Une rencontre qui met un sourire sur une journée triste |priver Red|

Blackberry

Nuit, jour, pluie, vent, soleil, chaud, froid ... peut m’importe le temps qu'il fait je ne me soucis plus de rien. Le cœur serrer, je marche, je dort, je mange peu. Voila mes journées depuis qu'il n'est plus là. Au début j'ai cru qu'il allait revenir, mais j'ai vite compris que non, qu'il était vraiment parti et pour toujours. Pourquoi ? Je n'aurais jamais la réponse a cette question. Je pleure a chaque fois que je passe devant la vallée du paradis ou a la cascade. Mais depuis peu j'ai arrêter de verser des larmes. Je crois que je suis a sec.

Je me lève de sol humide, a cause de la roser du matin, mon poils est humide lui aussi et sale. A vrai dire je ne fait plus attention a mon physique depuis. Je marche un peu, m’étire et baille. Je vais a une marre et me regarde dans le reflet de l'eau. Je ne me reconnais même plus. Sous mes yeux j'ai de grosse cernes noire et mes yeux semble ternis. Ma crinière ébouriffer est pleine de noeux et ma robe est toute tacheter de saleté. Je fais pas belle a voir. Je bois rapidement et commence a marcher dans une direction prise au hasard.

Après quelque temps de marche tout en pensent a vie qui me reste a vivre aussi triste que je suis, j'arrive devant un arbre et faillis me le prendre de plein fouet. Au dernier moment, je relevas la tête et dévias sur le côté. La surprise pouvais se lire sur mon visage et je marmonnas des mots. " Stupide arbre ". Je regardais autour de moi, il n'y avait qu'un seul arbre et il fallait que je fonce en plein sur lui ! La pleine gagner du terrain tout autour de moi, rien d'autre que des hautes herbes. Je soupire et m'allongeas contre ce stupide arbre. Sans faire attention mais yeux se fermèrent : je m’assoupis.

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[ Red ]

C'était une autre journée qui s'ouvrait à moi. Le temps était maussade, quelque peu frais. Bref un temps qui ne laissait rien présager de bon. Peut-être allait-il pleuvoir. L'automne était bien là. Je dois dire que ces derniers jours je n'ai cessé de partir en exploration. Les plaines de Storm me lassaient, je les connaissaient assez. Les terres et une bonne partie des juments. Je n'y peux rien. Une jument en chaleur et je deviens comme... possédé. Une seule chose compte à mes yeux. Assurer la pérennité de notre espèce. Surtout avec les temps qui courent, les humains qui gagnent de plus en plus de terrain sur les terres sauvages du Cimarron.

Depuis quelques jours, Je sillonnais ces terres que l'on désignait comme les terres des solitaires, là où tous les chevaux ivres de liberté, sans l'envie de vivre dans une communauté dirigée, se retrouvaient et vivaient. Certains souhaitaient aussi rester seuls pour des raisons x ou y. Mais ce genre de détail ne m'intéressaient pas de trop. Cela ne me regardait pas. Après quelques minutes, je me retrouvais dans une vaste étendue de verdure, seul un arbre isolé se trouvait au beau milieu de nulle part. Je commençais à m'en approcher, distinguant une étendue aqueuse tout près de l'arbre.

C'est alors que je vis une masse inerte tout près de l'arbre. Au fur et à mesure que je m'en approchais, les contours se dessinaient mieux et je pus distinguer une silhouette chevaline. En m'approchant encore, la silhouette devint plus nette et je pus voir un peu plus de détails. Mais ce qui s'offrait à moi était un cheval (jument ou étalon, difficile à dire) dont la robe était ternie de saleté, les crins ébouriffés et sales. Mais lorsque je fus assez près, les contours caractéristiques de la morphologie d'une jument s'offrit à moi. Je n'eus plus de doute sur ce que j'avais devant moi.

Je m'approchais doucement et je pus (ou cru) remarquer une respiration saccadée venant de l'inconnue. Quelque chose me disait que je ferais mieux de la laisser, mais quelque chose d'autre me poussait à m'assurer que tout allait bien. Je pressais légèrement mon museau contre sa joue.

- Est-ce que tout va bien ?

Je restait tout de même un peu en retrait, dans le cas d'une réaction un peu brusque.

Blackberry

Je fessais encore et toujours le même rêve, celui où je voyais Sabaku galoper au loin. Je galope a sa rencontre, le sourire jusqu'au oreilles. Il me vois, fus pris de frayeur et s’enfuie en hennissent. Voila le rêve que je fait début si longtemps, comme si sa disparition était de ma faute. Ma respiration devient saccadé et mon visage se crispas. Je sentis alors une pression sur ma joue avec une question que je perçu de loin, très loin dans mon demi sommeil.

- Est-ce que tout va bien ? -

Je me releva d'un coup prise pas surprise. Une sueur froide me coulas le long du front. Je respirais fortement par la bouche et les yeux inquiet je regardais autour moi pour savoir qui était là. Je vis alors un cheval a la robe alezan très clair, une liste blanche sur le front et la crinière plus sombre que sa robe. J’écarquillais les yeux et mis un certains temps avant de comprendre qu'un cheval se tenait devant moi. Je devait passer pour une sauvageonne pour lui, je ne suis même plus présentable, pas digne d'une jument. Faut dire avec ce que j'ai endurer ses dernier temps plus le temps et l'envie de me rentre belle pour les autre. Je me relève alors et toussa discrètement comme pour chercher mes mots.

- Heu ... oui sa va bien ... mais qui est-tu ? -

Je ne sais même pas si sa question était de lui, si c'était vraiment réel ou dans mon rêve. Si se n'est pas lui je doit vraiment alors l'air abrutie. Je regarde vite fait mon pelage. Arg, pas beau a voir, mes poils blanc sont devenus gris sur mes postérieur et marron pour mes taches du ventre. Non je suis vraiment pas présentable, j'ai honte. Il doit me prendre pour une vieille jument crasseuse !

- Désoler mais je suis vraiment pas très présentable ... -

Je préfère le lui dire, je ne sais pas pourquoi, peut-être pour me rassurer d'une quelconque façon en entament une "discutions" si on peut appeler sa comme ça.

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[ Red ]

La réaction qu'elle eut en se réveillant fut un peu celle que je me doutais. Après un rêve qui peut être turbulent, ce faire réveiller par surprise ne laisse pas de marbre. Elle semblait regarder autour d'elle avant de bien me cerner du regard. Je pus voir dans son regard un sentiment de perdition, d'un retour dur à la réalité. Après s'être relevée, il se passa quelques secondes de blanc avant qu'elle ne s'exprime. Peut-être le temps de chercher ses mots.

- Heu ... oui sa va bien ... mais qui est-tu ? -

Elle pris un petit temps par après, regardant son pelage en général. Elle devait penser la même chose que moi sur son allure et elle me le confirma par après.

- Désoler mais je suis vraiment pas très présentable ... -

Je prenais un peu de temps de la regarder. Suivant les teintes de son pelage, j'essayais d'imaginer à quoi elle pouvait ressembler sans toutes ces salissures. Je pense qu'elle devait avoir un physique assez agréable. Mais je ne pourrai vraiment le dire qu'après un petit brin de toilette. Mais maintenant ce n'était pas la première jument que je croisais dans cet état là. Je reprenais alors sur un ton aimable.

- Disons que j'ai déjà vu pire. Mais bon ce qui est arrivé pour que vous en soyez arrivée là ne me regarde pas. Que ce soit des problèmes de cœur ou autre chose.

Ayant côtoyé beaucoup de jument, j'aimais bien quand elle étaient présentables. Les voir dans un tel état me faisait mal. Pour moi les juments ont toujours été synonyme de perfection physique (et de caractère aussi).

- Cela me fait mal au cœur de vous voir ainsi, surtout que cette saleté doit cacher un physique sublime.

Pensera-t-elle que j'essaye de la séduire ? Ce n'est pas vraiment mon but mais c'est dans ma nature d'être honnête et de dire ce que je pense. De faire plaisir à tout ceux (et pas seulement toutes celles) que je croise habituellement sur les différents chemins que je prenais dans ce vaste monde.

- A part ça je me nomme Red.

Blackberry

Je le vis prendre le temps de me regarder. Je rougis et baissa les yeux, quel honte. C'est bien la première fois que je tombe sur quelque qu'un dans cette état et cela est vraiment gênent. Il dit alors avec un ton aimable.

- Disons que j'ai déjà vu pire. Mais bon ce qui est arrivé pour que vous en soyez arrivée là ne me regarde pas. Que ce soit des problèmes de cœur ou autre chose. -

Hum ok sa veut dire que je suis presque horrible ... presque. Mais je trouve se coté chez lui "non curieux" sympathique et me rend moi même curieuse. Oui c'est gentil de sa part de ne pas vouloir savoir pourquoi, car je serais obliger de lui dire et je serais encore plus triste ou alors je devrait décliner sa question et me ferais un pincement au cœur. Il repris alors.

- Cela me fait mal au cœur de vous voir ainsi, surtout que cette saleté doit cacher un physique sublime. -

Je fais pitié ? Oui j'aurais aussi pitié si je croiserais une jument ainsi. Cela ne me surpris donc pas de sa réaction. C'est moi ou il vient de me faire un compliment ? Je rougie encore et sourie. C'est tout de même gentil de sa part de me penser jolie sous cette couche de saleté. Mais serait-il en train de me séduire ? Non avec la tête que j'ai, il peut pas.

- Oui désoler, je vais y remédier. -

Je me mis alors en direction du point d'eau qui était a quelque pas de moi. J'y plongeas mes membres et fis en sorte de les laver. Déjà on vis mon pelages de nouveau blanc sur mes postérieures. Je souris a cette vue. Alors que j’entame de nettoyer mon ventre et mon dos en m'enfoncent dans le centre de la marre qui est plutôt grande, l'étalon repris et me dit.

- A part ça je me nomme Red. -

Je m'arrête et je regarde un sourire au lèvre. Red, le rouge, c'était la couleur des indiens la plus utilisé sur les chevaux après le bleu. Mais rouge aussi comme la couleur du sang et des flammes. Cela doit être dur a porter certains jours. Mais je trouve se prénom toute fois sympathique. Red, je prononcer tout bas son prénom pour m'en rappeler. Je leva les yeux vers lui.

- Enchanté moi c'est Blackberry. -

Je continue de lui sourire pour enfin m'enfoncer dans la marre, jusqu'à avoir l'eau a la hauteur de mon dos. Elle était froide mais je n'exprimer aucun sentiment qui pourrais me trahir. Je me dépêchas puis revient vite sur la terre ferme au sec et me secoua a plusieurs reprise. Me voila enfin propre ! Je leva les yeux vers lui.

- Que fait tu donc ici ? -

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[ Red ]

Quelques secondes passèrent depuis que je lui avais dis mon nom. Avant que je ne le lui dise, je la voyais se diriger vers l'étendue aqueuse que j'avais vu quelques minutes auparavant. Tout doucement et au fur et à mesure qu'elle s’enfonçait dans l'eau, je voyais la saleté commencer à quitter sa fourrure. Après avoir dit mon nom, elle se présenta à son tour.

- Enchanté moi c'est Blackberry. -

Blackberry. Je pense que si on traduit le nom, cela donne la mûre. L'on peut considérer ce nom comme le fait que ce soit une jument épanouie, ce qui serait le cas vu son âge. Mais cela pourrait aussi la qualifier de douce et sucrée dans son caractère mais aussi sa compagnie. Enfin bon je me perd un peu là. Toujours est-il que j'essayerai de retenir ce nom.

Lorsqu'elle sortit enfin de l'eau, il n'y avait plus l'ombre d'une saleté sur son pelage. J'ai toujours bon flair et le physique que je voyais ne me détrompait pas. Elle était sublime. Mais alors que je la détaillais, je l'entendis reprendre la parole.

- Que fait tu donc ici ? -

Disons que la réponse à cette question était assez simple.

- Un peu tout et rien en même temps. Disons que j'ai répondu à l'appel de l'aventure et de l'inconnu.

Pendant un moment j'hésitais sur ce que j'allais lui demander. Même sur le fait si lui poser cette question ne la dérangerait pas. Quelque chose me disait que son état d'avant ne laissait rien présager de joyeux.

- Et vous, qu'est-ce qu'une jument avec votre physique fait toute seule dans ces terres quelque peu ... isolées ?

Je comprendrai tout à fait si elle ne voulait pas parler de ce qui l'avait amenée ici. Mais dans certains cas, il est toujours préférable de parler de choses qui nous dérangent, même si je dois avouer que tout raconter à un inconnu n'était peut-être pas une très bonne chose. Mais le choix lui appartenait et je ne la forcerait pas si elle ne le voulait pas.

Blackberry

Je regardais son visage, son expression, a l'écoute de sn changement d'émotions, et de sentiments. je me secoua un peu pour faire tomber les gouttes d'eau encore accrocher dans mon pelage et l'écoutas.

- Un peu tout et rien en même temps. Disons que j'ai répondu à l'appel de l'aventure et de l'inconnu. -

Pendant un temps il avait l'air d'hésiter. A quoi pouvait-il bien penser pour avoir cette air si penseur ? Allait-il ajouter quelque chose d'autre ? Non il ne me semble pas. Il a répondus a l'appel de l'inconnu, hum c'est donc quelqu'un qui aime encore le danger, il me r'apelle quelque peu quelqu'un pour ainsi dire. Est-il solitaire ? Sa serais bien triste, il sont gentil mais tout de même un peu dans la lune, et puis ... solitaire. j'aime la vie en communauté moi. Oui enfin pas en ce moment, j'ai plutôt le coeur dans les sabots et pas l'envie de papoter avec d'autre juments m'est venue en tête depuis. Mais il repris et me sortie alors de mes penser.

- Et vous, qu'est-ce qu'une jument avec votre physique fait toute seule dans ces terres quelque peu ... isolées ? -

Comment ça avec mon physique ? Je suis moche, c'est ce qu'il veut dire ? Non belle ? Arg cela me pertube, que pense t-il vraiment de mon physique ! J'avais l'air de comprendre qu'il voulais savoir ce que je fesais ici. Fallait-il que je lui raconte tout ? Ou que je raconte autre chose, un mensonge ? Je regardais ses yeux brun, le fixent un instant puis géner baisser les yeux vers le sol, regardent mes sabots. Je sentis le rouge me monter au joues et dit penaudement.

- Je ... j'essaye .... de passer mon deuil sur .... un bon ami disparue. -

Je lui avais dit la vériter, c'est vrai, je suis en deuil de Sabaku. Mais en n'y repensent, je n'avais pas trop penser a lui depuis que je parle a Red. Cela me changerait-il les idées de parler a des gens, être un peu plus sociable ? C'est vrai que c'est dernier temps je suis ausi sociable qu'un raton laveur. Puis une penser me vient a l'esprit : Il doit croire qu'il me gène puisque je cherche a passer mon deuil !

- Mais ne t'inquiète pas tu ne me gène pas, cela me fait du bien de voir quelqu'un ... après tant de temps a être seule. -

Je sourie timidement en le regardent. Cela le ferais se sentir mieux ? Ne pas avoir l'impression de gêner et toujours dure a supporter.

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[ Red ]

J'attendais patiemment la réponse de la jument. J'imaginais un peu ce qu'elle allait pouvoir me dire. Bien que je me doutais un petit peu sur la raison de son état précédent, je ne pouvais pas vraiment en être sur. Et puis peut-être allait-elle trouver une histoire autre que la vérité. Le temps qu'elle se décidait, je continuais à la fixer. Le regard quelque peu inquisiteur mais surtout compréhensif. Si elle ne voulait pas en parler, je ne l'obligerais pas à le faire. Mais après quelques secondes, elle reprit la parole. Non sans garder la tête baissée.

- Je ... j'essaye .... de passer mon deuil sur .... un bon ami disparue. -

Elle semblait encore réfléchir un peu.

- Mais ne t'inquiète pas tu ne me gène pas, cela me fait du bien de voir quelqu'un ... après tant de temps a être seule. -

Je comprenais un peu ce qu'elle ressentait. J'avais déjà croisé quelques juments qui étaient dans cet état de deuil. Une chose était sure, rester seul, renfermé sur soi-même n'est pas la meilleure solution que je connaisse. Ce qu'il faut surtout, c'est surmonter cette épreuve. Encore une vague de curiosité m'envahissait. Je savais que c'était rentrer dans son intimité que de lui poser cette question mais j'ai toujours envie de savoir si j'étais dans le bon ou pas. Je me disais en moi-même qu'après tout cela ne me regardait pas et puis serait-elle assez forte pour en parler ou voudrait-elle que je m'en aille.

La curiosité l'emporta.

- Disons que vu l'état dans lequel je vous ai rencontré, cela devait être plus qu'un bon ami. Mais bon je ne vous oblige pas à en parler. Et puis comme vous dites c'est toujours mieux de parler avec quelqu'un de ses soucis sinon on les garde trop longtemps et ça finit par faire des dégâts.

Suite aux discussions que j'avais eu avec des juments sur ce genre de cas, certaines m'avaient dis qu'elles étaient prête à tout pour ceux qu'elles ont aimé, même si cela signifiait mourir plutôt que de vivre seul. Une philosophie de vie que je ne comprenais pas vraiment. D'accord c'était un grand défi, mais il ne fallait pas en arriver à des décisions quelques peu exagérées voir idiotes.

Blackberry

Je vis dans ses yeux qu'il avait l'air de me comprendre. Cela me fis un soulagement, pas d'étalon bornée qui ne compraine rien a rien. Sa présence me fesait du bien car la solitaire commencer a me peser lourd sur les épaules. Je sourie quand de la curieusité se mis a briller dans ses yeux.

- Disons que vu l'état dans lequel je vous ai rencontré, cela devait être plus qu'un bon ami. Mais bon je ne vous oblige pas à en parler. Et puis comme vous dites c'est toujours mieux de parler avec quelqu'un de ses soucis sinon on les garde trop longtemps et ça finit par faire des dégâts. -

Il tire en plein dans le mille c'est vrai. Je l'avoue, il était bien plus qu'un simple ami. En repensent a nos tendres moment, si peut nombreux, me fis rougire. Son avis partager sur la question de lui dire ou pas me touchas pour tout dire. Il n'insistait pas pour que je lui raconte alors qu'on se connais a peine mais propose tout de même d'être attentif si je veux lui raconter. Je ne le connais pas, faut-il que je me confis a lui ? Mes histoires l'ennuie peut-être et il répond juste pas politesse. Je ne sais pas quoi lui dire alors. Respire !

- Oui tu a raison, ce n'était pas qu'un simple ami, c'était mon être chère, mon aimé, mon aiment, mon amoureux ... Je l'ai perdu, disparu sans laisser de trace. Pour tout dire j'ai voulus tomber du canyon et partir le rejoindre dans l'haut delà ! Mais en y réfléchissent sa serais égoiste pour moi sachant qu'il voulais que je ne fase pas de bêtise. -

Je fus une grande pause et remarquas que mon coeur battais a la chamade. Je tremblais et mes yeux ancrés dans le siens hurler en silence. Mais ceci ne fus que passagère. Quelques minutes après je n'avais plus rien. Aurais-je réussis une étape dure a passer ? Celui de ne plus avoir mal quand on parle d'une personne chère disparu ? Cela me soulageas en vrai car cette situation commencer a m'épuisser. Je repris doucement alors.

- Mais je vais t'avouer quelque chose. Je crois que j'accepte sa disparition et que je commence a revivre. -

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[ Red ]

Je détournais les yeux, regardant autour de moi. Je voulais lui laisser le temps de choisir si elle voulait partager ce genre de chose avec moi, me raconter une partie de sa vie sentimentale qui au fond ne me regardait pas. Je ne voulais pas non plus la mettre sous pression. Peut etre aurait-elle été troublée par mon regard, comme si je la forcais à me raconter. C'est alors que je l'entendais commencer son récit. Je tournais alors mon regard vers elle. Si elle racontait sa vie, au moins lui montrer que j'étais attentif à ce qu'elle disait.

- Oui tu a raison, ce n'était pas qu'un simple ami, c'était mon être chère, mon aimé, mon aiment, mon amoureux ... Je l'ai perdu, disparu sans laisser de trace. Pour tout dire j'ai voulus tomber du canyon et partir le rejoindre dans l'haut delà ! Mais en y réfléchissent sa serais égoiste pour moi sachant qu'il voulais que je ne fase pas de bêtise. -

Elle marqua une certaine pause, surement le temps de rassembler un peu ses esprits. Parler d'une telle chose n'était pas souvent très facile.

- Mais je vais t'avouer quelque chose. Je crois que j'accepte sa disparition et que je commence a revivre. -

Voila une dernière phrase qui me faisait un peu plaisir. Je n'ai jamais connu ce genre de chose donc je n'ai jamais tourné de telle page dans ma vie. En moi-même je me disais que les chevaux qui faisaient cela avaient du courage. Mais maintenant, rester prisonnier de son passé n'est pas la meilleure chose.

- Personellement je dirais que c'est une grosse erreur plutot que de l'égoïsme. Mais je ne sais pas trop. Je suis sur qu'il apprécie de savoir que vous ayiez tourné la page. Vous voir pleine de saleté devait lui faire de la peine, car même morts, ceux de notre passé continuent à veiller sur nous.

Je ne savais vraiment pas ce que j'avais à être si philosophique dans certains cas comme ceux-ci. Mais bon c'était quand même mieux que de grimper tout ce qui bougeait et ne rien faire d'autre de la journée. Je regardais à nouveau autour de moi, scrutant le paysage. Dans ces terres, il n'y avait pas grand chose à faire. Je n'avais pas non plus d'idées sur ce dont je pouvais encore parler avec blackberry. Je n'étais pas quelqu'un de très bavard. En plus elle me parlait de son passé mais je ne lui avais encore rien dis du mien. Mais était-ceune bonne chose de lui dire certaines choses génantes sur moi, comme mon attrait soudain envers les juments lors des chaleurs? Ou me contenterais-je de lui raconter mon passé le plus banal. Dur de choisir.

Blackberry

Je le vis que mes dernières paroles lui fit plaisir. Il doit aimer voir les gens bien et apaiser je suppose. Il a raison je ne devrai pas rester ainsi, emprisonner d'un passé lourd a porter, a surmonter tout les jours, et peronne d'autre avec qui le porter. Je devais tourner la page, laisser se lourd fardeau et repartir de plus belle sans jamais tout fois oublier cette étalon inoubliable a mes yeux. J'avais les yeux qui brillaient et un fin sourire car je revoyais toute la joie de Sabaku dans ma tête. Mais Red interronpie mes penser.

- Personellement je dirais que c'est une grosse erreur plutot que de l'égoïsme. Mais je ne sais pas trop. Je suis sur qu'il apprécie de savoir que vous ayiez tourné la page. Vous voir pleine de saleté devait lui faire de la peine, car même morts, ceux de notre passé continuent à veiller sur nous. -

Ses paroles me firent du bien. Savoir que Sabaku me surveille peut-être, me regarde, et me sourie peut-être. Cette être chère a mes yeux qui devait peut-être en effet chagriné de me voir pleine de saleté et si craseuse ! Je vis Red tourner la tête un peu dans toutles sens a regarder le paysage au loin. Je fis comme lui est appris avec ennuie qu'il n'y avait pas grand chose d'attractif ici. Je remarquas que Red n'était pas un grand bavard. Je me mis a jouer avec une touffe d'herbe avec mon sabots je s'achant pas trop quoi lui dire maintenant.

Je venais de m'enlever un poids sur mes épaules en lui confiants mon mal être et maintenant je me sentais plus légère. Puis me vient soudainement quelque chose en tête. Il sait plus de chose sur moi, que moi sur lui ! Je parle beaucoup de moi mais lui ne m'a presque rien dit ! Faut dire j'allais pas bien et j'avais besoin de parler mais c'est pas une raison ! Je le regardas alors et pris une profonde inspiration et me lança.

- Et sinon toi, tu est d'où ? Tu a de la famille ? -

J'avais envie d'en apprendre plus sur lui, il m'avait l'air bien sympathique.

Invité

[ Red ]

La discussion se fit soudainement plus rare pendant un instant. Il faisait tellement silencieux que l'on pouvait entendre d'une part le vent souffler dans les hautes herbes, d'autre part, le chant des quelques oiseaux qui n'avaient pas encore migré, à l'approche de l'hiver. Tournant ma tête vers la jument, je pouvais la voir s'amuser avec une touffe d'herbe. Que pouvaient se raconter deux inconnus qui se rencontraient ? Parler de tout et de rien mais parfois de leur vie privée, comme nous venions de le faire, enfin plutôt elle. Mais après quelques secondes, une voix assez distincte s'éleva de la jument.

- Et sinon toi, tu est d'où ? Tu a de la famille ? -

Peut-être une question à laquelle je ne m'attendais pas trop.

- Je viens des terres du troupeau de Storm, là où je suis né et où mes parents vivent encore. Mais je préfèrent ne pas trop rester près d'eux. Disons que j'ai un petit défaut qu'ils n'apprécieraient surement pas, défaut qui est apparu il y a quelques années.

Et voila je venais moi même d'introduire le sujet. Qu'allais-je faire à présent ? Allais-je laisser l'histoire de côté ou bien lui avouerais-je mon comportement pendant la saison des chaleurs. Si je faisais cela, comment me jugerait-elle ? S'enfuirait-elle ? Me chasserait-elle de sa vue? Je pense que j'allais tourner un peu autour du pot, retarder le moment où j'allais le lui en parler.

- Disons que mes parents étaient très stricts envers moi et mon éducation. La moindre bêtise me valait une petite remontée de bretelle de la part de mon père.

Je me souvenais de toutes les fois où il y avait eu cette remontée de bretelle. Oh rassurez-vous il n'y avait pas de coups qui tombaient, non juste le fait d'être humilié en communauté si on pouvais le dire ainsi. Mais heureusement il n'y eut jamais de complication dans mes relations avec les autres chevaux des plaines de Storm. Chaque poulain a un peu cet esprit rebelle et joueur que ses parents n’apprécient pas trop. J’espérais qu'elle serait quelque peu satisfaite avec ces détails qui étaient beaucoup moindre par rapport à sa confession.

Blackberry

- Je viens des terres du troupeau de Storm, là où je suis né et où mes parents vivent encore. Mais je préfèrent ne pas trop rester près d'eux. Disons que j'ai un petit défaut qu'ils n'apprécieraient surement pas, défaut qui est apparu il y a quelques années. -

Il vient alors du même troupeau que moi. J'eus un air supris car je ne l'avais pas vu dans le troupeau ou alors je n'avais pas fait tellement attention. Quand il dit qu'il ne préfère pas rester avec ses parents dans le troupeau, je compris pourquoi je ne le voyais jamais. Cela me fis plaisir de rencontrer quelqu'un de mon troupeau mais j'eux un peu honte de ne pas l'avoir vu et l'avoir reconnu. Mais ma honte disparu vite pour faire place a de la curieusité. Quel est donc ce petit défaut qu'il peut avoir et que sa famille ne pourait peut-être pas aimer ? Un défaut apparu il y a quelque années ... Je le regarde, il n'a aucun défaut physiquement, ou alors ses parents n'aiment pas les bai mais je ne pense pas. Peut-être son caractère mais je ne le connais pas assez pour juger ça. Je rumine mes penser en vaint. Mais Red repris la conversation, peut-être a cause du silence pour ma seule réponse.

- Disons que mes parents étaient très stricts envers moi et mon éducation. La moindre bêtise me valait une petite remontée de bretelle de la part de mon père. -

Je fis une petit mous après ce qu'il eu dis. Dans mon enfance, je n'avais aucun problème, moi qui aimer partir a la découverte de nouveau endroit sans prévenir mes parents, je me fesais disputer en revenant mais je rester avec des étoiles dans les yeux des endroits que j'avais découvert. Enfaite cela en vallais la peine de ne pas obéir. Et puis ne n'ai pas tant connu mon père que sa et cela ne m'a jamais attrister. Ma mère est vite partie. Enfaite j'ai vécu seule très tôt. Pour moi mes parents étaient juste des géniteurs. Oui honte a moi de penser cela de mes parents mais j'aimer tellement autre chose dans ma jeunesse que de simplement jouer avec les autres ou rester sagement près de ma mère. Et elle, elle me couver tellement, c'était presque énervent a la fin. Maintenant je ne la vois plus, ne sais plus rien d'elle, et j'ai honte d'avoir agis toute mon enfance ainsi avec elle. Je fus pris de tristesse. Je baissa la tête et essayas de retenir cette larme qui me brule les yeux. Pour attirer son éventuel attention sur autre chose que mes sentiments je lui dit alors.

- Tu a dus avoir une enfance pas vraiment joyeuse ... pas une vrai enfance je dirais et je suis désoler pour toi. -

J'avais pris une voix de sympathie et j'avais remonter la tête pour le regarder dans les yeux. J'avais de la pein pour lui, et de la honte pour moi.Je remarqua que je me tenais un peu loin de lui alors je fis quelque pas discret tout en me rapprochent de lui. Son défauts qu'il n'avait pas citer me trotter encore dans la tête etje voulais le connaitre alors je repris le sujet en essayer avec tact.

- Mais pourquoi t'es parents ne t'appréciraient pas ? Tu n'est pas un montre. -

Peut-être qu'ainsi il va peut-être dire ce qu'il a. Mais s'il ne veut pas le dire, je ne le forcerais pas. Je serais peut-être déçu. Je resent alors quelque chose en moi. Etrange mais non n'y pens pas.

Invité

[ Red ]

Elle baissa quelque peu la tête après avoir entendu ce que je venais de lui raconter. Son visage se teignit de tristesse. Peut-être mon histoire lui avait remémoré des souvenirs auxquels elle essayait de ne plus penser. Chacun avait sa propre histoire, son propre passé et son propre avenir. On ne pouvait plus changer son passé. Le mien était ce qu'il était. Je fus quelque peu déconcerté par ce qu'elle disait par après, après avoir repris un peu confiance, relevant la tête.

- Tu a dus avoir une enfance pas vraiment joyeuse ... pas une vrai enfance je dirais et je suis désoler pour toi. -

Je me souvenais encore de ce que me disait mon père quand je faisais mes petites bêtises. IL me disait toujours que je descendais d'une famille qui était jadis très respectée. Mais pour moi ce n'était que fariboles. Non pas que je n'y croyait pas, mais franchement, personne ne s'en souvenait aujourd'hui. Qui connaissait ces chevaux à l'heure actuelle. Même moi je n'en connaissais pas leur nom.

- Mon père me disait toujours que je devais être bien éduqué, tout comme l'était un de mes ancêtres, qui était selon mon père assez bien respecté, un dominant je crois. Mais pour moi ce n'est que stupidité.

Mais d'un autre coté, peut-être que mon défaut en découlait. C'était le rôle d'un dominant que de s'occuper de choses telles que les juments, assurer une descendance. Mais moi je le faisais souvent sans attendre l'accord de ma "partenaire". Peut-être que tout ceci n'était qu'un, comment dire ? Je ne sais pas en fait. Mais la question que la jument me posa ne fit pas de doute qu'elle avait envie d'en entendre parler. Malgré que je pensais que ce n'était pas une bonne idée.

- Mais pourquoi t'es parents ne t'apprécieraient pas ? Tu n'est pas un montre. -

Je n'était pas tout à fait sur de ce qu'elle disait. Si je regardais mes actions, peut-être étais-je une sorte de monstre, un mâle sans cœur. Mais au fond de moi, quelque chose me disait que c'était normal d'agir ainsi. Mais encore une fois j'hésitais. En général les juments auxquelles je me confiais avaient tendance à s'éclipser en douce et je ne les recroisait jamais alors que certaines venaient des terres de Storm. Peut-être m'évitaient-elles ?

- C'est un peu bête à dire ainsi parce que bon c'est dans l'ordre naturel des choses. Disons que j'ai légèrement tendance à prendre au sérieux mon rôle d'étalon quand les juments sont en chaleur. Et ce malgré moi, qu'elles soient d'accord ou pas pour se laisser faire. Autant en dehors des saisons je suis normal comme maintenant, autant lors des chaleurs je ne contrôle plus rien. Alors si mes parents le savaient,surtout mon père, je ne sais pas si il apprécierait que je fasse ça sans le consentement des juments, lui qui me parlait toujours de respect des autres.

Et voila c'était dis. Je regardais vite le paysage, brisant le contact visuel. J'étais un peu gêné d'avouer une telle chose parfois.

Blackberry

- C'est un peu bête à dire ainsi parce que bon c'est dans l'ordre naturel des choses. Disons que j'ai légèrement tendance à prendre au sérieux mon rôle d'étalon quand les juments sont en chaleur. Et ce malgré moi, qu'elles soient d'accord ou pas pour se laisser faire. Autant en dehors des saisons je suis normal comme maintenant, autant lors des chaleurs je ne contrôle plus rien. Alors si mes parents le savaient,surtout mon père, je ne sais pas si il apprécierait que je fasse ça sans le consentement des juments, lui qui me parlait toujours de respect des autres. -

Je le regardas dans les yeux mais il dévias son regards du miens qu'il dirigeas vers le paysages. Le contact visuel était rompus, comme casser un charme qui était en cours. Il était l'air un peu gêner d'avouer cela. Je ne compris pas tout de suite ce qu'il voulais dire par là. Puis au fur et a mesure que ses paroles viennent résonner dans ma tête je compris. Ma réaction fus non d'être choquer et afficher une tête de dégout. Non, je sourie discrètement.

- On peut pas plaire a tout le monde tu sais. -

Oui c'est vrai mais cela est d'autant plus gênant quand c'est nos parents. Ho et puis qui n'a pas eux des différents avec ses parents ou sa famille voir aussi ses amis ? On ne peut pas plaire a tout le monde, oui mais on peut l'être pour d'autre personne. Je fis une moue puis cherchas son regards.

- Ba au moins sa fait virile ! -

Je fis un petit rire accompagner d'un large sourire. Je voulais détendre l'atmosphère qui était devenu un peu électrique depuis son annonce. Mes joues s’empourprèrent tout de fois a mes paroles. A chaque fois que je fais ce genre de compliment mes joues s’enflamme aussitôt, c'est d'un pénible. Je commençais a avoir faim. Je regardas discrètement le sol mais autour de ce fichu arbre il n'y avait pas grand chose. Au près de la berge de la petite et mince rivière il n'y avait que de la terre humide mais pas d'herbe grâce. Je grimaça. Les feuilles de l'arbre quand a eux ne pourraient pas être comestibles car elles deviennent jaunies par l'automne. Je cacha alors ma faim.

- Sinon ta beaucoup d'amie sur ses plaines ? -

Invité

[ red ]

Autant tout ce que je venais d'avouer n'était finalement que chose naturelle, autant je me sentais honteux d'agir de la sorte avec les juments. Mais je n'y pouvais rien, j'étais tout autre quand les chaleurs étaient là, n'ayant en tête qu'une seule chose ... enfin vous voyez quoi. Je jetais un petit regard en coin à la jument, elle se tenait là. Ce que je venais de lui avouer ne lui avait fait ni chaud ni froid. Tout ce qu'elle dit par la suite fut.

- On peut pas plaire a tout le monde tu sais. -

Je ne savais pas vraiment dans quel sens elle le disait. Plaire aux juments ou plaire aux parents de par mon comportement? Mais elle ne tarda pas à rajouter quelques mots qu'elle appuyait par un petit rire.

- Ba au moins sa fait virile ! -

Ça fait plutôt sans coeur oui. Je pense que j'avais pris mon rôle de mâle un peu trop au sérieux par moment.

- Sinon ta beaucoup d'amie sur ses plaines ? -

Sur ce je la regardais. Sa question n'avait plus aucun rapport avec ce dont on parlait il y avait quelques secondes. Peut-être pour décharger un peu l'atmosphère, la détendre. Ce n'était pas vraiment une mauvais idée. Mais je ne savais pas vraiment quoi lui répondre de nouveau.

- Disons que à part celle qui ont essayé de me mettre des coups de sabots après la chose. Je me suis fait quelques amies.

Mais bon je pense que l'on avait parlé un peu trop de moi ces derniers moments.

- Que comptez-vous faire à présent ?

Blackberry

- Disons que à part celle qui ont essayé de me mettre des coups de sabots après la chose. Je me suis fait quelques amies. -

Je voulais certes engager une conversation mais aussi changer de sujet, car c'était peut-être humiliant pour lui d'avouer cela. C'est mon opinion. Alors que je pose une autre question pour changer de sujet, le voila que sa réponse ramène encore a cela. Je sourie par politesse. Une longue pause fis marquer le temps, et le silence régnas. Je regardas par terre sans trop savoir quoi lui dire maintenant. Puis il creva le silence par sa voix et une question.

- Que comptez-vous faire à présent ? -

Je ne savais pas vraiment. Je pris une grande inspiration et releva la tête. Je fis un petite rire et fis une moue par la suite. Que faire maintenant ? Il a raison. Il m'a redonner confiance en moi, j'ai maintenant envie de reprendre ma vie en pleine mains et de repartir près des miens, revoir mes amis, là bas, rire, jouer, parler, galoper avec mon troupeau ...

- Je pense que je vais retourner près des miens. Une longue marche m'attend maintenant. -

Je lui sourie chaleureusement. J'allais devoir partir mais je voulais pas le laisser en plan. Je lui retourna alors la question pour savoir ce qu'il allait faire. Ce serais quand même mal polie de ma part de le laisser comme ça, seul, alors qu'il ma rendu le sourire.

- Et toi que va tu faire ? -

J'étais prête a partir, même impatiente.

Mettre a la corbeille please (:

A mettre a la corbeille, black'bé n'est plus de ce monde (;

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