Une maman, c'est celle qui gronde mais qui pardonne tout. [Pv => April.]

Invité

Une maman, c'est celle qui gronde mais qui pardonne tout.

Le jour se levait doucement sur le désert. Oui, oui, le désert. Cette nuit-là nous avions dormies dans le désert. Enfin si l’on peut appeler ça désert. Pour moi, ça l’était. Certains diront que je n’aie jamais vue de désert et que c’était pour cette raison que j’appelais cet endroit désert. Surement avaient-ils raison. Après tout je n’étais qu’une petite pouliche qui n’avait encore rien vue du monde qui l’entoure. Une seule chose que je peux vous affirmer : quand je serais grande et belle, je partirais à la découverte du monde. Ceci un rêve. Un rêve que tous les enfants font. Un rêve qui disparait lorsqu’on atteint l’âge adulte et que l’on prend conscience des véritables dangers. Mais lorsqu’on est poulain, tout est réalisable. Toutes nos folies pourront dans nos têtes être réalisées. Et c’était ça le monde de l’enfance. Jamais je ne voulue en sortir. Je voulais rester, auprès de ma mère et de mon père. Je voulais m’en aller mais pas sans eux. Mais au fond de moi je le savais. Je savais qu’un jour, je devrais les quittés. Tout cela était loin, loin, très loin du moment présent. Ainsi, je vivais au jour le jour en ne regardant que le positif.

Le silence. Il ni avait pas un bruit a part mon souffle et celui de ma mère. Les autres juments de notre petite bande était allées dans une autre direction. Nous nous étions disputées la veille et cela nous avait conduites à nous séparer. Ma mère et moi avions marché toute la soirée avant de trouver cette petite grotte. Nous nous étions couchées et avons aussitôt dormies. [Désoler de faire jouer ton personnage mais je n’avais pas d’idée… Si ça te dérange je peux faire un autre rp’.] J’avais encore les paupières trop lourdes pour les ouvrir. J’avais donc les yeux fermés. Je pensais à hier soir. Pourquoi, Fleur qui devait être mon ami m’a traité comme une inconnue, une personne pour qui elle éprouve de la haine. Pourquoi ?

Un courant d’air était entré dans la cavité. Il était glacé et m’avait fait frissonner. Sur le coup, j’avais pensé que quelqu’un était entré dans notre ‘maison’. J’avais ouvert mes yeux qui furent éblouit par les rayons du soleil. J’étais déçu, il ni avait personne et en gros j’avais ouvert mes yeux pour que dalle. Je me les étais cramé pour rien. C’était des jours comme ça ou je préférais dormir pour qu’il ne m’arrive rien. Mais bon. Aujourd’hui, il allait faire beau et ce n’était pas arriver depuis plusieurs semaines et je m’étais bien résolue à en profiter. Ainsi, je m’étais lever en laissant derrière moi ma mère qui… Elle faisait quoi déjà ? Je n’avais pas envie de revenir sur mes pas pour voir si elle dormait encore. J’étais donc partie.

Le rocher là-bas avait l’air d’un nuage. Je l’avais escaladé. Je laissais maintenant libre cours a mon imagination. Voici le résultat : moi, je suis la dominante du troupeau des chevaux qui vivent dans… les nuages. Mes loyaux sujets, eux, n’était qu’une illusion. Je courrais et sautais dans tous les sens. Je m’amusais comme jamais je ne l’avait fait. J’avais fait le plus haut que je pus faire et tombas du rocher sur un petit morceau plat de falaise ou était perché mon rocher. En dessous de moi : le vide et haut dessus une montée abrupte. En plus de cela, je m’étais fait mal à mon antérieur droit. La panique ne se fut pas attendre. La peur me fit tourner la tête. Mais ce qui avait vraiment dominé c’était : l’instinct. Mon instinct qui m’avait fait hurler.

« MAMAN ! A L’AIDE ! »

*Saletées, vieilles mégères...*

Voilà qui résumait bien les pensées de l'isabelle.

*Comme ça, on pense qu'on est en trop ? Très bien !!*

Duxième pensée significative. La troisième restera dans la tête d'April. La belle en avait marre. On aimait pas sa fille ? Soit. On ne voulait pas de sa présence Soit. On était jalouse qu'elle attire l'oeuil de l'étalon gris ? Soit. Qu'on mente à l'amie de sa fille pour qu'elle ne lui parle plus, c'en était trop. Lorsque la petite Fleur, une jeune pouliche, avait ignoré Jazz, April avait demandé de quoi il retournait à sa mère. La réponse l'avait tellement énervée qu'elle était restée bouche bée une fraction de seconde. "Pouliche de Cow-boy. Je ne veux pas que la mienne la fréquente". Sans même attendre, April lui avait démontré par a+b qu'elle était bien sauvage, à grand renfort de coup de pieds et de coups de dents. La jument était partie et April avait préféré quitter le petit groupe pour la soirée. En frois et en conflit avec les autres, elle avait entraîné sa fille à sa suite, Blind étant partit on ne sait où.

Elles avaient trouvé une petite grotte, s'y était installées et lorsque Jazz s'était couchée, elle s'était immédiatement endormie, laissant sa mère seule face à ses pensées. Lorsqu'elle s'était endormie, des larmes rageuses lui coulait le long des joues. N'avait-elle déjà pas asser prouvée qu'elle était une vraie jument sauvage ? N'était-elle pas partie par deux fois de chez les hommes ? N'avait-elle pas fait tout les efforts du monde pour la naissance de sa pouliche ? Jazz était née comme une doit naître une vraie pouliche du Cimmaron. C'était pour April, la preuve que sa fille n'était e rien une domestique. Mais les anciennes rancoeurs ne partent pas et plutôt que de s'attarder à conserver le contact avec une jument idiote, April préférait consacrer son temps avec sa fille, pour qu'elle soit la plus heureuse du monde.

Au petit matin, April ouvrit un oueil et mis un coup de tête... dans le vide. Jazz ? Ou était passée sa fille ?

" Jazz ? JAZZ ???"

April appelait. Où était encore partie la pouliche, un tantinet téméraire ? La jument se redressa à toute allure et san prendre le temps de se réveiller et partit à vive allure à la recherche de sa petite. Elle se maudirait si il devait lui arriver quelque chose. Et elle maudirait, voir plus, celui qui lui aurait fait quelque chose. Enfin, elle la vit, sur un gros rocher. Sa fille révait. Comme d'habitude. Elle inventait, racontait quelques histoires à sa mère, gardait les autres pour elle, et sa mère était tout à fait ravie de goûter un seul instant de ses rêves de pouliche. [à mon tour de te jouer x)].

Mais lorsqu'April vit sa fille dégringoler de son rocher et l'entendit appeler à l'aide, elle bondit en avant. Elle vit Jazz, sur un tout petit bout de falaise. April se ressaisit. Si il y avait bien une chose qu'elle avait appris depuis toute petite, c'était de en pas paniquer. Elle avait survécus aux pumas, à l'incendie et aux homes grâce à son calme. Elle sauverait Jazz de cet endroit avec ça. En deux temps trois mouvements, elle fu au dessus de la corniche et d'une vois autoritaire intima à sa fille d'attraper ses crins de toutes ses forces.

Lorsqu'enfin, elle est sureté, tu lui parles:

" Jazz !! Tu m'as fait une peru bleue !!"

Tu la fixe un moment, en colère. Cette colère, elle viet du fait qu'elle est ton unique fille et que tu y tiens comme à ta vie. Enfin, tu lui fait un grand sourire et lui souffle dans les naseaux.

" Ne recommence plus, promis ? Aller, viens, je ne t'en veux pas. Tu ne t'ai pas fait mal ?"

Tu la ramène vers toi tout doucement, et joue avec ses petits crins, tes yeux dans les siens, un petit sourire aux lèvres.

La peur. Ouais, la peur. Mais pas celle que l’on a avant d’aller confesser une bêtise ou un mensonge. La vrai peur. Celle qui vous glace le sang ; celle qui vous fait perdre tous vos moyens et celle qui vous fais défilé votre vie d’vant vos yeux. C’était celle-ci qui envahissait Jazz. La vrai peur de mourir.

Elle était perchée sur une petite corniche et appelait à l’aide. Elle criait le nom de sa mère aussi fort qu’elle le pouvait jusqu’à ce qu’elle entendue les bruits des sabots qui claquait le sol avec une force incroyable. Malgré cela, les secondes semblait durer une éternité. La pouliche avait fermé les yeux pour ne pas voir le vide. Un courant d’air tiède effleura sa robe doré : c’était le souffle de sa mère. A la vue de sa mère, Jazz savait que tout allait bien ce passé et se fut comme si on lui avait enlevée cette peur pour la remplacé par de l’amour. Elle allait encore vivre longtemps.

Des mots, des phrases qui lui étaient destiné. Elles lui disaient comment réagir : cramponne-toi aussi fort que tu le peut à ma crinière et ne lâche sous aucun prétexte. La pouliche avait saisi les crins noirs de sa mère. Elle ne les lâcheras pas. Sa mere, elle avait tiré de toutes ces force pour la sortir de se merdier. Sa mère lui avait dit :

« Jazz !! Tu m'as fait une peur bleu !! »
Entre elle et moi, j’dois l’admettre. Je pense qu’elle a eu plus peur mais elle s’est gérée d’une main de maitre. Moi, j’avais juste paniquée. J’avais que fais des bêtises entre partir sans la prévenir ou encore jouer sur ce rocher. Je m’attendais à ce qu’elle m’engeule comme elle ne l’aurait jamais fait jusqu’à présent mais… non. Elle m’avait juste dit sa d’une voix si douce :

« Ne recommence plus, promis ? Aller, viens, je ne t'en veux pas. Tu ne t'ai pas fait mal ?" »
C’était ma mère pour le meilleur et pour le pire et jamais quoique je fasse, elle ne m’en voudrait très longtemps : je le savais. Quand moi, je veux plus jamais lui faire peur, ni la décevoir. Un jour je serais comme elle. Bon, bon j’arrête mon discourt. Elle m’a demandé si je m’étais fait mal. J’avoue je me suis cogner assez violemment mon genoux droit. Mais je ressens moi la douleur. Avant que je ne puisse donner ma réponse. J’étais contre son encolure. Je m’étais encore plus collé à elle. Elle jouait maintenant avec mes petits crins noir : c’était si calme, si chaleureux et moi j’étais si fatiguée.

La petite jument, se couchât aux pieds de sa mère, lui lançât un regard qui semblait dire ‘Tout vas bien’ et s’endormie.

» Le ciel nous tombe sur la tête mais on n'a encore des crumbles alors tout va bien ! ||Non libre||
» "Maman.." Pv.
» Il cherche celle qui alimentera ses rêves .. ♥
» Seras-tu celle que je ne chercherais pas à fuir?
» Maman, je veux être comme toi ! ( pv Tristess )