Me l'a t-on retirée? [Libre]

Je m'étais fait piéger. Piéger par ses humains. Je rageais intérieurement. Colère et haine sont les seuls sentiments que je ressentais au moments. Je les déteste, je les hais, je veux leurs mort!
Bientôt, nous arrivâmes devant le fort. Il était tout de bois et de métal. Au dessus de moi, des humains, encore et toujours, apparaissaient entre les piquer de bois. La porte s'ouvrir dans un grincement presque insupportable, pourtant je restai impassible, la tête droite mais intérieurement bouillonnant de colère. Les cow-boys tirèrent sur les étranges chose m'entourant la tête et l'encolure et me forcèrent à pénétrer dans leur monde sale et hideux. Au final, je les suivis sans discuter. La porte de bois se referma toujours accompagner de cet horrible grincement. Je tournais la tête dans tous les sens. Des hommes courait en tous sens. Cet endroit bouillonnait d'activités différentes. Il y avait des chevaux dans la carrière. Il était monté par deux humains qui discutait. Les deux équidés avait l'air de s'ennuyer à mourir. Ils étaient au pas en tournant en rond. D'autre chevaux encore étaient dans une sorte de long bâtiments en bois. C'est ça une écurie?
Plus loin, en face de "l'écurie", un cheval était attaché à un pieux. Il était pie et avait des crins blonds lavés. De loin, je distinguais mal sa robe, mais il me semblais que ses taches blanche avec une allure.....bizarre. Les deux hommes qui me retenais prisonnier, m’emmenèrent dans l'endroit au les deux chevaux ennuyés avait tourné en ronds. Ils avaient quittés les lieux. L'un deux deux bipèdes me lâcha et ferma la porte derrière moi. L'autre continua d'avancer vers le centre de l'espace clôturé. Au milieu, il lâcha à son tour brusquement la corde, courra vers la barrière et l'escalada avec facilité avant de retomber de l'autre côté. J'étais perplexe. Je ne bougeai point du centre. Le cheval pie était légèrement plus proche de moi maintenant et je pouvais désormais distinguer très clairement sa robe. Ses taches blanche avaient la forme d'os. L'ensemble formait un squelette d'équidé. Quel robe étrange.
Je tournai la tête vers les barrières qui m'entouraient. Des hommes si était posté et m'observaient avec des grand yeux. Certain riait. Je commençai à marcher en reniflant le sol, les oreilles en arrière. Soudain, quelque chose m'atterrit sur la croupe, pile sur une ancienne brulure. Sous la panique et la douleur aiguë, je ruai avant de partir au galop cabrant à chacune de mes rencontre avec les barrières. Pour finir je cabrais désespérément au centre de la carrière, au milieu de rires et des moqueries. J'étais désormais trempé de sueur. Mon œil fou chercher un moyen de fuir toute cette cacophonie, quand le doux tintement de ma croix parvint à mon oreille. Je me calmai petit à petit, arrêtant de levé mes antérieur et fermant les paupière.
Qui sont-ils pour me priver de ma liberté?

Rp's Psycopathe

Un son. Toujours les paupières closes, mes oreilles captèrent un hennissement. S'adressait-il à moi?
Je ré-ouvris les yeux. Le paysage était toujours le même. Des humains, des clôtures, du bois, du sables...Une prison. Les hommes observaient avec des grands yeux, comme s'ils attendaient une action de ma part. En tournant vivement sur moi-même, j'aperçus l'étalon le tête relevée et l'encolure étirée vers la barrière qui nous séparait. L'expression qui dominait la flamme de ses iris était, indéchiffrable. Pendant longtemps, je ne bougeais pas. Je l'observais, presque à oublier ce qui m'entoure. Seul le cheval comptait. Ce cheval à la robe si étrange, si lugubre, si.......squelettique.
Derrière moi, les cow-boys hurlait.Ignorance. A pas lents, je finis par bouger, m'approchant au fur à mesure de la barrière. Plus j’avançais, plus les détails m’apparaissaient. Une corde l'attaché vigoureusement à un poteau en bois. Il semblait avoir tiré sur celle-ci car, sur sa tête et sur le bois, subsistaient des marques.
Je m'arrêtais à quelques mètres, l'observant toujours.
Il avait l'air légèrement abattu.......comme si la corde qui le retenait le privé de son droit le plus précieux. La vie.
Le soleil tapait fort désormais. Pourtant de sombres nuages commençaient à recouvrir le ciel, ce qui ne présageaient rien de bon.....

Rp's Psycopathe

Les nuages était de plus en plus gros, de plus en plus noir. Le jeune équidé releva les oreilles comme fière que mon attention se porte sur lui. Il n'avait pas l'air de vouloir lancer une conversation. Ou plutôt, de vouloir la commencer. Les deux options était possible. Son regard percé le mien. Il n'a aucune crainte celui la. Il semblait confiant, sans peur. En tout cas, la flamme dans ses yeux s'était ravivé. L'envi de vivre était revenu.

"Quel es ton nom, jeune cheval à la robe squelettique?"

A se moment la, un éclair zébra le ciel en deux parti. Le "boum" éclata quelque seconde après. Je n'avait pas peur. Les orages n'avait plus d'emprise sur moi. Je ne savais pas si l'autre aller avoir peur et si les humains aller le rentrais car au bout d'un orage se trouve toujours la pluie. Non, les humains partir tous chacun de leur côté sans se préoccupé des chevaux paniqué. Les éclairs se bousculait dans le ciel, éclairer le fort donnant des allure sinistre aux être vivant. Je tentai de parler mes le brouhaha du tonnerre couvrait ma voix. Je m'approcha donc du jeune cheval.

"As-tu peur?"

Un éclair plus puissant que les autres forma un arbre dans le ciel avant de s'effacer aussi vite qu'il était apparu. Le boum retentit peu après

Spoiler: