cordes trop serrés qui vous empêche de respire plus de cinq secondes. Si vous n'avez jamais le contact d'une corde, vous êtes incapable de comprendre la sensation que cela peut faire sur votre façon de penser. Cette fois, la corde était plus grande, elle m'a eue. Sous l'effet de l'étranglement, je tombe, laissant un amas de poussière derrière moi, c'est finis.

Je résiste, je cris "Laissez moi, laissez moi !" a en perdre le souffle, d'ailleurs, je n'avais plus de souffle. A force de me débattre, je n'arrivais plus à réfléchir correctement, c'est à peine si j'avais remarqué, que j'étais entrer au fort. Une fois que le bruit sourd de la porte principale claque, c'est comme si d'un coup, vous entendiez le bruit du vent qui crie "Liberté !" était mort rien que par une porte qui se ferme. C'est cette sensation que je ressentis en l'entendant. Les hommes m'emmenèrent vers un près, je me débattais encore, je n'avais pas encore dit ma défaite, je résisterais tant qu'il faudrait à leur stupide lois d'imbécile. Une fois à l'intérieur, ils m'enlevèrent le lasso du coup et je piqua un sprint dans le près. Les barrières avaient doublé de hauteur, impossible de m'échapper, j'étais cuit. L'odeur d'une jument vint à moi mais peut n’importer de cette odeur, je devais m'enfuir et vite !

Invité

● J'étais la, paisiblement, détendu et je regarder ces couleurs danser. Ma tête se vidait petit à petit et je me sentais mieux. Mais ce moment de détente fut perturber par une odeur, une odeur familière. Je sentais un cheval mais son odeur est différente des autres, elle détient d'autres odeurs inconues. Ma curiosité étant éveillé je me retourna et scruta le près. Pendant un moment je ne vis rien puis une ombre, une silouhette sombre qui bouger dans tous les sens.

● Quelqu'un ? Je me mis à trottinais pour voir qui s'agitte. Avec le vent qui soufflait de grosse bourrasques, les nuages défilaient rapidement. Je m'arrêta et observa la personne. C'était un étalon qui détalait à une allure folle comme si il voulait s'enfuir. Il doit être nouveaux je suppose, derrière lui un nuage de poussière défilait. Il devait certainement chercher une sortie, pourtant mille et une solutions existe pour s'enfuir d'ici mais ce sont souvent des plans nocturne. Je ne veux pas lui adresser la parole , de toute façon il n'a pas l'air de ce soucier de moi ! Je pris une touffe d'herbe en bouche et la macha très lentement tous en regardant l'étalon. Liberté est un mot qui devait résonner dans sa tête. Je m'approcha encore un peu de lui, il était là à 4 mètres de moi. Je restais là et continuer à le regarder, la rage le remplissait à vu d'oeil. En réalité je ne sais pas trop peut être qu'il était là depuis longtemps sans que je le remarque et ce matin il se serait fait fâcher par son cavalier ? Je tente le tous pour le tous et lui pose la question même si il à l'air plutôt occuper :

" Dis donc que te prend t-il de courir comme sa ? Que t'est-il arriver ? "

● A mon avis il ne va pas me répondre ou alors violament. Je fit un légé sourire pour montrer ma soumission envers lui. Il n'est pas comme les autres, il a l'air plus robuste et fait pour l'endurance et la vie dure. J'en suis sure c'est un de ces sauvage qui ne veulent que la liberté ! Enfin sauvage pour lui je dois paraitre idiote à rester ici sans m'échapper ... Après tous je suis peut être l'un d'eux ? Je fis une grimace, je ne voulais plus rien savoir de mon passé qui me prend la tête.

[Je suis vraiment navrée du gros gros retard >.< Problème personnel ^^']

Fuir.
Rien ne semblait pouvoir me laisser partir, m'échapper de cette enfer. La liberté, rien au monde n'est plus beau, c'est le paradis sur terre. Pour couronner le tout sur le tout, voilà qu'une jument ramener sa fraise à mon égard. Fallait-il vraiment que ces monstres me mette avec une femelle ? M'enfin, celle-ci de sembler pas pour autant se soucier plus que ça de mon cas. Ma tête dépassé de la barrière, ma jugulaire taper la le rondin du haut pour sentir une quelconque faiblesse, la casser et partir à fond de train. Rien, tout était bien attacher solidement. Tout en soupirant, mas naseaux renâclèrent bruyamment, pas question de désespérer mais il me fallait un plan et vite.

" Dis donc que te prend t-il de courir comme sa ? Que t'est-il arriver ? "

Qu'est-ce que ça peut te foutre ?! Depuis quand les esclaves s'intéressent aux chevaux de l'extérieur ?

Mes oreilles se plaquèrent le long de mon encolure, me montrant menaçant malgré sa soumission. Cette jument, n'était pas aussi froide que les autres gugusse qui m'avais amené ici. Il n'empêche, elle faisait partis de leur clan et rien n'y ferait, cette endroit n'était pas pour moi. Je préféré mourir libre qu'emprisonner dans ce monde de brute. Je me mis au trot, fouettant ma queue dans tous les sens pour ensuite piquer un sprint en me ruant dans tous les sens. Tant mieux si tout le monde me remarquait, au moins tout ceux qui m'auront vu pourront témoigner de ma témérité.

Quand le soleil ce mit à descendre à l'horizon, mon humeur de chien était tombé avec. Couché sous un arbre, je me leva et me mis sur la piste de la jument en broutant par ci et par là. Quand je l'eus retrouvé, je vins vers elle, tête basse, me faisant beaucoup moins menaçant que la dernière fois.

Désolé pour ce matin. Dit moi, ta pas une sortie de secours dans ce foutu près ?

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