Depuis quand sommes nous là ? voilà des jours que je ne compte plus... ( pv yeko et bridgess)

Comment aurais-je pu imaginer ce qui allait se passer après ma capture ? Je crois qu'aucun chevaux ne peuvent le savoir, à part peu être ceux qui ont déjà sentis le mauvais goût de cette barre en fer. Je ne l'avais jamais eu en bouche, mais je savais que mon tour viendrait, après que j'avais vue passer cette centaine de chevaux qui avançaient, sans même jeter un cou d'oeil sur toi. On voyait par leur attitude mécanique et blazée qu'ils étaient ici depuis des mois, peu être même des années. Je voyais à présent le monde que ma mère avait découvert, et exactement le même chemin qu'elle avait emprunter, au moment de sa capture. Un chemin... truffé de violence et de haine. Si tu n'avançais pas, ces bipèdes de regardais, les yeux pleins de haines, un sourire mauvais, je ne voyais là, rien de joyeux, d'heureux et de beau, cet endroit était tout le contraire de ces magnifiques plaines, ces chants d'herbes et ses animaux. Ici même les arbres pleuraient. Tout n'était que de souffrance.


J'avais avancer, essayant de garder le même rythm des grands chevaux qui me tiraient. Malgré mes fines et frèles jambes. Je souffrais alors que je faisais tout pour faire disparaître la douleur. La fine corde qui me tenait n'était pas en soie. Tout ses instruments de torture... je n'y comprenais rien.

Arrivé dans cette endroit insupportable, d'étranges odeurs vinrent à mes narines : La peur; la tristesse; la chaleur du soleil, et cette puanteur atroce qui venait de ces affreux cow-boys. Ils m'avaient fait passer devant deux lieux, une sorte d'enclo bizarre, sans herbes, bourré de poussière, et enfin l'endroit où ils n’emmenèrent. Des sortes de chose gigantesques closes, où plusieurs chevaux y était enfermés. Un des cow-boys me mis dans un de ses "trucs" et m'y laissa.

Après y avoir passer plusieurs jours à l’intérieur, un hennissement qui m'était familier me reveilla.

Mon instinc ne m'avait pas trompé. Il s'agissait belle et bien de cette petite jument fougueuse à ses petits airs de "grande" et sa façon de montré qu'elle t'apprécie. Et à ma grande surprise les cow-boys la firent rentrer dans le même box que moi. En la voyant se retourner et pousser un hennissement joyeux vers les humains me surprenais encore plus. Je ne comprenais pas vraiment sa réaction, j'étais complètement abattu depuis ma remise en captivité .Elle finit par se retourner vers moi, toujours de cette air content.

" Yeko ... Yeko ... Mon petit idiot ! Que tu m'a manqué ! "

QUOI ? encore ce foutu surnom ? Je n'avais pas envie que l'on me traite d'idiot alors que j'étais presque grand, et oui, j'étais facilement sensible je l'avoue !! mais ce faire traité d'idiot a longueur de temps n'était pas très accueillant.. quoique .. on voyaos bien à ça tête que c'était un surnom amical . Je la regardais à mon tour. Des étoiles dans les yeux, puis d'un sourire mélancolique je lui répondit :

- toi aussi Bridgess.

Confiant, je collai mon encolure contre la sienne, d'un geste amical, compatissant à ce malheur de rester enfermer dans cette cage. Après avoir relevé la tête et la passer par dessus la porte de box, regardant d'un coup d'oeil rapide toutes ces choses étranges. Je chuchotais.

- Es-tu déjà venue ici ?

- Toi aussi Bridgess. Il se colla à moi , je fermai les yeux et aspirai de toute mes forces l'air emplis de l'odeur de mon Meilleur ami . Il m'avait redonné le sourire et ne pouvait que me mettre en confiance . Je voulai qu'il reste qu'il reste comme sa encore un moment mais celui ci s'éloigna vers la porte . Il observa tout autour de lui . -Es-tu déjà venue ici ? Pourquoi parlait' il si bas ? En susurrant comme si on le pourchassait , le traquait , l'observait . - Je suis née ici . Ma mère a été saillie de force . Mon père se trouve sûrement ici ... Je m'approchai de lui et posai mon museau sur son encolure . Je respirai son odeur qui me réchauffait de l'intérieur . Yeko , j'espère que tu me fais autant confiance que moi je te fais confiance . Si c'est la cas écoute moi bien , je ne veux pas qu'il t'arrive quoique se soit . Obéis leur , écoute les , fais ce qu'il veule de toi et surtout ne bronche pas . Ma mère a souffert quand on était ici pour me protéger et j'espère que sa ne t'arrivera pas ... Je me collai à la porte de l'immense box et henissai pour apeller un cow-boys . Un deux arriva avec deux licols en main .

Désolé j'ai oublier de changer de compte //PAN//

Elle me révélait-là un passé douloureux. J'avais peur de ce qui allais m'arriver. Je ne voulais pas être victime de tout ces atrocitées, être un esclaves et de servirs ces monstres, c'était dépasser toute mon imagination. Moi qui pensait vivre heureux.. Au près d'une famille, le passé des hommes loin derrière moi. En plus, peut être que je l'avais trouver, la mère de mes .... urgh! mais qu'es que je m'imaginais là ?

Après s'être avancer vers la porte, Bridgess hennit, ce qui me laissais penser qu'elle appelait les monstres. Ils s'avancèrent avec des cordes, les mêmes qui nous avaient emmenées jusqu’ici. Je parlais toujours à voix basse, un soupçons de crainte dans la voix.

- J'ai.. j'ai peur. Je veux pas y aller... je veux pas. que vont-il nous faire ?

Les cow-boys s'approchèrent et ouvrir la porte, avant de la claquer violament derrière eux. Mon instinc m'ordonnais de reculer et de baisser les oreilles, de gronder et de me battre, mais mon coeur saignait au plus profond et je me laissai faire. L'un d'eux m'enfilai l'instrument sur la tête, tirant d'un petit coup, ma tête avança en même temps, me forçant à avancer. Avant de passer devant Bridgess, je l'apellai.

- Que vas-t-il nous arrivé ?? où nous emmènes-t-ils ?