Là ou tout à commencer,...ou je t'est rencontrer,...maintenant tu est né... [Pv Ambre Tu] [SUITE]

précédemment dans le rp:

• Mon père m'adressa un regard attendris, "Alors? C'est qui mon grand garçon?", j'étais fière, fière d'être son fils, leur fils. Je souriais, j'étais tout simplement heureux d'être avec eux, mes parents, sur cette si belle terre, près de cet étang, qui était un point clef de nos trois si belles vies faites d'amour, d'espoir et de liberté.... liberté. Nous passâmes une journée fabuleuse, emplie de gaieté et de nos jeux. J'étais entre mon père et me mère allongé sous le ciel, fière, grand, heureux de vivre, amoureux de cette vie qu'ils m'avaient offerts, nous regardions les étoiles briller, tout nos ancêtres trônaient là haut, nous protégeant et nous observaient de toute leurs grandeur. Je fermai les yeux et me mis à rêver de ma mère, mon père, et moi, galopants.

• Mais ce rêve tourna court, je senti mon père bouger à côté de moi, j'ouvris les yeux, il était debout, devant me mère et moi et nous souriait en nous disant «Allez...Je dois y allez..." Je ne voulais pas qu'il s'en aille, je me dressai sur mes quatre membres frêles et m'avança vers lui, je ne lui dit rien, mais le silence était d'or à partir du moment où les regards en disait longs sur nos sentiments. Le terre se mis trembler, des sifflements à retentir, et les cailloux à frémir sur le sol. Je senti la panique de mes parents, ma mère se leva plus vite que jamais, mon père regardait l'encolure tendue vers le haut, il s’écriât "Vite allons nous en vers les montagnes!!!!" Je les suivis tout les deux, longtemps, à perdre alène, mes membres ne s'accordaient plus, mes sabots se mélangeait, je failli tomber à maintes reprises, mon père cria "Boontie...h...h...Tu tiens...hh...h... le coup mon grand?", il avait bien du mal à parler, le souffle coupé et la voix triste je ne lui répondis pas et m’arrêtais, ma mère s’arrêta aussi, elle me convainc de continuer. Elle, n’eu pas le temps de repartir, une corde lui passa autour du cou, et la fit tomber. Je m’arrêtais au tournant, mon père fit de même, « Papa, je ne veux pas la laisser, laisse moi la retrouver… » Je pleurais, j’en tendis un hennissement de tristesse venant de ma mère, je pleurais tellement, je repensais a Black Berry, mon
Amie, et a tout ceux que j’avais rencontré dans ma vie…