How do you to believe me nice? [Pv Keis] [SUITE]

• Une vie d’amour et de trahison, de
passion, de haine, une vie de sentiment. Une vie a toute épreuve placée
sous le signe de la temptation et de l’amour. Souvent on croit que notre
vie n’a aucun sens, qu’elle ne changera jamais, mais il suffi d’un
instant, une seconde, un regard, pour tout changer, et pour se rendre
compte que tout a un sens.


• Je marchais comme à mon
habitude sans but, sans destination, avec l’impression d’être épiée, et
un ancien partenaire trop sur de lui, croyant que je serais prête à
retourner avec lui. Je me retournai gentiment, lui adressant un regard
de séductrice –comme à mon habitude-, l’égaux flatté, il se mis à
parader, c’était minable, je l’arrêta dans son élan et le fis tomber de
son nuage en lui expliquant, assez sèchement il faut bien l’avouer,
qu’il ne représentait plus rien pour moi, et que ça ne changerait pas.
Surement vexé, il disparu au loin au grand galop.

• Je
continuais mon chemin, plus gaie, heureuse d’avoir encore brisé un cœur,
mon esprit sadique est bel et bien présent. Je pris le trot, la queue
en panache, et le port de tête fière, je traversai les nouvelles terres
de Raven, jusqu’aux Îlots. Je m’engageai dans l’eau, celle-ci m’arrivait
sous le ventre, ça me ralentissait, mais je sentais au moins une chose
me résister, et contre qui je n’avais aucune puissance. Cette eau
limpide et reflétant le coucher du soleil. Elle était gelée, et le
rivage était tellement enneigé qu’elle tenait même dans l’eau. Je buvais
quelques gorgées tout en avançant.

• Je remontais sur la
berge, je tournais le dos au soleil d’hivers, un soleil froid et
éblouissant. Au loin, une silhouette grise, un étalon, il était assez
étrange dans sa façon de marcher, il m’avait surement vu, encore une
cible pour moi, s’en était laçant, je continuais vers lui tout de même.
Au loin il m’interpellait : « - Eh ! Toi là ! Qui est tu ? »
J’étais assez étonnée du ton qu’il m’adressa. Il était planté là, prêt
à déguerpi ou à me foncer dessus. Il frotta le sol, ses naseaux
faisaient de l’épaisse fumé. J’hésitais à lui répondre, puis finalement
je saisi cette opportunité : « - C’est comme ça que tu t’adresse aux juments toi, dit moi plutôt qui es-tu toi ! » J’étais assez sur de moi et arrogante dans mes paroles.

[UP]