I'm a real princess but not you ! || priver RN ||

Caprica

Le jour que je déteste arrive. Le jour du travail obligatoire ! Celui où les humains veulent entretenir notre forme et nos muscles, ou mieux nous apprendre de nouvelles choses. Je n'aime pas aller dans la carrière, c'est sales tout ce sable qui se colle a mes sabots. Martin arrivas donc devant mon box et me brossas soigneusement. Je l'aime bien mon petit Martin, toujours gentil et attentionnée. Il m’offris même une pomme après m'avoir mis min filet. Il mit tout le matériels qu'il fallait, tapis, selle, sangle ... Puis il ouvris la porte de mon box et m’entrainas jusqu’à la carrière. Je tirer doucement pour lui faire comprendre que je ne voulais pas y aller mais il le fis un sourire si merveilleux que je ne peux me retenir. Je repris donc la marche.

Arriver a la carrière il montras sur mon dos avec souplesse, tel un voltigeur. Je modisser cette endroit. Le toit en bois sentais fort et les échos étaient troublant du a la grande dimension. Le sol était recouvert de sable et des obstacles était un peu partout. Bon que va t-il me faire travailler aujourd'hui hum ? Il me demande de marcher en suivant le trajet habituel. Ce que je fis de suite, puis il me demandas de trotter et enfin de galoper. Tout cela pour étirer mes petits muscles pour ne pas avoir de claquages. Qu'il est attentionné, j'en connais des brutes qui ne commence pas par un échauffement, il y vont direct.

Nous commencions a faire des petit cercles, et d'autres petite chose pour m'échauffer. Le bruit de la porte de la carrière grinças et une monture entras avec sur son dos son cavalier. Je m'arrêtas net et la regardas. C'était une jument dont la robe était blanche avec des balzanes noir et les crins noir aussi. Je piaffe et fronças les sourcils. Martin me demande de repartir mais je n'ai pas envie. Il me donnas alors une tapes sur la croupe en allongent le bras vers l'arrière. Cela me surpris et je repris alors le trot. Il me fs sauter le premier obstacle qui se présentez sur mon chemin. Je continuas ensuite le chemin et en passent devant la jument qui se tenait a l'entré je me mis a renâcler mes naseaux devant elle en froncent les sourcils et un sourcils au lèvres. C'était bien fait exprès tient ! Puis je me mis a partir au trot sans la demande de Martin qui me remis au pas bien vite.

Caprica.

Nous repassons devant eux car Martin me fis couper la carrière pour pouvoir entendre ce que disais son camarade. Je regardas fixement la jument avec des yeux de provocatrice.

- B'jour Martin ! C'est sympas de nous laisser taffer avec toi. Salut Capri, tu veux bien nous laisser bosser ? Elle devient bien belle ta jument ! -

Martin lui répondus par un signe de la mains et d'un sourire amicale. Son cavalier est bien gentil, il me complimente, je souris quand il dit que je devenait une bien belle jument. Mais sa sous entend qu'avant j'étais moche ?! Cette jument je ne l'ai encore pas vue par ici, où est ce qu'elle loge ? j'espère qu'elle est dans le plus petit box de l'écurie. Je rie discrètement et repris mon air sérieux. Mais ce qui m'énerver c'est que cette jument ne me regarder pas une seul fois. Son cavalier la mis en marche et je la vis soupirer. Je fronças les sourcils et Martin me fis avancer aussi dans l'autre côté de la carrière. Il me fis faire du saut d'obstacle aujourd'hui, sur quoi je suis la meilleur. a chaque fois il descendait pour augmenter la hauteur et je passer aussi facilement comme si je volais.

je lanças des regards discret vers l'autre jument de l'autre côté de la carrière. Pour moi c'était pathétique ce qu'elle faisait. On disait un jambon qui se dandine. C'est pitoyable je faillis lâcher un fou rire. Je me revient et continuas de sauter comme un aigle dans une plaine. Amuser je lâchas assez fortement pour qu'elle puisse entendre.

- C'est pitoyable, on dirais un boudin qui se dandine. -

Suivis d'un petite rire. Je plissas les yeux et ne la regardas pas. Je regardas en jetant un petite coup d'oeil qu'elle porter des perles dans ses crins. Je faillis rire encore une fois de plus. Moi je n'ai pas besoin de bijoux pour me rendre encore plus belle, je le suis naturellement. Martin arrêtas de me faire sauter et me fis marcher pour me détendre, ce qui marche tout le temps. La pimbêche elle aussi a arrêter c'est gaminerie. Elle me passas devant sans dire un mot. Alors sois elle et aveugle, sois elle ne m'a pas vu .. je penche sur la perte de vue.

- Elle travaille toujours aussi bien ta jument ! -

Martin qui se trouver a côté de son camarade vient de lui parler. Il a dit que cette chose faisait du bon travaille, et comme d'habitude ?! Non mais je rêve là. Je fus prisse de dégout. Sans que Martin me demande quoi que ce soit je me mis a suivre, mais pas trop, son cavalier, donc la jument. Non je ne suis pas la jument ! Que le cavalier ! Donc je le suivis et souris, comme une personne qui a quelque chose en tête. Je parler de nouveau assez fort pour qu'elle puisse de nouveau entendre mes propos.

- Ho l'aveugle ! Je savais pas que tu danser aussi bien la danse du boudin ! -

Puis je me mis a rire toute seule. Martin me taper l'encolure pour arrêter de hennir ainsi. Je me retournas et je regardas en fronçant les sourcils mais bien sur il ne me regarder plus.