Suite de : C'est quoi ce cheval !? [PV: Tu]

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L'hiver était encore plutôt froid et moi je gelait au fond de mon box. je pensait a tout ces chevaux qui pouvaient galoper a leur aise pour travailler et cela me rendait presque jaloux.. pourquoi étais-je a ce point jaloux des sauvages jusqu'à les détester ? Je n'en savais rien, je ne comprenait même pas non plus pourquoi je me sentais parfois proche d'eux.. Je ne disais rien pour sur, je n'allais pas parler de cela a n'importe qui.. Tandis que je tenter de me réchauffer de tout les moyens, soit en bougeant dans mon box, soit en m'allongeant par terre, je vis a travers la grille qui nous séparait, un étalon qui me regardait... Énerve je me relevai pour demander ce qu'il me voulait, mais il me répondit que je le faisais rire avec mes gesticulations, lui qui avait une couverture sur le dos. Moi c'était sur je n'allais pas avoir un tel traitement de leur part car j'écoutais de moins en moins les humains ces derniers temps. Et l'autre qui continuait de sourire bêtement. Sans attendre je passait ma tête par la grille (qui avait des barreaux plutôt écartés a cet endroit, et le mordit a l'épaule, les oreilles en arrière. L'autre se mit a ruer et a hennir ce qui prévint les humains de ce qu'il se passait. Énervés ils se dépêchèrent d'entrer dans mon box pour me mettre un licol. Je ne savais pas ce qu'ils voulaient mais je ne voulait pas aller dehors, il y faisait encore plus froid. les oreilles toujorus couchées sur la nuque, je tentais de mordre et je me cabrai chaque fois qu'ils se rapprochaient; Exténués ils s’en allèrent.. C'est alors que j'entendis quelqu'un rire et un jeune homme s'approcha de mon box. Je le reconnus. il s'appelait Luke et d'après ce que je savais il n'était pas là depuis bien longtemps mais je l'aimais relativement bien. Un licol à la main il s'approcha :

-Soit raisonnable, si tu vas au pré tu pourras te défouler si tu as froid.

il n'avait pas tord c'était certain, mais au pré il y avait déjà beaucoup de chevaux, et d'étalons surtout. Et qui me disait qu'il allait me mettre au pré et pas au poteau comme les chevaux pas sages ? Je reculai légèrement mais étrangement je n'osais pas lui faire du mal. Finalement il réussit a me mettre le licol, a vrai dire je m'était laissé faire finalement... c'était nouveau, je ne m'était jamais laissé faire ainsi avec aucun autre. Tandis que je sortais l’autre en profita pour me narguer. Ne pouvant y résister je me tournai et le mordit a la tête cette fois. Il se réfugia au fond de son box et moi, les oreilles en avant, le sourire au lèvre je hennis :

- Le moucheron en veut encore ? Après tout.. je suis bien plus fort que toi

Oui malgré mon corps plutôt fin j'étais un dur a cuire. Luke m'emmena au pré. Aussitôt lâché je voulut me défouler, aller au galop jusqu'au bout du pré, me cabrer. il n'y avait finalement pas grand monde et je me réchauffai vite. De loin je vis un autre cheval entrer dans le pré. Son cavalier avait l'air sympathique, il lui donna des carotte et le caressa avant de repartir. En chemin il croisa Luke et je les vis discuter un peu sans entendre ce qu'ils disaient. je vis les autres chevaux, tous collés les uns aux autres pour avoir plus chaud. Moi je n'en avait pas besoin, mais c'était mieux qu'ils reste tout empaqueté comme ça j'avais le pré pour moi. Tiens..l'autre cheval s'était fait repoussé... Les autres étaient simplement des imbéciles. Puis il me vit et s'approcha de moi pour me dire :

_Brrrr!Il fait vachement froid!
_Toi aussi tu t'est fait rejetté par le p'tit groupe là-bas?

Oui il fait froid et ce n'est pas une nouveauté. Au cas où il ne l'aurait pas remarqué, il faisait froid depuis plusieurs jours.. je n'aimais pas les étalons, c'était dans ma nature et je ne put me retenir d'une remarque désobligeante envers les autres et lui :

- Moi ? nooon bien sur que non..je ne me mêle pas a ce genre de paquet de chevaux dans lequel on étouffe. Toi tu préfère étouffer plutôt que galoper ? Et beh mon pauvre..

L'ombre d'un sourire était passée sur mon visage. Cela m’éclatait presque de faire cela, ou de charrier. Mais je me dis qu'il fallait que je fasse l'étalon sympa pour ne pas avoir a recommencer la même chose qu'avec l'autre :

- ce sont de simples imbécile a ne pas approcher, m'enfin s'ils t'ont rejeté c'est que t'es surement différent .Ils n'aiment pas la différence

Les autres a distances semblaient soudainement tournés vers nous, comme pour savoir si j'allais le cuisiner ce gars, comme pour se préparer a rire si jamais je me mettais a le frapper.. oui car eux connaissaient mon caractère, j'étais plutôt connu au fort. Je me demandai alors si lui aussi me connaissait.

(C'est pour déplacer le rp, Tu répondra quand elle sera validée ^^)

Je me mit a observé l'étalon sous ses angles, il était robuste, une mince couche de poils hivernale trônait sur son pelage. Et son pelage, il était très étrange, Grisâtres, avec des marques noir qui parsemaient sa robes, une mince liste blanche se dessinait délicatement sur son front. Il était grand, et semblait fort, c'était surement un étalon respecté, si bien que je fit un petit mouvement de recul. Je croisa sont regard, et détourna rapidement les yeux. Non, par soumission, mais simplement par le fait de savoir comme il était embêtant de se faire observé, quelqu'un vous observer il va inévitablement vous jugé, et c'est justement ça qui est désagréable. Un petit temps de pause se fit avant que l'imposant étalon réponde
Pas très convaincu de sa réponse, dite avec un léger ton sarcastique, je le scruta d'un œil méfiant. Tss! Si il savait que je n'avait pas toujours vécu dans cette prison, mais belle et bien dans les grandes plaines , il saurait a quelles point on galope là bas...Je ne fit aucun commentaire me contentant de le fixé, sans expression. Un léger sourire se dessina sur son visage masqué par la brume, puis il continua.
Là...Il avait effectivement touché une corde sensible.La différence. Bien que lui n'en avait pas fait allusion, il avait surement raison. Cet phrase me fit un choque, me rapellant brutalement que j’ai toujours été « le bleu », et venant d’une autres personnes, je me sentit encore plus bête. C’est a ce moment que les chevaux se retournaient vers nous, en nous regardant avec des yeux ronds, comme si s’était un exploit que j’était encore en vie. Je jetai un bref coup d’œil aux autres chevaux avant de me retourné vers l’autres cheval. Qui était donc cet étrange étalon… Je n’aimait pas vraiment ça façon de répondre et le fait que le troupeau nous regardait si bizzarement, mais après tout, je n’avait rien a perdre. Je le regardai droit dans les yeux, puis, un sourire en coin, je lançai d’un ton de défi:
A se moment je poussai énregiquement sur mes extrérieur et envoyant un giclé de terre sur le grand cheval, je me mit a gallopé en trombe de l'autres côté du près. Le vent glacial me fouettai le visage et me frigorifiait les yeux, que je fut vite obliger de fermer. Je ne savait pas vraiment pourquoi j'était parti, mais une étrange sensation d'opretion m'avait fait partrir a toutes allures. Très vite, je n'eu plus froid, la sueur commença a couler lentement sur mon dos, mes sabots martellaient brutalement le sol, un petit entrainement ne me ferait pas de mal. Je me retournai et fut surpris de voire l'étalon me suivre. L' adrénaline monta, et je redoublai de vitesse, je contrôlait a peine le mouvement rapide de mes jambes, je semblait vollé. Je prenait les tournant du près parfaitement sans dérapé sur la terre givrée.Cet étrange galopade a travers le près pourrait prendre une drôle de tournure.

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