C'est peut-être la dernière... [ ♠ Pillut ]

♠ Le soleil venait à peine de se lever sur le Cimarron. Les oiseaux étaient toujours dans leurs nids, avec leurs petits. Les pumas et autres félidés ne chassaient pas encore, dormant sur une branche de leur arbre. Les chevaux sauvages broutent tranquillement, profitant du calme du matin. Et les autres... Ceux qui font partit de ceux des chevaux domestiques Ils travaillent, ne pouvant que répondre au appel des mustangs. C'est dommage, car plus jamais ils ne connaîtront la sensation d'être libre, de pouvoir galoper, ruer, sauter, hennir comme ils le veulent. Enfin, cela n'est que le point de vue de la vieille jument dorée. Hé bien oui, à savoir que tout à une fin... Même les meilleures choses. C'est vraiment dommage.

♠ Du haut d'une colline, elle regarde ses poulains, ses amours, ses bébés, jouaient au chat et à la souris. Du haut de son grand âge et de la sagesse qu'elle a, maintenant, elle se sent joyeuse. Elle n'aurait pas espérait mieux comme vie. Une vie remplis de joie, d'amour, de tristesse, d'amitier... Mais aussi une vie pleine de rencontres. Jamais elle n’oubliait les personnes qu'elle a rencontrées. Surtout une. Une qu'elle apprécie particulièrement, qu'elle a rencontrée qu'une fois, mais qu'elle aime beaucoup. Une jument de caractère à la fois douce et autoritaire : Sweetness.
Elles avaient parlaient de la liberté, elles avaient pleurés... Bref, un de ses moments à chérir.

♠ Elle n'avait pas perdue de vu ses deux poulains, mais bizarrement, quelques choses avait changer. Elle cherchait quoi, mais elle ne trouva pas tout de suite. Depuis quelques temps, son odorat et son ouïe fait défaillance. La vielleuse... Elle baisse les oreilles et les remet droites avant de les faire tourner. Droite, gauche. Toujours rien. Droite, gauche, en bas. Une odeur. Elle relève les oreilles, droites comme des pics. Elle lève le museau, inspire longuement, et, d'un coup, relâche tout dans un hennissement sonore, prévenant ainsi ses deux poulains qu'elle revient. Mais alors qu'elle recule, elle heurte une masse. Elle se retourne, apeurée et tombe sur un étalon plus grand qu'elle, de toute évidence. Elle s'excuse et recule pour ce détachait de l'étalon.

• La brise soufflait dans mes crins, l'herbe verte et drue du printemps allait et venait à son rythme. Moi je broutais là, depuis le levé du soleil, profitant de ma liberté, la vrai, pas celle que je m'étais octroyé tout seul pour suivre Monday, mais celle que Margaux m'a donné... Elle a vraiment été parfaite avec moi, jamais elle ne m'a frappé quand je l'ai désarçonné, elle m'a toujours soigné avec amour et elle m'a fait la le plus beau cadeau qui existe : La LIBERTE ! Elle aura été la seule famille que j'ai connu... Pourtant j'aurai aimé rencontré un frère, une soeur, un père, une mère... Oh j'ai fais d'autres rencontres, certaines sont inoubliables, d'autres plus banales... La nostalgie commençait à me gagner depuis que j’éraie seul en attendant Monday...

• Je décidais de mettre fin à cette nostalgie et traversais la prairie, car un petit trot est une cure contre nos démons. Je me promenais ainsi sur les terres du cimaron, je reconnus certains paysages qui m'étaient familiers. Je m'arrêtais au niveau de la colline sans nom, essoufflé, j'ai pris un sacré coup de vieux ! Mes membres flanches par moment, mon dos me fait souffrir quelques fois et je me laisse surprendre par les oiseaux qui décollent... C'est frustrant, mais c'est la vie... Je m'allongeais un peu pour me reposer et m'assoupis...

• Lorsque je me réveillais, le soleil était presque à son zenith. Un hennissement apeuré me tira rapidement de ma rêverie. Je me levais rapidement. J'allais me mettre en marche, mais quelque chose me heurta. Je me retournais un peu agacé et hennis de douleur. Je suis plus tout jeune ! Une jument s'excusa et s'écarta rapidement. Je me tournais vers elle. Et la un choc, je revis Ambre, sa robe feu, son air joueur. Je revins à la réalité, elle se tenait là, devant moi.
  -Ambre ? C'est toi ?

Spoiler:

♠ Elle s'était complètement confondue en excuse devant cette étalon pie. Elle avait eu un peu mal à la croupe en le heurtant de la sorte, mais cela de fessait rien. Enfin... D'après le hennissement qu'il avait pousser, il avait plutôt eu mal. Elle avait maintenant les joues couleurs pivoines, les oreilles tournant dans tout les sens, montrant son embarras. Elle n'avait pas bien aperçus l'étalon, mais elle savait qu'il était pie. Elle soupira lentement après avoir fini ses excuses. Elle se tourna vers lui pour l'observait, le dévisageait comme elle le fessait si bien avec les personnes qu'elle ne connaissait pas, mais elle ne pus que pousser un petit cri d'effrois et reculait de quelques pas. L'étalon la dévisagea, surpris lui aussi:

-Ambre ? C'est toi ? Soufflât-il.

♠ Que devait-elle faire, que devait-elle faire ? Elle commençait à paniquer, ne sachant quoi faire pour lui montrer qu'elle le reconnaissait. Mais son cerveau eu raison d'elle et elle sourit à l'étalon. A l'étalon qu'elle connaissait depuis son passage chez les humains. Il l'avait aidé à partir, à rejoindre sa liberté, et elle l'en remerciée. La joie la prit d'un coup, et elle courut vers lui, s'arrêtant pile devant lui. Elle lui lécha lui bout du nez en souriant, lui disant ainsi bonjour. Qu'est-ce qu'elle était heureuse. Elle soupira de contentement. Elle poussa un hennissement de joie. Mais d'abord, elle inspira longuement, elle bloqua sa respiration et d'un coup, se cabra, lançant un hennissement déchirant l'air calme. Elle balança la tête de droite à gauche, invitant Pillut.

- Pillut ! Vien, rejoins-moi ! je suis tellement contente !

Elle se reposa part terre. Elle lui sourit de nouveau. Le vent lui soufflait au visage. Quel joie de le revoir. Même la vielleuse ne lui ferait pas perdre sa joie de vivre.

Spoiler:

• Elle ne parut pas me reconnaître tout de suite, elle me dévisagea des yeux aux sabots et ne put retenir un cri d'effroi, puis elle parut prise de panique puis me fit un grand sourire. Je souris à mon tour, heureux de retrouver quelqu'un qu'il connaissait. Ambre fonça droit sur moi, je crus qu'elle allait me percuté et je m'apprêtais à supporter le choc, mais elle pila au juste devant mon nez. Je ne pus retenir un soupir de soulagement et je ris. Elle me lécha le nez tout doucement, je lui fis la pareil pour la salué à mon tour. Elle hennit et se cabra m'invitant à la rejoindre.
  - Pillut ! Vien, rejoins-moi ! je suis tellement contente !
  Trop heureux, je sautais sur mes postérieurs et lançais un hennissement de bonheur, faisant volé mes crins et imitant sa danse de bienvenue.

• Au bout de quelques minutes, je redescendis sur mes quatre pieds car mes boulets commençaient à me faire mal.
  -Je suis heureux de te revoir ! Tu n'as pas changé ! Alors tu deviens quoi ? Tu es de quel troupeau déjà ? Je ne m'en souviens plus... C'est ça d'être vieux !
  Je riais au éclats. En réalité j'étais plus qu'heureux de la revoir, ça fait du bien de savoir qu'il n'y a pas que des étrangers autour de soi et que l'on peut compter sur ses amis ! Je lui souris et venais gratter son encolure puis lui léchais les oreilles.

♠ La joie était là. Ils dansaient. Leurs crins volaient, les sabots se touchaient, se frôlaient, leurs lèvres étaient écartées à leur maximum, leurs rires volaient pour rejoindre le vent. C'était du bonheur. Du pur et simple bonheur. Jamais elle n'aurait penser le revoir, surtout qu'elle le penser emprissoner... Mais il était là, malgré tout. Une penser pour •Tu, qu'elle n'avait pas revue depuis la naissance de Calypso. Mais alors qu'elle était perdue dans ses pensées, dansant encore, elle vit Pillut "abbondonner" la danse qu'elle lui offrait. Décidément, ils avaient vraiment vieillis...

♠ Il rigolait, mais Ambre n'était pas aveugle, il avait mal. Mal au boulet. Elle lui sourit tendrement. Son ami "d'enfance", si elle pouvait le dire. En faite, leurs amitier c'était un peu comme deux collégiens qui c'étaient perdues de vue et que, plusieurs années après avoir fondées leurs familles et tout, se revois. Oui, c'était exactement ça ! Même Ambre n'avait pas encore rencontrée son zou, à l'époque. D'ailleurs, pensa-t-elle, elle aurait pu en tomber amoureuse. Son coeur s'emballa à cette pensée... Vous imaginez •Tu sans ambre et vices-veca ? Pas elle. Son sourire s’effaça quelques secondes, mais Lut était là, et il la fit revenir sur terre :

-Je suis heureux de te revoir ! Tu n'as pas changé ! Alors tu deviens quoi ? Tu es de quel troupeau déjà ? Je ne m'en souviens plus... C'est ça d'être vieux !

♠ Elle secoua lentement la tête, son toupet volant devant ses yeux rieurs. Combien de temps n'avait-elle pas autant rigoler ? Surtout que Pillut était le rigolo de première, à ne pas oublier. Elle soupira et le regarda dans les yeux. Ses jolies yeux bleus, ne put-elle s'empêchait de penser. Dans sa tête, tout s'arrêta. Parce que maintenant, il a de jolies yeux ? Avant, elle n'avait même pas songeait à ce qu'il est de jolie yeux, mais aujourd'hui, ça la frappe. Elle s'arrête de sourire et répond séchemment à 'Lut. Le pauvre, il ne va pas comprendre...

- J'suis solitaire. J'ai deux poulains, Boontie et Calypso, et un amour.

♠ Elle se retourne, soupir, appelle ses enfants, leurs dit qu'elle doit partir quelques instant mais qu'ils doivent rester là. Elle lèche tendrement le museau de Caly' pour la rassurer et parle d'une voix autoritaire à Boon' pour lui dire de faire attention. Ils repartent alors à l'aventure, galopant côte à côte. Ne sont-ils pas mignon ? Elle trouve, elle. Elle se tourne de nouveau vers Pillut et le regarde. Elle lui fait un signe de tête, comme quoi il doit la suivre. Elle part devant, elle prend le trot. Elle n'est pas si vieille, elle arrive quand même à courir... Quand il arrive, elle soupir et lance doucement la conversation, d'une voix plus douce que tout à l'heure :

- Et toi, sinon, comment vas-tu ? Des enfants, un amour ? Les deux poulains sont les miens, et ceux de •Tu, aussi. Je ne sais pas si tu le connais, mais il est cow-boys.

♠ Elle tourne la tête vers lui et lui offre un doux sourire. Un sourire tendre. Son trot se fait plus allonger, et elle observe le paysage tranquille du matin. L'air est encore un peu froid, mais ce n'est pas grave : Elle est habituer, depuis le temps.

J't'ais tuer, là ! x) Le Rp est énorme !

• Ambre semblait ravie, elle secoua la tête, dégageant ainsi son regard si particulier avec son oeil bleu et l'autre marron, regard que je n'ai jamais oublié... J'étais également ravie de la voir, toujours aussi belle, tant de temps passé et les souvenirs étaient toujours la, les sentiments aussi... Désormais il avait Monday et Ambre devait surement être amoureuse elle aussi...
  Ambre me regarde, son sourire s'éfface.
  -J'suis solitaire. J'ai deux poulains, Boontie et Calypso, et un amour.

• Elle m'a répondu sèchement... Mon coeur se pince, je ne sais pas pourquoi mais j'ai du mal à avaler la pilule... Peut-être qu'au fond de moi même j’espérais qu'elle soit seule...
  Elle se tourne rapidement, je regarde dans la même direction qu'elle et j'aperçois 2 silhouette, un petite et une autre plus grande. Ses enfants... Je devrais être heureux, mais je n'y arrive pas... Je me ressaisis et cache mon mal-être. Ses enfants viennent, elle leur demande d'être sache car elle s'absente. Je l'admire, elle doit être une maman exemplaire... Ils sont mignon, la pouliche a la moitié bleu, elle à l'air adorable... Le plus grand a la robe d'Ambre et le ventre noir... Vraiment ils sont mignons. Ambre se retourne et commence à s'éloigner, je la suis.

• Nous galopons côte à côte, parfois nous nous frôlons... Je n'arrive pas à m'enlever l'image d'Ambre avec un autre étalon... Cette image me brise le coeur, alors que je suis moi même amoureux, que j'ai quelque part ici un fils ou une fille... Et pourtant j'envie l'étalon qui partage la vie d'Ambre... Je suis perdu...

• Nous ralentissons un peu, Ambre se met à trottiner, je l'imite. Elle se tourne vers moi et me sourit, je n'arrive pas à l'imiter. D'une voix douce elle me dit:
  - Et toi, sinon, comment vas-tu ? Des enfants, un amour ? Les deux poulains sont les miens, et ceux de •Tu, aussi. Je ne sais pas si tu le connais, mais il est cow-boys.
  Tu... J'en ai déjà entendu parler au fort, si je me rappelle bien il est bleu et noir, ce qui colle avec les marques des enfants d'Ambre...Je l'envie ce Tu... Non pas que je n'aime pas Monday, mais Ambre est... Différente d'elle, je ne sais pas vraiment en quoi... Mais elle l'est.
  -Bah écoute moi ça va... Tes enfants sont vraiment mignons, ils te ressemblent beaucoup je trouve... Et Oui, j'ai eu un poulain ou une pouliche, une saillie forcé chez les cow-boys... D'ailleurs tu connais peut-être cette jument, elle s'appelle Ganache, mais lui je ne le connais pas, je le cherche... Et avec ma compagne, Monday, on attend les prochaines chaleurs pour essayer de fonder notre famille, si je vais jusque la... Mais elle est parti pour le moment...

• Ambre se tourne vers moi et me sourit, vraiment j'avais oublié qu'elle était aussi jolie et aussi charmeuse. Mais qu'est-ce que je dis bon sang ! Elle l'a toujours été, seulement à l'époque... Je n'y avais pas prêté attention... Pauvre abruti va ! Perdu dans mes pensées, je me suis laissé distancé, je galope pour me mettre à sa hauteur et lui attrape la crinière pour rigoler.
  -Pourquoi t'attends pas le petit vieux avec qui tu traîne en ce moment ? Je ris, j'essayais de détendre un peu l'atmosphère mais je ne faisais qu'empiré les choses... Doucement je la pousse sur le côté et viens me mettre devant elle, l'obligeant à s'arrêter, je roue l'encolure et viens lui toucher les naseaux pour l'embêter, comme un étalon fait pour séduire une jument. Sauf que la, c'est pour jouer, enfin j'espère... Car en ce moment même à l'intérieur de moi-même c'est la panique totale! Je suis jaloux de Tu je ne sais même pas pourquoi, la je suis limite en train de draguer Ambre... Mais non ! Tu joue avec elle, c'est différent ! Mais ou est la limite entre jeu et séduction ?

Spoiler:

♠ Elle trotte, Pillut la suivant. Ses longs crins volaient, donnant ainsi à Ambre l'air joyeuse, alors qu'au fond, elle était mal à l'aise. Très mal à l'aise. C'est vrai... Elle n'aurait jamais penser pouvoir avoir se genre de "sentiment" pour Pillut. Quand même pas ! C'était son ami, son meilleur ami. Elle ne pouvait pas l'aimer, ça lui était complètement impossible. Son cerveau lui criait qu'elle avait déjà •Tu, mais son coeur penser d'une autre façon. Une façon qu'elle n'aimait pas, absolument pas. Elle essaye de sourire, mais elle ne peut pas, son malaise prend le dessus sur toute la joie qu'elle a ressentit en voyant 'Lut. Elle trotte encore, mais la voix de son ami la sort de ses pensées.

♠ Lui aussi avait l'air perdu et mal à l'aise. Mais elle ne dit rien, mieux valait rien dire dans ses condition... Elle attend qu'il reprenne son souffle pour l'entendre dire cette chose, une chose qui lui fait battre son coeur plus vite. Pourquoi ? Elle n'en sait rien.

-Bah écoute moi ça va... Tes enfants sont vraiment mignons, ils te ressemblent beaucoup je trouve... Et Oui, j'ai eu un poulain ou une pouliche, une saillie forcé chez les cow-boys... : La gorge de la jument se noue, ça lui rappelle •Tu, D'ailleurs tu connais peut-être cette jument, elle s'appelle Ganache, mais lui je ne le connais pas, je le cherche... Et avec ma compagne, Monday, on attend les prochaines chaleurs pour essayer de fonder notre famille, si je vais jusque la... Mais elle est parti pour le moment...

♠ Le récit de son ami lui sert le coeur. Le pauvre, endurait la méchanceté de ses cow-boys, s'en était presque trop pour Ambre. Déjà qu'ils avaient tuer sa mère, et prit son amour, alors prendre son ami aussi : C'était non ! Non, non, non et non ! Ses yeux devinrent noirs de rage, son souffle s’accéléra. Ganache ? Non, pas connaitre, se dit-elle. Comment •Tu pouvait-il supporter de vivre là-bas dans ses conditions ? Et Pillut ? Non, décidément, jamais elle ne pourrait accepter que les êtres les plus chers sois tous retenue, priver de liberté.

♠ Mais encore une fois, son ami la sortie de ses pensées. Il lui parla d'une voix douce, à laquelle elle ne prêta pas grande attention. Ce n'était qu'un ami ! Elle ralentit l'allure, remarquant que Pillut manquer à l'appel. Il lui sourit et dit :

-Pourquoi t'attends pas le petit vieux avec qui tu traîne en ce moment ?

♠ Il lui arrache un bout crinière pour l'arrêter. Mécontente, elle baisse les oreilles. Peut-être n'a-t-il pas fait expré mais tout de même, un peu de respect pour les dames. Elle soupire profondément, le regardant dans les yeux. Encore et toujours ses yeux bleus... Il rigolait, mais pas elle, un peu énervait. Elle inspira lentement. Il essayer de faire quoi, là ? Hein ? De la séduire ? Elle se sens légerment pousser sur le côté, puis, il se met face elle et roue l'encolure. Elle lui sourit, son coeur bat plus vite. Et alors qu'elle est déjà rouge pivoine et bien mal à l'aise, il vien effleurer ses naseau du bout des siens. Elle recule brusquement, baissant les oreilles, le regard noir. Ses joues sont rouges de gêne. Elle hennit méchamment recule encore :

- Mais tu es devenus malade, ma parole ? 'Lut, qu'est-ce que te prend ? Sa voix est menaçante, elle est prête à lui faire regretter son geste. Elle a crachait sa en plein dans sa figure, mais elle ne regrette. Elle sait bien que ses "sentiments" sont réciproque...

• Ambre rougit, sourit, puis s'énerve soudainement et recule elle me toise d'un air méchant. Je comprends alors que j'ai dépasser les limites... Que mon sentiment bizard est en fait de l'amour et que ce sentiment n'est pas réciproque, qu'Ambre aime Tu et que je viens de l'offenser... Elle me lance un hennissement de rage et de surprise et recule encore...
  - Mais tu es devenus malade, ma parole ? 'Lut, qu'est-ce que te prend ?
  Elle me jette ça à la figure, telle une flèche en plein coeur. Blessé, déçu, j'ouvre la bouche pour répondre, mais je la referme aussitôt. Je baisse la tête, honteux. Mais honteux de quoi ?

• Je laisse un silence s'installer entre nous, la tête baissé en signe de soumission.
  -Oui je suis malade et ce qui me prends c'est que je viens de découvrir que tu m'attirais... Je sais c'est débile... On se connaît depuis longtemps, on ne s'est pas vus depuis longtemps... Mais il y a quelque chose n toi qui m'attire... Désoler de t'offenser, je devais te le dire...
  Mais qu'est-ce que je venais de dire ?! Quelle connerie j'avais dis ?! L'âge ne m'arrange vraiment pas, voilà que j'agis avant de réfléchir ! Et le pire dans tout ça, c'est que je viens d'ouvrir ma coquille à Ambre... Qu'elle va vouloir s'éloigner de moi le plus loin possible tellement je vais la dégoûter...

• J'hésite à fuir comme un voleur et disparaître de sa vie. Mais ça je ne le peux pas, je ne le veux pas.
  -Désoler pour mon comportement... Je ne veux pas qu'on s'éloigne pour autant d'accord ? Promis plus d'écart je me tiendrais à carreaux !
  J'ai relevé la tête et lui ai dis ces paroles les yeux dans les yeux, jusque la je n'avais été incapable... Je ne veux pas lui mentir et si je l'ai dis je le ferrais!

♠ Elle n'était, mais alors vraiment, vraiment, vraiment pas contente. Sa gêne et sa colère était montée d'un cran. Mais se sentiment aussi était plus fort. Son coeur battait à rompre son poitrail. Elle pensait même que Pillut pouvait l'entendre. En parlant de l'étalon, elle le fixait, le regard noir de gêne et le silence pesait. Mais en peu de temps, il le brisa, reculant de la jument dorée. Il baissa aussi la tête, prouvant sa soumission. Ouf... Il arrêtait de jouer. Tant mieux, Ambre ne tiendrait plus longtemps, s'il continuait :

-Oui je suis malade et ce qui me prends c'est que je viens de découvrir que tu m'attirais... Je sais c'est débile... On se connaît depuis longtemps, on ne s'est pas vus depuis longtemps... Mais il y a quelque chose n toi qui m'attire... Désoler de t'offenser, je devais te le dire...

Ambre ouvrit la bouche, choquait. Elle allait balancer un truc du genre méchant, pas polie, menaçant, mais elle se résigna. Elle aussi éprouvait ça, depuis qu'elle l'avait revue. Mince alors, dans quel pétrin c'étaient-ils mit, tout les deux ? En plus, ils avaient tout les deux des enfants, des amours, des amies, une vie, quoi ! Le silence est pesant, elle éttoufe, mais elle ne le brisera pas. Elle ne sait pas quoi dire... C'est vrai, après tout. Que dire à se genre de déclaration ? Surtout quand c'était réciproque...

L'étalon ouvrit la bouche et lança doucement :

-Désoler pour mon comportement... Je ne veux pas qu'on s'éloigne pour autant d'accord ? Promis plus d'écart je me tiendrais à carreaux !

C'est alors à partir de se moment qu'elle réagit, qu'elle sort de ses pensées, qu'elle sort de sa torpeur. Ses membres se tendent sous elle, sa respiration ralentit, son coeur bat plus normalement, à présent. Elle s'approche de lui, le regard vide. Et puis, s'en prévenir, lui touche ses naseaux des siens. Ses yeux vairons dans les siens. Elle ne lui sourit pas, ses yeux parlent pour elle. Mais elle préfère le lui dire, quand même :

-"Moi, tu ne m'attires pas, je t'aime, ce n'est absolument pas la même chose. Au début, je ne savais pas ce qu'était se sentiment pour toi, et puis je suis partis, sans te revoir, et j'ai rencontrée •Tu..." Elle fait une pause, les larmes lui montent aux yeux. La vie est cruelle ; "Je l'aime. Je l'aime plus que ma propre vie..."

• J'ose un regard vers elle, elle est tendu, crispé et bouillonne vus la tête qu'elle fait. Je ne comprends pas trop pourquoi...
  Je ferme les yeux. Sans prévenir, elle me touche les naseaux. Je lève les yeux vers les siens, elle me fixe, ses yeux m'inspirent d'abord la colère qui est en elle, puis, laissent place à un tout autre sentiment... La tendresse je pense... A moins que ce soit l'amour, mais ceci est peu probable...
  -"Moi, tu ne m'attires pas, je t'aime, ce n'est absolument pas la même chose. Au début, je ne savais pas ce qu'était se sentiment pour toi, et puis je suis partis, sans te revoir, et j'ai rencontrée •Tu..." Elle fait une pause, les larmes lui montent aux yeux. Je ne comprends pas tout le sens de ses môts...
  -"Je l'aime. Je l'aime plus que ma propre vie..."

• Je la regarde, indécis. J'ai peine à comprendre ce qu'elle à voulu me dire... Car d'un côté, elle dit qu'elle m'aime, mais qu'elle aime également Tu... Père de ses enfants.
  Et la, je comprends réellement... Je reste les yeux fixés sur son regards et me jette à l'eau une deuxième fois.
  -Tu n'as pas du comprendre ce que j'ai dis "tu m'attire" parce que je t'aime... Je sais Je sais nous avons nos vies, on aurait put tomber amoureux l'un de l'autre avant. Mais avant, nous nous sommes rencontrés en coup de vent, tu voulais partir, alors je t'ai aidé... Ambre, j'ai raté l'occasion de me rendre compte que tu étais extraordinaire, que j'avais des sentiments pour toi... Et même si j'aime Monday, je t'aime toi aussi...
  Mon coeur battait la chamade jusqu'à ce moment. J'attendais qu'elle réagisse... Mon coeur était comme en suspension, mon coeur battait plus lentement, chaque battement est plus fort que le précédent, la poitrine me brûle à chacun de ces instants...

• Avant de la laissé me chasser comme un mal propre et renchérit.
  -Je crois que toi comme moi, nous avons passer notre vie à nous préoccupé du bien-être des autres avant le notre, ne serait-il pas temps de penser à nous ?

Elle voit bien qu'il réfléchit, qu'il est perdue, mais elle ne eut pas expliquer son sentiment autrement. Il a plus simple, comme simplement lui dire "je t'aime", mais elle n'en était pas capable. Elle avait peur de se sentiments renouvelait. C'est vrai... Elle ne se voyait pas avec Pillut, mais elle n'aurait jamais penser être avec •Tu, aussi. Elle hésitait. Devait-elle partir vivre sa vie avec un ami d'enfance et laisser ses petits sans parents, ou le suivre dans une dernière aventure super excitante ? Pendant toute ses années, elle n'a pas penser à elle, juste au autres...

-Tu n'as pas du comprendre ce que j'ai dis "tu m'attire" parce que je t'aime... Je sais Je sais nous avons nos vies, on aurait put tomber amoureux l'un de l'autre avant. Mais avant, nous nous sommes rencontrés en coup de vent, tu voulais partir, alors je t'ai aidé... Ambre, j'ai raté l'occasion de me rendre compte que tu étais extraordinaire, que j'avais des sentiments pour toi... Et même si j'aime Monday, je t'aime toi aussi...

Révélation brutal pour Ambre. Même trop brutal. Elle tic, elle met son cerveau en pause et ne bouge plus, son coeur ralentissant le rythme, son souffle se faisant soupir. Elle a les oreilles droites, mais elle ne l'écoute plus. Il l'aime, et elle aussi. Son toupet vole au dessus de sa visage. Son expression est illisible. Quand, alors qu'elle ne sortait pas de sa torpeur, la voix de Pillut retentit de nouveau, mais elle c'était perdue dans ses pensées. Se labyrinthe ambulant. Elle ne s'y retrouvait pas, elle avait besoin d'aide. Elle restait figée là, ne sachant quoi faire.

Et puis, d'un coup, elle revint à la réalité. Elle regarda Pillut, s'approcha de lui, et colla son flanc au sien, son museau dans la crinières de son nouvel amant. De son nouveau lover. Elle resta ainsi quelque instant et prononça :

- Partant en aventure.

• L'expression d'Ambre se crispa, un tic déforma sa bouche. Je me préparais au choc, fermant les yeux bien fort et les rouvrant après pour m'assurer que je ne rêvais pas. Puis elle cacha son expression de son toupet. Je n'osais pas respirer, regardant le sol pendant cette attente interminable. Puis, elle réagit. Elle vint se coller contre moi. Elle fourra son nez dans ma crinière. Indécis je ne pipais pas un mot.
  -Partons à l'aventure !

• Je la regardais, ne comprenant strictement rien à ce qu'elle voulait dire par ces quelques mots. Je restais donc la, la bouche ouverte, cherchant dans mon cerveau le bouton "marche". Une chose me sortis comme ça naturellement.
  -Et les enfants ?
  Sur ce coup la, j'ai été nul mais j'étais bloqué !! D'un seul coup comme ça Ambre est passé du coq à l'âne !! Je ne sais plus ou me mettre et je lui souris bêtement. l'aventure ? Avec Ambre ? Oui !!

• Je réalise enfin que l'avenir nous sourit que elle et moi ça peut encore faire un 'ptit bout de chemin et que l'âge n'arrête rien ! Nous pourrions confier les enfants à quelqu'un autre que leur père, et partir à la conquête des terres du Cimmaron! Je me tourna vers Ambre et venais caresser ses naseaux du bout de mon nez. Puis je commençais à lui grattouiller l'encolure.

Elle est tellement gênée... Mais c'est elle qui lui a donner son accord. Alors, elle ne dira rien, elle le regardera, souriant timidement à ses avances. Elle le connait, elle sait bien que ce n'est pas le genre d'étalon à forcer les belles juments. Elle sait bien que c'est le genre d'étalon galant. Et, alors qu'il lui sourit timidement, il s'adresse lentement à elle, et elle tique de nouveau.

_Et les enfants ?

Elle ne comprend pas. Il veut des enfants ? Elle n'est pas contre, de plus, elle a ses chaleurs, se qui la rend un peut plus vulnérable. Il frotte son museau et sien et elle se colle contre son encolure. Il lui gratte l'encolure, elle lui sourit gentillement et hoche la tête. Puis, elle souffle dans ses crins immaculés et lentement, elle articule :

_Si telle est ton désir, j'accepte.

Puis, elle se tourne, dos à lui, la croupe devant son nez, et elle attend, les yeux fermés. Elle pense à •Tu, et espère qu'il ne lui en voudra pas. C'était plus fort qu'elle, cette fois.