₪ Chapitre 1 : Ba on va faire une commencement pour commencer hein ! Pv : Jazz

« Jazz marchait sans but dans le désert. Ou la conduirait sa mère si elle était encore de ce monde ? Nul ne le sait. Et son père, lui aurait-il montré comment voire sans ces yeux ? Son vieux père aveugle lui aussi c'était fait emporter par le temps. Des questions que méditait Jazz de toute façon qu'est-ce que je pourrais bien Faire à part ça ? La petite jument grommela. Ces parents lui manquaient quand reviendront-ils ? Le puma les avaient-ils mange ou bien ils avaient réussie a se sauver ? De toute façon, quand je suis revenue là-bas environ une semaine après.. Apres ce drame, il ne restait plus que : il ne restait rien comme si quelqu'un avait passé un coup de balais sur le sol. Mes parents n'étaient plus là où je les avait abandonné cela est peut être mieux comme ça. J'ai envie de les revoir mais eux se sont casse. Ses oreilles se redressaient. Une odeur familière. Maman ?! L'odeur de maman ! L'euphorie monta au cerveau de Jazz qui commença a galoper le plus vite possible vers l'odeur malgré la chaleur du mois d'aout. Une chaleur étouffante et qui mettrait fin à la vie de plus d'uns.
Les rochers ! Cet endroit qui évoquait tant de souvenirs a Jazz. Mes jeux a cette endroit, mes délires avec ma mère ! Maman m'avait sauvé d'une mort certaine en ce lieu. C'était juste sur ce rocher. Oui, celui en forme de nuage ! Peut-être qu'ils sont ici, peut-être qu'ils m'attendaient depuis longtemps ! Oui je sens une odeur ! Une odeur. L'odeur cette fois était inconnue. Qui était-ce ? Un inconnu qui voudrait me faire du mal ? Le mal. Un mot que Jazz savait vaguement définir. Mais qu'est-ce réellement que le mal. Quelques choses qui nous sont faite sans notre avis ? Ou une intention qui doit nous faire du mal ? Jazz resta la sans boucher espérant que l'inconnu ne l'est pas repérer. »

« Pitie ! J’espère que l'inconnu ne m'a pas entendu qui sait, peut-être qu'il allait lui faire du mal ! Les membres de Jazz commencèrent à trembler. N'avait-elle pas assez souffert ? Elle qui s'est retrouvée orpheline dès son plus jeune âge et qui cherche encore comment survivre. Elle qui a surmonter milles épreuves pour se retrouver ici : un lieu familier. Oh non ! Des bruits de pas ! Je suis perdue... Adieu arbres et plaine, fleurs et rivières.. Elle était prête à s’effondrer en larmes. Les pas se rapprochèrent et laissèrent apparaitre une jument pie. Entièrement brune avec de larges taches noirs ébène et les crins couleur crème. Un physique plutôt agréable dirons-nous. Jazz fut tellement surprise à la vue d'une jument qui semblait bien plus qu’amical, elle qui s'attendait à rencontrer la mort. Le destin avait de nouveau tourné en sa faveur. Elle pensait trouver la mort mais a la place de cela une jument apparue. Oui, bon c'est parce que je m’attendais à trouver la mort et que c'est finalement une jument que je vais lui sauter au cou. J'avoue que je voudrais bien mais.. La tête de la jument reflétait toute ça surprise : bouche bée, yeux qui sortent de leurs orbites ... Quand a la jument, elle aussi semblait un peu surprise de rencontrer une pouliche seule et ayant l'air désespérée. Tellement qu'elle ne put s'empêcher de lui demander la raison d'une telle expression :
- Eu ... Elle toussa un peu. Pourquoi cette tête jeune fille ? N'a tu jamais vu un déchet du monde animal ?
Un déchet du monde animal ? Qu'est-ce qu'un déchet du monde animal ? Parlait-elle d'elle ? Pourquoi se qualifier d'une telle chose même sans connaitre la signification je le sais, ce n'est pas un compliment au contraire. Jazz la regardât encore une fois de long de large, de haut en bas. Pourquoi dit-elle cela, elle ressemble à n'importe quel jument. L’avait-elle dit à cause de ma tête ? J'penses. J'lui avais manqué de respect. Maman m'aurait déjà disputé. Oui, mais elle n’est pas la et pourtant je ne peux m'empêcher d'avoir peur de la punition... Excuse-toi.
- Je suis désoler, je ne voulais pas vous regarder en exprimant une telle surprise. C'est seulement que je m'attendais à trouver la mort derrière ce rocher. Excusez-moi.
Jazz avait choisi un langage calme et soutenue afin de ne pas froisser à nouveau la jument en lui manquant de respect. Certes elle aussi avait grandie et n'était plus la petite pouliche extravertie qu'elle était. Mais pourtant, elle gardait toujours ce 'pouvoir' de parler aux gens et de les captiver. On peut le dire ; elle a le contact facile. Même si ces dernier temps elle n'a parlé à personne. Pendant son errance, elle n'avait parlé a personne. Elle ne s'était pas sentit triste ou mise de cote mais plutôt oublier et s'est aussi pour cette raison qu'elle s'était excuser de façon à ce que la discussion dure. »