Bonjour, ne nous nous sommes pas déjà vu mademoiselle ~ Caprica ♥

Caprica

Martin vient réveiller sa belle est douce jument dans son box au lever du soleil. Aujourd'hui il ne travailler pas avant 15h. Il devait passer a la banque pour retirer de l'argent puis passer au pub du coin pour parler a des amis. Il avait donc décider d'aller en ville avec sa très chère jument Caprica. De la ferme de Mr.Smith ou loge Caprica et Martin, il y a 15 bonnes minutes de pas jusqu'en ville. Mais comme il fait froid Martin lui ferras faire un petit trot pour réchauffer ses membres.

Quand il vient me passer un coup de brosse sur la croupe et l'encolure je hennis doucement. Sa douceur me toucher a chaque fois. Il passa sa mains sur ma joue et me fis un large sourire.

- Bonjour madame la marquise ! -

Je lui répondis par un petit coup affectueux de la tête sur ses fesses. Il ris et me donna une carotte en échange. Il me démêlas ma longue crinières et la coupas pour pas qu'elle traine par terre, cela risque de salir mes beau crins roux renard. Puis il me sella et me mis mon licol. Il ne pris même pas la peine de prendre les reines je le suivis sans qu'il me surveille. Nous sortions des écuries, là où il y a tout les chevaux de Mr.Smith.

Dehors le froid était présent, chaque expiration de l'air que je respirais, ressortait en une fumée qui se dissipas vite. Cela le fis aussi pour Martin. L'air était froid et glacer, c'est l'automne quoi. A l'horizon le soleil commencer a se lever. Nous le regardons ensemble un ainsi puis il monta sur mon dos. S'installent comme il faut, il me mis ensuite au pas. Il enchainas vite sur un petit trot léger pour échauffer mes muscles et nous réchauffer par la même occasion.

Nous arrivons ainsi plus vite en ville. Nous croisons un cavalier qui partait poster des lettres mais personnes d'autre. Il doit faire trop froid pour que les gens sortent. Nous avançons dans l’allée centrale de la ville. J'allais encore poireauté pendant que Martin aller faire ses affaires, et je déteste ça. Mais en arrivant devant un bâtiment je vis un cheval attacher.

- Je revient je vient de me rappelais que je devait passer ici. -

Il me prévient et m'attachas presque a côté de l'autre cheval. Je le regardas partir puis regardas l'étalon en coin. J'avais l'air douteuse et le visage qui exprimer des question du haut. Je ne pouvais plus tenir il fallait que je lui demande.

- Excuse moi, mais on se ne serais pas déjà vu quelque part ? -

Caprica

Il me regardas avec un grand sourire au lèvres. Oui je l'aurais déjà rencontrer vu comment il me regarde avec un air malicieux. Oui ok mais où ? Je rencontre tellement d'étalon, que je séduit, puis je disparais sans laisser de traces. Il doit être l'un de tous ses étalons que j'ai charmer.

- Quelle mémoire mademoiselle Caprica ! Vous ne vous rappelez pas de moi ! Votre cher Babylon -

Il mima une petite est légère révérence. Cela me touchas et je souris gentiment a cette étalon si aimable. Mais oui bien sur Babylon ! Je vus bouche bé et ouvris un peu plus les yeux. Je m'en souvient maintenant. Le pré, lui, et la pomme. Mon visage devient radieux et ensoleillée de le revoir. Sa robe grises et toujours la même pas de doute, il n'a pas changer, toujours aussi gallent et séduisant. Lui aussi avait les yeux qui brillait, se remémorait-il ce moment de notre première rencontre lui aussi ? Peut-être. Puis il se secoua et une poche qu'il était sur de dernière de sa selle se mis a bouger. Il me la "tandis" vers moi.

- Vas y sert toi ! Je crois qu'il y a ce que tu aimes -

Je dressa les oreilles aux bruits que fessait le sac et a la formes qui avait. Arrondis. Babylon tournas la tête. Des portes venaient de basculées mais ce n'était ni son cavaliers ni le miens. Je plongeas le museaux dans son sac et sentis l'odeur enivrantes des pommes. J'en pris deux a pleines bouches et les mangeas si vite que j'ai crus n'avoir rien manger. Il se retournas et plongeas ses yeux dans les miens. J'avais du jus de pommes au coin des lèvres. Honteuses je l'aspiras vite fait et ris doucement. Il me regardas avec tendresse et je "fondis" devant ces yeux. Caprica, ma fille que devient tu ? Il se rapprochas de moi, et sentis son souffle chaud sur mon encolure. Cela me fis des frisson et reculas la tête surprise. Il dit par la suite.

- Je croyais ne plus vous revoir mademoiselle. -

Ses yeux, ho mon dieu mais arrêter ça ! Il les plongeas de nouveau dans les miens, je pus y déceler de la sensualité, du charme, de l’irrésistible. Il savait si faire avec les juments. Je soupiras le cœur gros. Je lui fis des battements de cils bien connu chez moi, et frôlais son museaux avec le miens. Je ris et m'exclamais d'un ton joueur.

- Aller, et si on allait se balader en ville ?! -

Je n'attendis pas sa réponse que je commença a défaire malicieusement le noueux si faible que Matin avait fait au poteau avec les rênes. Je balanças les rênes car dessus ma tête, et tombèrent sur de bas de mon encolure. Je ris en voyant la tête de Babylon. En quelques coups de dents bien placer pour ne pas abimer le cuir, je fus détacher. Je crus déceler de la peur dans les yeux, de la réticence, ou alors je me trompe complétement mais je ne pus m'empêcher de lui dire sur un ton de tentation.

- Quoi tu a peur ? -

Sur ceux je me mis a trotter sur la route, en plein milieu, fis des petites ronds sur moi même, fis des pas élégants on montent bien haut mes sabots, en crabes, tout droits, en diagonales. Puis agacer de faire cela je me retournas vers lui. La crinières dans le vent je lui sourie de toute mes belles dents blanches.

- Aller on n'y va. -

Je me retourna et commença a marcher sans regardais s'il me suivait ou non. Mais j’espérais que oui et qu'il me rattrape même. Pourquoi je pense ainsi ? Ce n'est pas mon genre.

Caprica

Il me tira dans une impasse, je le suivie curieuse. Voulait-il être cacher du regards des cavaliers ? Peur de se faire attraper par les hommes et être de nouveau attacher a un poteau ? Il tourna la tête, je suivis son regards. Un homme passa et avait l'air de chercher mais ne vit pas. Il se retournas vers moi. Sa tête était si proche de la mienne que je sentais son souffle chaud sur mon museau. Il s'avança d'un pas nonchalant, me bloquent presque dans le coin de la ruelle qui finissait par un cu de sac. Il fessait sombre et je sentais bien que mon odeur enivrante du aux chaleurs lui fessait beaucoup, même trop d'effet.

- Tu as pas peur j'espère ? -

Je fis un petit sourire en coin. Mon postérieur touchas le mur froid et mes postérieurs touchaient presque mes antérieurs. Je secoua ma crinières et approchas ma bouche de son oreille et vient y chuchoter quelque chose, fessant de ma voix un charme sensuel et incassable.

- Rien de me fait peur. -

Je reculas la tête et fis un nouveau sourire en coin. Je ne détachas pas mon regards du sien. Je fis seul, en fond, des personnes qui marcher, presser par le froid qui les rongeaient. Nous, nous avions pas froids, d'un déjà par notre pelage d'hiver qui commencer a se former et ensuite par la chaleur étouffante de nos deux corps si près l'un de l'autre. Je n'y croyais pas vraiment. Rêvais je ? Peut-être. Je me penchas vers lui et glissa mon museaux sous son encolure, respirent son odeur. Je ferma les yeux et me laissa emportais par sa chaleur que je ressentais rien qu'en me tenant a ses côtés. Qu'allez t-il se passer ensuite ? Je ne sais pas, mais je le laisse "mener la danse ".

Caprica

- Es tu prêtes ma chère ? -

Oui plus que prête, mais il ne me laissa pas le temps de répondre, il poussa légèrement ma croupe. Je pivotas. Il se déplaça un peu pour me dégageais de l'emprise de mur. Il posa son museau sur ma joue, la fraicheur de ses naseaux me rendis folle. La tête tourner et je sourie comme une idiote. Il fis alors ce qu'il avait a faire. Après le travail terminer il revient vers moi, se colla a son poils et me fis des caresse. Il me murmura des mots doux comme des " je t'aime " je et je répondis aussi. Il m'en fis tout une liste, et je succomba a chacun. J'étais entièrement a lui, lui avant même offert mon corps.

Mais quelque chose cassa se moment si tendre. Une voix qui venait d'en dehors de la ruelle et qui nous pointé du doigts. Non mais ils ne connaissent pas les moments intimes eux ? Je tendis l'encolure et me mis a respirer fort. Les oreilles couchées je ne voulaient pas qu'on nous enlèvent de cette endroit si calme. Malgré cela un homme vient me chercher. Je ne me laissa pas faire et voulus le mordre. Pris de peur il fis un bond en arrière.

- Martin, ta jument est ici ... et pas seule ! -

Je rougie. Martin aller me voir ainsi, coller a un étalon dans une ruelle sombre. J'en fus toute honteuse, c'est quand même mon cavalier. Martin arriva et fronça les sourcils en me voyant là. Oui j'avais fait une bêtises pour lui. Il me pris de force par les rênes et me donna des coups sec pour me faire venir. Cela me tira dans la bouches. Je n'eus donc pas d'autre choix. Je tournas la tête vers Babylon et hennis les yeux pleins de larmes vers lui.

- En revoir, on se revois bientôt je te le promet ! -

Je ne sais pas comment j'allais tenir ma promesse mais Martin avait pas l'air si furieux que cela. Je me donna une tape sur la croupe et ne pus tenir, les yeux strict aussi longtemps, devant mes yeux pleins de larmes. Il me ramenas aussi sec a la ferme de Mr.Smith et la journée fus longue et dure, pensent a Babylon.

Court ne veut pas dire nul patate douce ♥