Quand les choses tourne au drame [Psycophate]

Les choses commençais vraiment à me gaver, aujourd'hui. J'en est marre qu'on me prenne pour une gamine. Merde à la fin ,j'suis pas un chien, j'suis un cheval, bon sang. Ce matin les choses tournes pas rond, je trouve. Dans la tête de Matthias, mon cavalier, bien sur. Il est de corver et, aux lieu de me mettre au pré, il me laisse au box par ce qu'il a soit disant peur qu'un "accident" des prés m'arrive. Moi, et il le sait très bien, je ne suis pas comme-ça, que je ne me laisserais pas faire avec un étalon.

Je suis donc là, à tourner en rond dans mon box. J'ai pas envie de dormir, moi. J'ai envie de bouger, de trotter, de sauter, de ruer, de faire ma folle quoi. Bon, autant essayer de me distraire. Je regarda autours de moi, mais tous les chevaux étaient sortis, sauf moi, bien évidemment. Punaise, je vais commencer grave à m'énervais, si je ne sort pas de suite. Bon, temps pis, ils ne le feront pas, la prochaine fois.

"Bang, Bang, Bang, Bang."!! J'essaya d'ouvrir ma porte à la force de mes sabots. Mouhaha, je vais y arriver, je vous le dit. "Bang, Bang, Bang, Bang."!! Oui, libre, je peut partir! Je pris le grand galop, me dirigeant vers les près, près à sauter les grande barrière de bois. Je prend mon élan, et je saute deux barrières en bois. Youpi, je suis libre. Et personne m'a vus. C'est pas grave.

Je cours, je rue, je galope dans les grandes pleines vertes, mais encore un peu enneigée. Que c'est beau tous ça. Même magnifique. Une grande forêt s'étend devans moi, mais aucun cheval à l'horizon. Tant mieux, j'ai pas envie qu'on vienne me faire chier. Je m'approche alors d'un petit point d'eau, pas encore glacé. Je baisse la tête et je bus quelques gorgées. J'entendis alors des bruits dans la neige. Je fis comme si de rien n'était. Un "Bouh" sonore retentis dans mes oreilles. Je me retourna doucement, le visage sans expression:

_...Tu sait...T'est pas invisible, surtout du noir sur du blanc, ça le fais pas...

Je m'était éloigné du troupeau. Me retrouvant dans ma solitude habituel. J'avais envie de me défouler. Galop a travers la forêt du territoire de Raven. Ma crinière vole. Rien à l'horizon. UN bruit de métal accompagne mon mouvement de crin. Ma croix. Toujours Rien à l'horizon. Accélération. La neige fond à chacun de mes pas. Je regarde a ma droite. Rien. Je regarde a ma gauche. UN étang et une jument. Une odeur. Cow-boys. Pourtant, aucun humain à l'horizon. C'est peut-être la jument. Je m'arrête et tourne dans sa direction. Une fois derrière elle.

"Bouh"

la jument se retourna. Son visage était sans expression. Je sens qu'elle allait m'agacer celle-ci. Pourquoi ai-je eu l'idée de venir la voir!

"...Tu sait...T'est pas invisible, surtout du noir sur du blanc, ça le fais pas..."

Quesque je disais! Je soupira. L'odeur d'humain me frappa de nouveau. C'était bien d'elle. Je baissa les oreilles et me mit sur mes gardes. Ce n'est parce que je ne vois pas d’humains, qu'il n'y en a pas!
Cette jument avait l'air toujours fade. Que sa aller être embêtant!

"Mon but n'était pas d'être discret, jument. Où est l'humain qui est censé t'accompagner?"

Je soupira mais resta sur mes garde. Pourquoi avais-je envie de rire? aucune idée mais autant laisser faire les sentiments .
Rictus.

"De toute manière je ne vois pas pourquoi j'ai voulu te parler. Alors salut!"

Et je me retourna pour partir. Les juments fades ne m’intéresse pas. Adieu jument. Le soleil brilla. Ma croix en métal se refléta. Je n'avais rien a faire ici. Autant regagner le troupeau. Je reprit le galop. Toujours se bruit de métal. Ce bruit qui hante ma vie. Ce bruit qui décore ma vie. Je l'adore.
Rictus.

Spoiler:

L'étalon avait la face blanche, mais rougis. Enfin bref, une liste un peu bizarre. En même temps, chez les cow', y avait pas trop de chevaux originaux. Mais lui, j'avoue, chapeau bas. Sa queue était d'une longueur à m'en couper le souffle. Si je pouvais... Je lui arracherais. Ben ouai, j'en serais capable.

L'étalon bizarre soupira. Se serai plutôt moi qui devrais soupirer devans sa stupidité... Mais bon, j'm'en passerais cette fois. Il avait l'air de ne pas trop m'appréciait. Pas grave, on est quitte alors.

Mon but n'était pas d'être discret, jument. Où est l'humain qui est censé t'accompagner?

Ha, Matthias... Y a pas d'humain, Chuis libre, vivant solitaire. Enfin, pour l'instant... Je lui dit "non", doucement. Mais je ne pense pas qu'il a entendus. Tapis pour lui.

Encore un soupir de sa part. Il était aussi désèsperer que ça de m'avoir rencontré ou se repassait-il ma phrase dans sa tête? Aucune idée.

De toute manière je ne vois pas pourquoi j'ai voulu te parler. Alors salut!

Hein ? Mais... C'est pas comme-ça qu'on traite les juments, monsieur. Me laissez pas toute seule, ayez un crin de pitier en vous, au moin. T'a pas l'air comme-ça toi, en tous cas.

L'étalon parti au grand galop. Alors là mon joli, je ne te laisserait pas me laisser seule dans cette imensse forêt. Quand il fut assez loin, je me mise à sa poursuite. Une sorte de croix pender de ses crins, fessant des bruits de métal. Je décida alors d'accélerais et de le rejoindre. Au moment ou j'allais lui parler, un rictus écarta ses lèvres. Mon dieu, il était sadique, suis là .

_Hey, t'a oublier quelque chose.

Je pris un temps de pose, nous ralentîmes alors. Je m'ébroua alors et je brisa la glace.

_Tu m'a oublier au bord du lac.

Des bruit de sabots me parvinrent. Je regardai vers la provenance du bruit. La jument m'avais suivi. Oh non! pas elle! Elle ouvrit la bouche pour parler. Le bruit de métal me couvrit la moitié de la phrase. Je ne compris que "oublier" et "chose". Pas de quoi comprendre se qu'elle me raconte. Je décéléra. Elle fit de même. Ensuite la jument continua.

"Tu m'a oublier au bord du lac."

Qu'es qu'elle me veut! Je vis ma vie. Si je veux la laissé planter où elle est, Je le fait. Si je veux rester avec elle, je reste. Mais étant donner que s'est le contraire. Je part. Elle s'ébroua. Quand elle eu le dos tourné, je lui dit en hâte.

"Peut être que la "chose" que j'ai "oublié", je l'ai oublier volontairement."

Et je repartis comme une fusée. Elle avait l'air têtu cette jument. Alors autant en profiter. On va s'amuser un peu. J'accélérai autant que possible( c'et à dire de très peu!^^") à travers les arbres de la forêt. Le "cling" de ma croix résonnait contre les tronc, signalant ma position a chacun de mes mouvements. Je ne sais pas si la jument que j'avais laissé derrière m'avait suivi. Au pire tant pis! J'arrivais devant une marre. Je ne ralentis pas. Le bord approché rapidement, et je profitai de l'élan de ma vitesse pour plonger.
PLOUF! L'eau éclaboussait dans tous les sens. J'étais trempé jusqu'à la tête.J'avais les sabots qui touché le sol vaseux. La jument m'avais telle suivis? Je regarda dans la direction d'où j'étais arrivé. Attendant de voir si la jument allait venir.
Suspense.

Spoiler:

Non mais il n'est pas possible d'être aussi couillon que cet étalon. Il venait juste de me balançait à la hatte:

Peut être que la "chose" que j'ai "oublié", je l'ai oublier volontairement.

Je renâcle méchamment quand, alors que je ne fessais pas attention, il parti au galop. Bon, autant le laisser seule. Mais, j'ai peur moi. Je ne veut pas rester seule sur ses terres hostiles. Si les chevaux sont aussi froid, comment sont les autres animaux de cette forêt ?

J'entendais s'éloignait le tintement du métal de la croix de l'étalon noir. Pff... Autant le faire regretter de m'avoir laisser seule une deuxième fois. Je me mise alors à trottait tranquillement entre les arbres, suivant un chemin différent de celui de l'étalon. Cet étalon n'avait-il pas de nom ? Je doute que non, mais il ne me l'avait pas donner.

Je souriais, la liberté me souriait. J'étais tellement heureuse. Jamais. Je ne veut plus que personne ne m'embête. Je suis trop heureuse, crins aux vents. Yeah !
ENCOURS

A supprimer merci ^^'