3, 2, 1, et t'es sous son charme [With Caprica]

Le soleil se lève, tu te le prends en pleine poire mais tu aimes sa. Toi, le bel étalon gris tu te lèves, faits bouger tes muscles et tu regardes dehors. Il y a déjà des chevaux debout. Tu les regardes, tu les méprises, tu les trouves futile et innocent. Ton ventre gargouille, affamé, tu tapes à ta porte et hennis. Ton cavalier arrive avec un gros sceau et ton habituelle selle et harnachement. Il te dépose ton casse-croûte et commence à te penser. Tu frétilles dès que cette brosse frôle ton corps. Mais tu t'en fiches complètement, tu as ton avoine et ton foin et tu sais que tu vas être encore plus beau après.

Enfin, voilà le grand roux te sort et commence à te chauffer. Il te fait marcher mais toi tu ne peux t'empêcher de rouler des épaules. Il te mets au galop et toi, ben tu fais ton malin. Il y a de quoi. Tu es le plus beau après tout. Il termine de t'entraîner. Tu es en sueur, c'est pas très élégant cela. Il te douche, sa te fait du bien et tu te reposes un peu.

Il te met au pré, et là tu ne peux t'empêcher de te rouler dans l'herbe grasse. Tu as bien de la chance, il n'y a pas de terre sur le sol ni sur toi. Tu te relèves et t'ébroues. Personne à l'horizon mis à part une jument blanche. Tu fais ton malin, tu frimes en faisant un petit galop élégant. Tu la séduis mais tu as l'impression qu'elle ne réagit pas. Elle te vexe à ce moment là et tu décides de réagir. Tu n'aimes pas qu'on te résiste.

- Hey bien la demoiselle est coriace !

La duchesse Caprica en personne.

Très tôt ce matin j'étais réveiller. Je ne sais pas pourquoi mais le sommeil m'avais quitter de son plein gré. Alors je fis comprendre que je voulais sortir de mon box de nuit. Oui je reste dans mon box que la nuit sinon sa donne ce qui va suivre. Je me levas et sortie la tête de mon box. Je me mis a hennir plutôt fort, sans m'arrêter. Je sais c'est sadique pour ceux qui dorment encore mais je veux sortir, alors je vais sortir ! Toujours personne ? On veut pas me sortir ? Mais moi je veux ! Je me mis a taper avec mon genoux contre la porte de mon box. Sa résonner et produit un bruit d'enfer. Sa tuer les oreille oui ! J'entendis enfin des bruits de claquement presser contre le carrelage de l'écurie. Enfin on vient me chercher. C'est Martin mon nouveau cavalier. Il s'empresse de venir près de mon box et de me chuchoter des mots doux pour m’apaiser. Il me dit que je suis la plus belle des juments et moi je devient un vrai cœur d’artichaut devant sa belle gueule. Dommage qu'il soit humains, il a du charme. Il pris une longe et un licol et entras dans mon box pour me le mettre. Il m'attache un instant pour me faire une petite toilette. Un coup de brosse, on démêle ma magnifique crinière et on cure mes petit sabots vernis. Il me flatte l'encolure et il dépose un bisous sur la joue pendant que je ne bouge pas.

Il me détachas et m’emmenas dehors dans les près du fort. Si grand et si tranquille pour moi. Il ne tenais pas la longe, il la faite passer par dessus mon encolure et elle tenait toute seule. Moi, fidèle jument, je suivis Martin tranquillement. Il se sert de la longe seulement quand il y a d'autre soldat sinon il se fait réprimander. Il enlevas mon licol arriver dans le pré. Puis partie en sourient malgré la fatigue. je le sais bien, il repart dormir dans son lit tranquillement, au lieu de cela il pourrait le regarder faire la folle dans le pré mais non. Alors je ne fait pas la folle. Je fait très attention de ne pas me salir, c'est dégoutant de se frotter a une barrière mousseuse ou encore se rouler dans l'herbe. Mon pelage blanc se salie en moins de deux, trace marron, verte, ou crème, sa se vois de loin.

Je me mis a faire un petit galop et allas manger quelque brins de l'herbe. Mais ils ne m’intéressaient pas. Je m'approchas alors de la barrière et observas l’étendue sauvage, a ma gauche c'est la végétation où l'ont se promène, a ma droite c'est le désert. Je me mis a réfléchir a ce que cela devait être une vie sauvage, ho et puis je l'ai déjà vécu et c'est franchement horrible. Mais j'entendis la porte qui s’ouvrit a nouveau. Tien on m'est quelqu'un dans mon pré ?! De la compagnie ! Je ne me retournas pas et écoutas. Son souffle fort et son pas puissant me prouve que c'est un étalon. Je me retournas voulant savoir a quoi il ressemblait. Gris était la couleur dominante sur sa robe. Avec du noir et du blanc un peu partout sur de multiples taches. Je le vois bien, il fait son malin a faire son petit galop élégant. Tout les étalons le font en me voyant, sa devient banale. Je secouas avec élégance ma crinière longue et soyeuse. Je le regardas d'un air hautain et dévias mon regard de lui. Le coup du galop en friment sa va une fois, mais au bout d'un si grand nombre de fois sa marche plus. Désoler mon gros si sa tombe sur toi mais non.

- Hey bien la demoiselle est coriace ! -

Je me retournas et le dévisageas, toujours avec mon air hautain. Il n'est pas du même monde que moi celui-ci alors pourquoi il ose me parler ainsi !? Je me rebiffe. Je fronças les sourcils un instant puis rendis mon visage charmeuse. Je restas près de ma barrière et ne bougeas pas et lui lanças des regards envoutants.

- Mais que fait un si bel étalon ici ? -

Je fis une voix de velours qui s'accompagner si bien avec mes yeux de charmeuse. J'ai envie de jouer ce matin, le soleil vient poser ses rayons lumineux sur ma robe ainsi que sur tout les prés. Je souris, sourire énigmatique.

Que la partie commence !

♦ Elle te dévisage avec un air hautain des premiers du genre. Première de la classe des petites princesses nunuches de service. Des vraies pestes mais, mais tu aimes sa. Oui, sa te donnes encore plus envie d'aller plus loin et tu n'as qu'une envie: lui faire la cour puis l'envoyer balader juste pour ravir tes envies. Mais soudain, elle change complètement de ton. Son regard devient charmeur et sensuel. Tiens, une joueuse, tu vas t'amuser mon coco.

- Mais que fait un si bel étalon ici ? -

♦ Mais voilà qu'elle te flatte ma parole ! Tu vas vraiment bien t'amuser aujourd'hui Babylon. Elle sourit à la suite de cette voix divine. Alors que le soleil commence à taper, tu t'approches d'elle. Tu fais de nouveau ton malin en trottant, les jambes montant presque jusqu'à ton poitrail. Et là, tu te mets à analyser la clôture et tu te dis que tu pourrais presque sauter par dessus sans problème. Ils ne sont pas malin de mettre un étalon comme toi, qui saute facile les 1 m 95, dans un pré avec un clôture qui ne t'arrive à peine au cou. ¨

♦ Donc, tu as finis ton analyse et tu te reconcentres sur la magnifique rousse qui est devant toi. Tu plisses les yeux pour faire style qu'il y avait quelque chose derrière elle. Tout ce que tu attends c'est qu'elle tourne la tête et toi comme sa tu pourras lui faire en hurlant un 'BOUH". Mais finalement, tu choisis de faire cela bien après. Faire connaissance pour la connaître et la séduire.

- On est mal parti ma chère demoiselle. Recommençons tout, tu veux. Moi c'est le beau, grand, fier et magnifique Babylon pour te servir.

♦ Et bien, tu as mis le paquet mon beau. Mais vu comment est cette demoiselle, tu vas pas la séduire en deux regards, un toucher, quelque belles paroles et voilà, non là tu as du boulot. Tu fais ton plus beau regard, à la fois sensuel et charmeur mais réconfortant. Et tu poses ton museau sur le sien, en attente d'une réponse. Tu es juste fatigué, mais oui c'est tout, c'est pour sa que tu t'appuies sur elle. Tes yeux couleurs glace la fixent sans relâche et tu attends , tu attends.

Caprica, de Monaco !

Je le vois plisser des yeux, on dirais qu'il a du mal a voir. Encore un bigleux ?! Sont tous comme sa ma paroles. Je roulas des yeux et soupiras tout en jetant ma mèches sur le côté. Je pense a ma sœur, où est-elle en ce moment ? Que fait elle ? Elle va bien ? Oui je m'inquiète d'elle alors que j'ai un badboys en face de moi et je pourrais faire ce que je veux mais non, je pense a ma sœur qui me manque tant. Puis celui-ci pris la paroles. Je tournas alors la tête vers lui, le regards de velours.

- On est mal parti ma chère demoiselle. Recommençons tout, tu veux. Moi c'est le beau, grand, fier et magnifique Babylon pour te servir. -

Ce n'est pas un vantard lui dit donc ! Je le regarder comme si il n'était qu'un étalon banale qu'on trouve a chaque coin de rue. Rien que pour il se sente comme un moins que rien, montrent qu'il n'est pas le plus beau, fier et magnifique qu'il pense être. Non l'étalon le plus beau, grand, fier, et magnifique je ne dit pas, car il ne le pense pas. Il le pense donc, il ne l'est pas. Simple a comprendre, question de logique vous avez suivis ?

Le voila qu'il me soir un regard qu'il pense pouvoir me séduire, cela ne fis que tourner la tête ailleurs comme si je m’ennuyer. Puis je le regardas de nouveau. Il posas alors son museau sur le mien. Je fus surprise et ne pouvant supporter se contact je le repoussas les sourcils froncer. Je pris une voix hautain et je lui parle comme si il était qu'un valet, un sauvageon, tout en ayant une une mine dégouter.

- Tu te tient devant la princesse Caprica, le joyaux de la France. -

Je me mis alors a me glisser se l'étroit passage qui pouvais y avoir entre la barrière et l'étalon qui se trouver devant moi, tel un piquet. Qu'il reste ainsi ici, il m'ennuie a ce croire le plus beau. Je tournas donc les talons a ce stupide rabat-joie et laissas échapper un soupire d'agacement envers ses mauvaise manières. J'allais vers un abreuvoir le plus proche. Une soif venait d'apparaitre dans ma bouche qui devenait pâteuse. Je me mis alors au bord de l'abreuvoir et y trempas le bout des lèvres et bus quelques gorger. Je releva la tête et sourie toute seule. Sa aller mieux.

Je me retournas et aller vers l'étalon. Maintenant ce n'était pas moi qui se tenait coincer entre un cheval et une barrière. Je lui lanças des regards de provocatrice et fis un sourire malicieux. Je bâtis des cils a plusieurs reprise et rendis mon regards telle du velours.

- Vous ne compter pas me draguer j'espère ? -

Je pris une voix douce et mielleuse. Marchante et belle, quelques un de mes atouts son en place. Je vais le prendre a son propre jeux.

♦ La petite rousse te regarde comme un grand imbécile. Mais toi tu sais comment ne pas te faire paraître plus misérable que tu ne l'es. Donc tu la regardes comme un étalon banal qui regarderait une jolie jument. Tu la vois tourner la tête par pur ennuyeux puis revient devant toi avec des yeux pleins de dégoût.

- Tu te tient devant la princesse Caprica, le joyaux de la France. -

♦ Tiens un belle et vantarde princesse. Tu sais qu'elle se surestime, enfin du moins tu le penses très fort. Une jument Joyaux de la Franceuh dans un endroit pitoyable comme le fort.Mais bon, si elle le dit c'est qu'elle le pense. Donc toi, planté là tel un piquet de clôture tu la laisses partir vers l'abreuvoir. Tu la regardes faire et te mets à brouter. Ne brusque pas les choses avec une jument comme elle. Tu l'ignores complètement mais alors que tu es peinard de l'herbe tendre dans la bouche, elle te coince contre la barrière. Bon tu sais que tu peux te dégager s'tu veux mais tu le feras pas, tu attends. Ses yeux, ses yeux bleus te provoque tout comme se sourire qui tapisse ses lèvres. Ses yeux te provoque d'autant plus avec ses battements de cils et cette douceur tentatrice.

- Vous ne compter pas me draguer j'espère ? -

♦ Elle retourne son contre toi mais rien à faire tu restes de glace face à tous sentiments face à elle. Tu continues de l'ignorer et tu avances sans lui faire de cadeau. Tu as des muscles et juste en un pas tu l'avais obligé à se mettre sur le côté. Tu t'en vas tranquillement à l'abreuvoir ou tu bois quelques gorgées fraîches puis tu baisses la tête vers l'herbe bien grasse qui a au pied de celui ci.

- Et bien si je vous draguer ma chère demoiselle, sa ne serait qu'une preuve que vous en valait la peine grande Princesse.

♦ Tu n'as pas bouger, tu n'as pas lever la tête mais ta voix porte. Mais tu finis par lever tes yeux glaces vers elle. Tu gardes ton regard d'étalon normal et non pas d'étalon charmeur.

Caprica.

Il restais de marbre a mes petites mouvement de charme. Il se mis a m'ignorer et cela me vexas totalement. Il me poussa et alla vers l'abreuvoir pour si abreuver. Je fronce les sourcils vexer de son comportement. Il se mis ensuite a brouter tranquillement comme si je n'était pas là. et ouvris enfin la bouche.

- Et bien si je vous draguer ma chère demoiselle, sa ne serait qu'une preuve que vous en valait la peine grande Princesse. -

Voila un bien compliment dans toute son ignorance. Je tournas la tête dans l'autre sens et bouda. Je me mis alors a aller dans près de la barrière a regarder la nature vivre. C'est reposants de la voir ainsi sans d'agitation. Je suis mieux en dehors de la nature a la regarder que dedans a être apeurer. A admirer le ciel bleu, les oiseaux qui volent en V, les arbres qui bougent, j'en oublias presque l'étalon qui était dans le même pré que moi. C'était quoi son nom déjà ? Babylon ? Oui c'est sa. Je me retournas même pas pour lui poser une question d'une voix neutre.

- Sinon tu vient là bas ? -

Je ne dit pas où mais comme je regarder les forêts au loin avec tant d'attention il devrait comprendre. Vient-il des plaines sauvages ? Est-il un sauvageon ? Ou alors il est né dans le fort avec tout ses cow-boys autant de lui pour grandir ?

♦ Mais c'qu'elle boude ma parole. Tu l'as vexer avec tes paroles et tes actes mais c'est ce que tu aimes. Tu aimes jouer avec les sentiments des demoiselles. Mais alors que tu es tout fier de toi et entrain de goûter, elle se promène dans le pré avant de s'arrêter. Elle s'arrête pour regarder la nature. Dans ta tite tête, tu te demandes pourquoi elle regarde les bois ou il y a des bestioles à poils et à plumes. Enfaite, tu aimes pas trop trop la nature malgré qu'il y est du monde heureux là bas.Du monde heureux ?! Qu'est qu'il te prend mon vieux ?! Tu secoues la tête comme pour effacer cette idée bizarre de ta tête.

- Sinon tu vient (de) là bas ? -

♦ Aie point sensible ! Tu relèves la tête, l'air froid voyant qu'elle montre la forêt de ses beaux yeux bleus. Tu t'approches de la princesse aux crins roux. Tu restes de marbre sans montrer tes sentiments mais si elle est assez maligne, elle saura lire dans tes yeux. Tu ne veux pas dévoiler ta vie comme sa mais tu n'aimes pas laisser les questions des demoiselles en suspend. Dans ton cerveau sa cogite et en même temps tu fais des drôles de grimaces. Elle doit sérieusement te prendre pour un mongol. Mais soudain tu as une idée.

- Tu sais Caprica, je ne me dévoile pas à des personnes que je ne connais pratiquement pas. Peut être qu'un jour, si nous nous recroisons, je te le dirais.

♦ Tu la regardes avec enfin un sourire sur tes lèvres blanches. Avant tu avais qu'une envie qui était de la séduire mais en la regardant de plus près, tu n'as plus trop envie. Tu préfères la séduire avec ton vrai côté de toi même. Celui du bon et tendre étalon au coeur gros comme sa. En faite, ta règle d'or c'est : 3,2,1 tu es sous mon charme; mais là c'est plutôt vers elle que cette règle c'est retourné. Tu sens que c'est pas trop normal que tu réagisses comme cela mais tu veux vraiment qu'elle t'apprécie. Bizarre non !

♦ Tu la regardes une dernière fois puis tu te diriges vers la barrière. Tu vois cet idiot et là tu lui montres les dents. Il te regarde apeuré ce demandant ce que tu lui voulais. Tu le fixes cinq secondes et tu vois la poche avec les pommes. Tu l'arraches de sa veste et tu t'en vas avec. Tu arrives prés de la demoiselle tout fier de toi et tu laisses tomber la poche. Elle s'ouvre laissant paraître une belle grosse pomme rouge. Tu la prends et la déposes sur la barrière devant la belle blanche.

- J'espère que sa va te plaire

Caprica

Je restas là a regarder la forêt, songeuse. Je l'entend s'approcher de moi et restait de marbre. Il a perdu sa langue ? Je le vis du coin de l'oeil faire de drôle de grimace, hum s'il continue je vais demander a partir d'ici, je n'aime pas être en présence d'étalon bien étrange. Mais il ouvre enfin la bouche pour parler. Je tourne alors la tête pour le regarder, faire celle qui est intéressait par ses propos.

- Tu sais Caprica, je ne me dévoile pas à des personnes que je ne connais pratiquement pas. Peut être qu'un jour, si nous nous recroisons, je te le dirais. -

Il me regarde avec un fin sourire sur ses lèvres blanches. Il a changer, il a l'air franc en disant ses paroles, même naturel, plus le gros goujat qui se pavane devant la première jument qu'il voit. Cela me séduit presque mais je me reprend. Non moi on me séduit pas, c'est moi qui séduit. Je haussas alors un sourcils et fis un sourcils malicieux.

- Tu sait le fort est petit, on peut se rencontrer tout les jours. -

Je fis un petit rire amuser. Il me regarde une dernière fois avant de se diriger vers la barrière. Quoi je l'ai vexer ? Ha quoi que non. Un cow-boy qui passer par là s'arrête devant l'étalon. Celui-ci montre les dent et le bipède prend peur mais il ne bouge pas. Babylon arrache alors la poche du bipèdes et revient vers moi l'air tout fière. Je ne bougeais pas quand il laissa tomber la poche. J'y découvre une grosse pomme rouge qui roule un peu et la poche se déplie. Babylon la prend alors et la pose sur la barrière. Je suis toucher par cette attention mais je me reprend vite.

- J'espère que sa va te plaire. -

J'adore les pomme et bien sur que cela va me plaire. Je lui sourie et ne lui répondis pas. J'en prend un morceau en croquant dedans sans la faire tomber de la barrière. Le jus me coule entre les dents. Elle est si gouteuse. Je ferme les yeux et apprécie le gout sucrer. Je ne résiste pas et mange en une bouger le reste de la pomme.

- Merci beaucoup elle était délicieuse. -

Je me mis alors a entrer en scène a lui faire des yeux doux et a sortir mon sourire ravageur. Je me mis a tourner autour de lui en faisant bien bouger ma croupe a chaque déhanchement. Je met la queue en panache et joue a la séductrice. De plus les chaleurs venait d'arriver et j'ai envie de jouer avec ses nerfs. Je le frôle et et rie toute seule. Je me met a m'élancer a travers le pré qui est plutôt grand en largeur et lui crie.

- Attrape moi si tu peux !! -

Je me met donc a galoper comme une folle et ne regarde pas s'il me suis mais vu ce charme que je lui est fait a l'instant peut-être qu'il feras s'il n'a pas su résister a mon charme envoutant, sinon je vais avoir l'air stupide a galoper ainsi. Non je n'aurais pas l'air stupide car j'aime bien galoper comme une folle dans les prés mais que quand il y a Martin et là, il n'est pas là. Je ne m'arrête pas et continue a galoper.

Caprica

Arriver a la limite du pré, je bifurque et vire a gauche, je fonce et continue ma lancer dans l'autre sens. Je vois Babylon qui avance au pas vers le centre du près. Il n'est encore qu'une tache vu la distance. Je penche l'encolure vers l'avant et prend de la vitesse. La distance entre nous deux se fait de plus en plus courte. C'est alors que je le vois démarrer un petit galop pour alors me bloquer brusquement. Je fis une grimace et freina a fond, les quatre sabots creusent la terre pour m'arrêter et ne pas me prendre de plein fouet l'étalon. Trop tard, je n'ai pas eu le temps de m'arrêter que je me pris l'étalon. Je ferme les yeux et sentis une grande secousse. Quand je les ouvris, j'étais le poitrail coller contre le sien. Il m'avait arrêter sans broncher. J’entrouvre légèrement la bouche surprise. Je fus tout aussi surprise de le voir me regarder avec tendresse, et un fin sourire charmeur. Il secoua sa tête pour dégager son visage de mon toupet. Et de but en blanc il sortie :

- C'est qu'elle est fugueuse la charmante demoiselle. J'ai presque failli m'impatienter.

Je sentie mes joues s'empourpraient. Le voila qui me fait du charme. Bien sur, je tombe tout le temps dans les panneau des étalons grand beau et fort, je bas des cilles et soupires le sourire au lèvres. Je ne peu m'empêcher de lui lancer un regard provocateur. Son poitrail était chaud au toucher contre le mien. Je pouvais sentir ses muscles bouger. Je me dégageas et mis ma queue en panache tout en trottent autour de lui l'air séductrice. Il veux jouer ? Ok.

- Tu va devoir attendre encore un peu charment jeune homme.

Je souris et papillonnas des cilles. Je m'arrêtas devant lui, pencha mon encolure et frolla sa joue du bout de mon menton, je le regardas du coin de l'oeil et éclata de rire. Je fis quelque pas en arrière et me cambra de toute ma hauteur et joueur des membres dans le vide. Mes sabots revienne au sol dans un bruit léger. Un petit nuage de poussière s'éleva du sol. Je fis quelques pas en crabes et me cambras de nouveau et hennis. Je posa alors mes deux antérieur sur son dos sans lui faire mal et lui mordilla le dos. Je le cherche ! Comment va t-il réagir fasse a cela ?