Apprends moi à aimer £ Eclipse

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Le soleil n'était pas bien haut dans le ciel, j'étais fatiguée, mais je commençais à prendre l'habitude. Cherokee était encore couché dans le box, je me leva doucement pour ne pas le réveiller, et sortis ma tête du box, histoire de voir ce qu'il pouvait ce passer à cette heure-ci. La ration de nourriture commençait déjà à être servie, le bruit des granules ne tomba pas dans l'oreille d'un sourd, Che' fut réveiller grâce à ça, un vrai ventre sur patte celui-là. Je mangea une courte ration et laissa le reste à Che', il en a plus besoin que moi. Je n'eu pas à attendre longtemps avant d'être prise par un humain, c'était à chaque fois une épreuve pour moi, j'avais toujours peur que l'on me ramène dans cette étrange salle, je ne voulais plus vivre ce genre de choses, j'étais heureuse d'avoir Cherokee à mes côtés, mais j'aurais préféré que cela arrive autrement, même si j'aimais l'étalon avec qui sa avait eu lieu, ce n'était pas dans ces circonstances là que je l'imaginais. J'avais mon licol bleu, et l'humain me tenait calmement, sans faire aucun geste brusque, il était plutôt jeune, j'avais confiance en lui, car généralement, il ne demande pas au jeunes de nous amener dans la salle. Le colonel arriva vers nous, instinctivement, je mis les oreilles en arrière, levant la tête haute, de peur. Il s'approcha de moi, me regarda de travers, et commença à parler au jeune garçon qui me tenait.

- Fais la simplement travailler en main Loïc, sa suffira pour elle

Je ne sais pas comment je devais prendre sa dernière phrase, mais si je devais simplement travailler, sa me suffisais amplement. Donc, Loïc exécuta les ordres du colonel, mais avant d'y aller, il me brossa soigneusement. Quand la brosse douce entra en contact avec ma peau j'eu un énorme frisson qui me parcourus de tout mon long. Loïc rigola et me caressa doucement entre les naseaux, et me donna un morceau de sucre qui sortis discrètement de sa poche.

Le travail en main ce passe plutôt bien, je n'eu qu'à faire des petit galop, du trot rassemblé et espagnol, rien de bien compliqué, j'avais l'habitude maintenant de faire ce genre d'exercice. Quand j'eu finis, Loïc me donna une bonne douche, un autre morceau de sucre, et me ramena au box. Che' n'était pas là, il devait surement travailler où faire une ballade avec les humains, ils n'ont surtout pas intérêt a ce qui lui arrive quelque chose. Je me pensa tranquille pour le reste de la journée, et m'autorisa une petite sieste, mais avant même que je n'eu fermais les yeux, un humain donna un coup dans la porte de mon box pour que je me lève et m'approche de lui. Il me passe violemment le licol, ce qui me pétrifia sur place, mais je fus obligeais de le suivre, j'avais peur, mes membres trembler, que me voulais t-ils encore ? Ils ne m'avaient pas assez fait souffrir comme ça ? Je fus finalement amener au près, je me détendis et brouta l'herbe, mais je releva rapidement la tête quand j'aperçus qu'un étalon ce trouvais dans le même près, je savais que ce n'était encore les chaleurs, mais on ne c'est jamais avec les humains ... Mes yeux commencèrent a ce remplir de larmes, j'avais peur que ça recommence comme avant.

- Que va tu me faire ?

Ma voix tremblée, mais je ne pouvais caché ma peur. Je voulais que l'étalon me dise franchement ce que les humains attendait de nous deux, mais si ça ce trouve, ce n'était qu'une mauvaise coïncidence ... Je préférerais d'ailleurs que ce sois cela qu'autre chose.

Le matin… Mot qui pour moi signifiait réveil. Un adieu du pays des rêves pour une journée qui ne semblait pas commencé d’une façon qui nous donnerait envie de la vivre. Pourtant malgré, mon réveil et ce fond d’air glacial qui vous donne envie de vous transformer en pingouin, cette journée semblait spéciale. Oui, spéciale c’était une journée qui avait commencée comme la précédente mais qui semblait spéciale. Pourquoi ? Je ne pourrais vous le dire. Le soleil m’avait éblouit lorsqu’il avait pénétrée dans mon box poussiéreux. Il éclairait la totalité de l’écurie quand la ration d’avoine fut servie. Moi, j’étais toujours le dernier allez savoir pourquoi mais c’était sûr que j’allais l’avoir après tous les autres. Et bien-sûr, mon abruti de voisin qui est toujours sur les nerfs c’était énervé comme chaque matin, il grattait son sabot contre le sol qui était dur et glacé. La bonne odeur de la nourriture s’élevait dans l’air et rendait tous les chevaux fous. Encore trois chevaux avant moi, plus que deux, un et à mon tour. J’avais pris une grosse bouchée de ce petit déjeuné équin. L’avoine était un régal qu’ils nous servaient seulement une fois par semaine car s’ils nous en donnaient de trop nous serions incontrôlables. Au loin, il y avait un petit gringalet brun qui ne semblait avoir aucune expérience en matière de chevaux. Un gars idéal à qui faire des farces. C’était dans ces moment-là que je ne regrettais pas d’être ici. J’avais hennis pour attirer son attention. Il était tombé dans le panneau et était venu à ma porte. Et c’est là que mon talent d’acteur entrait en scène. Moi jouant le cheval atteint de fourbure et lui qui voulait vérifier mon état rentra dans mon box laissant la porte ouverte. Profitant de la naïveté du nouveau je m’élançais à l’extérieur en prenant garde à ne pas l’écrasé. J’avais encore une fois réussit à sortir de ce vieux box poussière semblable à une cellule de prison. J’étais dans la cours, elle me donnait le choix entre les prés ou la carrière. Seul un cheval vraiment idiot aurait choisi la carrière, j’avais donc galopé en direction des prés sans toutefois que quelqu’un me voient. J’avais sauté la barrière et j’avais réceptionné dans un pré ou je n’avais jamais mis les pieds ou plutôt les sabots. Il était spacieux et luxuriant, LE près idéal quoi. Je décidai de l’exploré. Mis à part un arbre à l’horizon rien de spécial. Ah si, une jument broutait de l’herbe. Une belle jument, je devrais plutôt dire. Je m’approchais d’elle, elle m’avait remarqué et je m’attendais à une question du genre « Qui es-tu ? » « Que fais-tu ici ? », mais elle à ma plus grande surprise se fut « Que vas-tu me faire ? ». Sa voix était un mélange de peur et de tristesse, une voix que je n’oublierais jamais. Elle m’avait touché jusqu’au plus profond de mon âme et résonnait dans ma tête. Une voix qui semblait tout dire sur elle. Elle avait du être torturée ou quelque chose dans le genre pour obtenir une méfiance telle que la sienne. Cette jument en détresse malgré elle, me donnait envie de la connaitre. J’avais envie de l’aidée. De la délivrée de sa peur ou de sa souffrance. Il ni avait qu’une seul réponse envisageable pour moi « Qu’attends-tu de moi ? »

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L'etalon ne semblait pas méchant, mais je ne pouvais plus me fier au apparences, sa m'avait tellement mener dans de terrible aventure. Son corps était muscle, comme n'importe quel étalons me dirait vous, mais lui, c'était différent, son corps était couleur crème, et c'est surement grace a cela que je le trouvais différent, car sa le faisais briller au soleil, c'etait comme un ange tombé du ciel pour me protéger ... Il me demanda ce que j'attendais de lui, sa réponse me surpris, il n'était donc pas ici pour moi, mais par pur hasard , sa me rassurais d'avantage. Mes membres tremblaient encore, et ça, je ne pourrais pas y arrêter. Je ne décrocher pas mon regard du siens, pas par attirance, par précaution, au cas ou, on ne sais jamais, les étalons savent bien cacher leurs réelles intention.

- Je veux que tu ne me fasses aucun mal , c'est tout ce que j'attends de toi.

Ma voix trahissais ma peur, les larmes commencèrent a me monter au yeux, je baissa la tête pour me cacher, sans connaitre l'etalon je n'aller pas me mettre a pleurer toutes les larmes de mon corps, ce n'était pas très présentable. Finalement, je réussis a trouver un fond de joie au fond de moi, et , relevant la tête vers l'individu, je lâcha un court sourire , pas très crédible et limite pathétique, mais c'est l'intention qui compte, comme on dit.

- Pardonne mon impolitesse, moi c'est Freya.

Je ne savais pas si je devais lui demandais son nom, de toute façon, il n'était pas la pour moi, donc pourquoi me dirait-il le siens ? Puis après tout, si il en avait envie, il me le dirait. Je devais avoir qu'il avait une nouvelle quelque chose de différent, je n'avais pas envie de prendre mes jambes a mon cou en sa présence, je préférais rester, je me sentais protéger, mais ne le conaissant pas, j'avais toujours cette petite appréhension au plus profond de moi. Dans les moments comme ça, je pensais a Cherokee, ce qu'il pouvait faire en m'attendant , bien qu'en ce moment meme , il était en sortis ... Je m'écarta légèrement de l'etalon pour aller croquer une pomme , me trouvant une nouvelle fois très impolie, je pris une dans le sac a cote du près, et la déposa devant L'etalon, en lâchant un petit sourire, sincère cette fois-ci.

- Tu ne va surement pas me répondre mais, d'ou viens-tu ? As- tu toujours étais cow-boys ? J'ai besoin d'apprendre a connaitre des gens ...

Devais-je dire ce que je pensais ? Devais-je déballer ma vie ? Je recommençais a avoir peur, a douter ... Je n'aimais pas garder en moi ce que je pensais ...

- J'ai besoin de ne plus avoir peur...

Il aller me prendre pour une tarée, si je le voyais partir comme un fou, je ne devrais pas m'en ettoner.

Ses jambes tremblait, ses yeux courrait sur mon corps, sa tête avait pris un air surpris. Son corps couleur marron, ses yeux orangés, ces hautes balzanes blanche neige et sa crinière couleur crème. Je l’observais silencieusement. Je la dévorais des yeux sans qu’elle ne s’en aperçoive. Ses longues et fines jambes, son museau foncé. Elle ne semblait pas sûre d’elle mais en même temps elle semblait rassurée par ma réponse. Qu’avait-elle avoir pu subir ? Je l’avais fixé, je l’avais regardé au fond de ces yeux. Elle aussi me regardait.« Je veux que tu ne me fasses aucun mal , c'est tout ce que j'attends de toi. ».] Le mystère se renforçait. Son secret, m’attirait encore plus d’elle. Malgré qu’elle ne le faisait pas exprès. Sa voix était à nouveau tremblante, comme ses jambes d’ailleurs, si innocente et si … si douce… Une fleur qui venait d’éclore voilà à quoi elle ressemblait. Innocente et naïve mais qui a déjà vécue des choses. Une fleur si fragile et tellement belle. Une fleur qu’on déterre pour la mettre en lieu sûr. Une fleur qui lui ressemblait. Je la fixais encore quand ses yeux c’était embuer et c’était mis à couler. Elle avait baissé sa tête en espérant que je n’avais pas vu ces larmes. Sa me faisait un pincement au cœur comme si la fleur avait été écrasée.

Quelques instants silencieux était passé jusqu’à que la jument repris ces esprits. Elle avait relevé sa tête en me lançant un sourire bref qui n’était pas du tout crédible. « Pardonne mon impolitesse, moi c'est Freya. » A nouveau sa voix fragile qui me touchait tant. Devais-je lui dire mon nom ou non ? Peut-être vu qu’elle me l’avait donnée, ce serait vraiment irrespectueux de ne pas lui donné alors je le fit d’un voix qui pour moi était douce et rassurante. Mais l’on ne peut jamais savoir comment allais la percevoir l’interlocuteur c’était pour cela que je dis pour moi. Donc, cette jument en détresse se nomme Freya, ce n’est pas commun sa comme nom. C’était surement encore un des noms de chefs des humains comme par exemple Zeus m’avait un fois dit l’un de mes voisins de box. Nous avions eu une longue conversation la dessus qui n’était toujours pas close. M’enfin bref… La jument c’était écartée afin de pioché dans un sac un pomme verte. Des pommes, avais-je pensé, rien de meilleur que ça !. J’en rêvais mais je n’allais surement pas lui en demandé une se serait, comment dise les humains …, impoli. La jument avait lu dans mes pensé avais-je crus pendant une seconde. Elle en piocha une et me l’apportas avant de me bombardé de questions. « Tu ne vas surement pas me répondre mais, d'où viens-tu ? As- tu toujours étais cow-boys ? J'ai besoin d'apprendre à connaitre des gens ... » Ah ces juments toujours à vous bombardé de questions. « Je viens d’un troupeau dont j’ignore le nom, je me suis fait attraper étant poulain. Si tu as besoin d’apprendre à connaitre des gens, apprends à me connaitre. Et toi ? » Comme toujours avec elle ces réponses sont imprévisible et surprenantes surtout celle-ci. «-J'ai besoin de ne plus avoir peur...» Ma réponse fut directe. « De quoi as-tu peur ? »

J'en suis pas fan du tout... Il est nul >.< Désoler.

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L'etalon était étrangement rassurant dans ces paroles, peu-être étais-ce le cas, ou alors je me faisais encore des films. Au faite, il ce nommait Eclipse, j'aimais son prénom, il était doux et appaisant, sa me donner envie de me coller a lui, mais sa pourrais laisser penser des choses ... Il venait d'un troupeau dont il ignorer le nom, avait-il envie de retourner parmis les siens, parmis les mustangs , comme le père de Cherokee ? Il ne fallait donc pas que je tombe amoureuse de lui , mais que dis-je, de toute façon, lui ne m'aimeras pas, peu son les étalons qui aiment les jument froussarde comme moi ... J'avais envie de le connaitre, comme il venait de le dire , pourquoi cette attirance pour lui ? Mais sa question me dérouta ...

-J'ai peur de souffrir, de nouveau éprouvais des sentiments pour quelqu'un et que sa ce finisse comme c'est déjà arriver... Je ne veux pas que sa m'arrive de nouveau ...

Pourquoi lui avoir tout dis ? Pourquoi avoir déballez ma vie en face d'un inconnu ... C'était sortis tout seul, mais sa ne me déranger pas plus que cela, après tout, il m'avait dit d'ou il venait, j'avais bien le droit de lui dire ça, surtout que je ne dévoiles pas toute ma vie non plus. Je remarqua que j'avais oublier une de ces question, enfin, une réponse a sa question d'avantw

- Moi je suis née ici, j'ai un frere et ma mère est ... Morte.

Ma gorge ce dénouée au fut et a mesure que je le regardais, plus je parler avec lui, plus sa me rassurer a son sujet. Pourrais-je ne plus avoir peur grace a lui ? Ce serais tellement bien, j'en rêve déjà ... Mais j'ai aussi très peur de l'aimer et de subir une saillie forcée par les humains, rien que cette pensée me ris grossi et de douleur. Je voulons changer directement de sujet, mais je me sentais imposante avec mes questions idiotes ...

- As-tu déjà voullus t'enfuir d'ici ?

Nan parce que personnellement sa ne me dérangerais pas du tout de le suivre ... Enfin bref, la n'est pas la question. Quand je regardais son corps, je n'avais qu'une envie c'était de me coller a lui , son corps paraissait si tout et sa me rassurerais d'avantage ...

Elle m’observait à nouveau. Ce n’était pas comme la première fois ou elle n’avait fait que me scruté dans les moindre détails. Cette fois-ci elle m’observait comme si… Je me faisais des histoires là. «

J'ai peur de souffrir, de nouveau éprouvais des sentiments pour quelqu'un et que sa ce finisse comme c'est déjà arriver... Je ne veux pas que ça m'arrive de nouveau ...

» Sa voix avait enfin pris plus d’assurance et semblait sincère. La sincérité une chose que j’appréciais beaucoup et que pour rien au monde je n’aurais trahi. Malgré sa voix sincère et sa voix qui se stabilisait, il y avait encore du mystère dedans. Oui, ce mystère qui m’attirait, ce mystère qui me faisait tourner la tête comme si j’avais respiré cette eau rouge que les hommes boivent. Une chose que je ne comprenais pas c’était que la jument qui était si apeuré me dévoilait sa vie comme si de rien n’était. C’était une chose qui me tracassait et qui me déstabilisait. Elle me rappelait Nuage, ma mère adoptive qui semblait si fragile mais qui était en réalité si forte et déterminé. Pour moi, Freya était passé de la jolie et fragile petit fleur à la belle et forte Nuage. Au fond de moi-même si je ne l’avouais pas, je l’admirais. Freya, cette jument qui avait subi je ne sais trop quoi mais en tout cas çà l’avait marqué et elle n’était pas près de l’oublier. Néanmoins, elle avait su plus au moins garder son sang-froid quand je lui avais demandé quel étaient ces craintes et c’était sa qui me l’a faisait admirée.

«

Moi je suis née ici, j'ai un frère et ma mère est ... Morte.

» C’était la réponse de ma question précédente. Elle n’était donc pas seule, elle avait un frère était- il aussi ici ? Quant à sa mère. Morte. «

Je suis désolé pour ta mère… Ton frère est-il aussi ici ?

»

« As-tu déjà voulus t'enfuir d'ici ? » J’avais longuement pensée à m’enfuir étant plus jeune mais toujours quelques chose m’en empêchait. Si ce n’était pas mes amis, c’était les farces mais depuis peu c’était ma nouvelle famille. Ma deuxième famille m’avait accueilli les bras ouverts et m’aimaient comme si j’étais l’un des leurs. Trêve de bavardages. Je devais répondre à la question de la demoiselle. « Oui… » C’était un très petits oui, pas très convaincant. J’avais continué par quelque chose qui était vraiment mais vraiment importante pour moi. « Mais je n’y songe plus car depuis peu j’ai été accueillis par une famille extraordinaire que je ne quitterais pour rien au monde. » Sur ces mots, je n’étais approché de la jument jusqu’à la frôlé afin d’arracher un touffe d’herbe. Certes j’aurais pu en prendre une plus éloigner d’elle mais Freya m’attirait comme un aimant. Je l’avais frôlé. Je m’attendais à ce qu’elle s’enfuie et qu’elle ne me parle plus jamais.

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Par accueillis, Eclipse pensait-il adoptait ? Si oui, ça me disait vaguement quelque chose, mais je ne chercha pas plus que ça. D'ailleurs, c'était grâce à cette famille que son envie de s'enfuir c'était, comment dire, dissipée. Heureusement que ce n'est pas à cause d'une jument, enfin peu importe,il fait bien ce qu'il veut ... Il ce rapprocha de moi, non pas pour me faire du mal, mais simplement pour prendre une petite bouchée d'herbe, mais pourquoi à coter de moi le près n'est-il pas assez grand pour lui , il était vraiment obliger de venir à coter de moi ? Mais, j'avais confiance en lui, alors je n'allais pas lui foutre un coup de sabots dans la tête alors qu'il venait simplement prendre de l'herbe, alors , je fis de même, et penchant ma tête vers le sol, je ne pris pas tout de suite à manger, je regarda d'abord longuement l'étalon, vérifiant tout de même si il ne me voyait pas faire, et je pris finalement de l'herbe, laissant tranquille Eclipse. Le regard des deux hommes qui venaient de s’accouder au barrières du près me faisaient peur, qu'allaient-ils nous faire ? Je commençais à peine à reprendre confiance en moi, et Eclipse ne m’effraie pas comme la première fois, ils ne vont quand même pas tout venir gâcher ?

- Désolée mais ... Je reprend peur ...

Je commença à me reculer, mes jambes recommencèrent à tremblées , je voulais fuir et ne jamais revenir, mais je décida de finalement m’arrêter, j'étais encore proche d'Eclipse.

- Il y a quelques mois de cela, un étalon sauvage à était capturé. Les hommes ont alors décidaient de me mettre dans le même près que lui. Les chaleurs venaient tout juste de commencer, mais j'étais jeune et naïf à ce moment là.

Je ne sais pas si je devais continuer, ma gorge ce nouée, les larmes avaient totalement envahies mes yeux, mais je ne pouvais m’arrêter maintenant.

- Il n'a pas fallut longtemps pour que je tombes amoureuse de lui, stupide hein ? Mais les hommes en ont décider différemment, ils m'ont amener, moi et l'étalon dans ... Dans cette salle ...

J'ésperais qu'il est comprit la fin de ma phrase, car dire la suite serais pour moi bien difficile. Je laissais les larmes coulaient, je ne voulais plus me cacher. Si je voyais Eclipse prendre les jambes à son coup, je ne serais pas le moins du monde éttoner, rencontrer une jument à la vie aussi étrange que la mienne, c'est pas tout les jours. Mais , j'avais confiance en lui, et pour une raison que j'avais déjà connue auparavant, j'avais ressentis le besoin de lui dire ce que j'avais sur le coeur ...

Elle ne s’était pas enfuit comme je l’avais pensé. Freya était restée devant moi sans bronchée et avait aussi pris une bouchée d’herbe, m’avait observé pendant un moment avant de commencer à la mastiquer. L’herbe était tendre et était, aussi, un peu sucrée, en bref c’était de l’herbe exquise. Elle avait jeté un coup d’œil vers la barrière ou ce tenait, mon cavalier accompagné du nouveau. Ils nous observaient avec un œil intéresser peut être qu’ils s’attendaient à quelque chose ? Je ne m’étais pas posé plus de questions comparée à Freya qui semblait retombée dans une crise de panique.

- Désolée mais ... Je reprends peur ...

Elle ne semblait plus maintenant, elle l’était. Ces jambes recommençaient à tremblés. Je détestait voir des chevaux mâles ou femelles dans cette état et je ne pouvais m’empêché de les apprécier d’avantages, d’éprouvé de la pitié pour eux…

- Il y a quelques mois de cela, un étalon sauvage à était capturé. Les hommes ont alors décidaient de me mettre dans le même près que lui. Les chaleurs venaient tout juste de commencer, mais j'étais jeune et naïf à ce moment-là.

Elle se livrait à moi. Me disait tout comme si l’on se connaissait depuis des années. Comme si nous étions les meilleurs amis du monde ou bien des confidents. Mais je n’étais pas cela pour elle. Malgré tout ça j’avais l’impression qu’elle ne me trahirait jamais, qu’elle serait toujours là pour moi… Ces yeux s’était emplis de larmes qui coulaient le long de ces joues brunes. Sa voix était étouffée mais elle me touchait.

- Il n'a pas fallu longtemps pour que je tombe amoureuse de lui, stupide hein ? Mais les hommes en ont décidé différemment, ils m'ont amené, moi et l'étalon dans ... Dans cette salle ...

Dans cette salle… J’avais déjà entendu plusieurs histoires qui parlaient d’une salle de douleur et de tristesse. C’était donc celle-ci ? C’était ça qui la torturait ? Surement. Elle pleurait à ne plus s’en arrêter et moi j’étais là. Je la regardais comme un idiot. Une voix dans ma tête me disait que ce n’était pas mes affaires mais une autre me disait de la serrée contre moi afin de la réconfortée. C’était la voix de la conscience qui était normalement la seule à résonnée en moi mais maintenant, je le savais, qu’avec elle, il y aurait toujours une autre qui se rajouterais. Je l’avais serrée contre moi. J’avais écouté la deuxième voix, celle de l’amour.

Petit, petit cette réponse… Quant à la fin, je ne sais si tu veux qu’ils s’aiment maintenant ou un peu plus tard… Si c’est plus tard Eclipse chercheras à cacher ses sentiments pour elle car il ne pense pas être assez bien pour elle, etc.…

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[ Lis le rp est tu comprendra, enfin normalement ]

Qu'allait-il pensait de moi désormais ? Déjà qu'il ne devais pas avoir de bonnes pensées, mais ça à la limite, j'ai l'habitude. Sans que je n'eu le temps, Eclipse était collé à moi, mon coeur se serra d'un seul coup, une grand peur s'empara de moi, je voulais m'enfuir, encore une fois, mais mon corps en décidant autrement, puis finalement, je ne trouva pas ce contact si désagréable, alors, sans réfléchir , j'enfouis ma tête dans ces petits crins, et me colla encore plus à lui, sentant son coeur battre, c'était une sensation que j'avais oublié , mais le sentiment était toujours le même, c'était de l'amour, cette fois je pouvais en être sûr, mais pourquoi si rapidement ? Bon en même temps, Eclipse est bien loin d'être repoussant niveau physique, il est même très beau, et son caractère me convient. Je me recula légèrement, de telle sorte à pouvoir le regarder dans les yeux, je n'avais pas envie de lui dire ce que je ressentais pour lui, j'avais juste peur de lui dire, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, c'était le seul blocage qu'il me restait, je n'avais plus peur, le seul fait d'avoir passer ma journée avec Eclipse m'avait rassuré, je l'aimais, et maintenant, plus rien ne pourras changer ce que je ressens. La nuit étant tombée, mon cavalier me récupéra, mais avant de sortir du près, je regarda Eclipse et lui souris une dernière fois avant de partir. C'était d'ailleurs sans compter sur la réflexion de mon cavalier.

- Aller l'amoureuse, on ce dépêche.

Je hennis, heureuse et amusée et continua de le suivre jusqu'à mon box où ce trouvais déjà Che' , endormis. Je mangea le reste de granules ce trouvant dans la mangeoire et me coucha autour de Che', pour ne pas qu'il est froid. La nuit passa vite, pour la première fois depuis des mois, mes cauchemars c'étaient transformés en de magnifique rêve. Le réveil ce fit tout en douceur, attendant ma ration de granules, je regardais les alentours et aperçus le palefrenier arrivé, je l'attendis tranquillement, mangea, et fus directement prise par mon cavalier qui me fit travailler dans la carrière. J’enchaînais les figures plus complexes les unes des autres, et les sauts étaient plus haut que d'habitude, mais étrangement, j'y arrivais, je m'éttonais toute seule, depuis hier , ma vie avait changée, j'étais plus heureuse qu'avant. Une fois la travail fini, mon cavalier m'emenna sous la douche histoire de me rafraîchir, me donna encore une fois , un morceau de sucre, toujours très discrètement, et me laissa finir ma journée au près, est-ce que Eclipse aller y être mis ? Le loquet du près fut ouvert, le vent m'apporta une odeur totalement familière , Eclipse était de retour. Je me retourna, et il ne fallut pas longtemps pour que je sois collée à lui. Entre temps, j'avais découvert quelque chose, je ne sais pas si sa aller changer quelque chose pour Eclipse, enfin bon, il fallait que j'aborde le sujet.

- J'ai appris quelque chose ... Tu as étais recueillis par Ysy , qui n'est autre que ... Mon frère ... Mais d'un côté, tu n'es pas directement lié a eux, donc il n'y à aucun lien de sang ...

A parler comme ça , je me faisais peur toute seule, il fallait absolument que je lui dises la raison du pourquoi je disais tout cela. Je pris une grande inspiration, mon coeur battait plus fort que jamais, encore plus fort que quand il y avait Rohan près de moi, plus fort encore qu'à la naissance de Cherokee ...

- Si je te dis tout ça, ce n'est pas pour te faire un cours sur les liens de parenté de tout le fort, mais simplement parce que ... Je t'aime ...

Je baissas la tête, et si lui ne m'aimais pas ? Comment allais-je faire ? Ma seule issue serait de souffrir une nouvelle fois, et d'attendre que les mois passent, pour espérer oublier mon chagrin ...

Nous étions collés l’un contre l’autre. Nous étions seuls au monde ou du moins c’était ce que je ressentais. Elle s’était enfouie sous mes crins ce qui était quasiment impossible vu leur longueur mais c’était comme si ils mesuraient plusieurs mètres. J’avais sentis sa respiration, ses frisons et surtout son cœur qui battaient à l’unisson avec le mien. Nous n’avions formés plus qu’un. Bizarre, dès que je parlais de quelque chose je disais nous ou on au lieu de mon habituelle je. Nous étions fait pour nous rencontrer j’en été sur. Pourtant, je ne ressentais pas d’amitié pour elle mais je ne pouvais m’empêché de penser à elle. Qu’est t’es-ce donc ? Je ne pouvais pas y répondre pourtant sans vouloir me l’avouer je le savais… Un mouvement de recul, un rejet ? Non, elle s’était juste mit en face de moi. Ses yeux orangés. Ses magnifiques yeux que je ne pouvais quitter du regard ne saurais ce qu’un instant. Je ne voulais pas partir. Je ne voulais pas la quitter mais pourtant j’en fus bien obliger. La nuit était tombée, son cavalier l’avait recherché comme le mien. C’était le jeune de ce matin. Il m’avait passé le licol et m’avait ordonné de le suivre bien sagement. Je l’avais regardé du coin de l’œil. Freya, cette jument qui m’avait changé à jamais. Cette jument à qui je ne pouvais m’empêché de penser. Sorti de mes pensées par le jeune qui m’avait dit quelques chose semblable à cela : « Ne t’inquiète, tu le reverras ta chérie. » Il l’avait plutôt bien pris mon coup de l’évasion de ce matin. Il continua : « Ecoute mon grand, comme tu dois le savoir personne ne voulait de toi car tu es trop ‘fou’. Ce matin quand je t’es rencontré, je me suis dit que tu étais trop banal pour moi, un cheval d’école quoi. Mais lorsque tu t’es barré, j’me suis dit celui-là mon p’tit gars faut que tu le prennes. C’est ce que j’ai fait. Je suis officiellement ton cavalier et je m’appelle Lucas. » Donc c’était lui qui m’avait choisis. Je n’allais pas me plaindre car il avait l’air plutôt sympa ce p’tit père. Il était… enfin bref je vous le décrirais une autre fois car pour le moment j’ai le cœur occupé. Le plus important qu’il m’avait dit était dans la suite de son discourt. « Enfin, bref tu t’en fous de tout sa toi ! Ce qui pourrait t’intéressé par contre c’est que j’ai fait connaissance avec le cavalier de Freya et il a l’air tout aussi enchanté que moi par votre rencontre. Entre autres nous avons décidé de vous remettre ensemble demain. » Oui, c’était plus intéressant fallait l’avouer. J’avais le cœur plus léger maintenant car je savais que j’allais la revoir. Il m’avait mis dans mon box qui bizarrement me semblait magnifique et grand comparé à son habitude. J’étais sur un nuage. Je pensais à elle je ne pouvais pas m’en empêché. Je ne voulais pas la revoir demain mais maintenant. J’avais pourtant fermé les yeux pendant une secondes avant que le marchand de sable ne passe.

Un rayon de soleil dansait sur mon corps couleur crème. Le temps s’était réchauffé et certain oiseaux s’était décidé à pointé leur bout de leur nez. Ils chantaient, le soleil brillait et j’avais eu ma ration de céréales. J’avais été servi avant les autres. Une première. Lucas était venu à la porte de mon box et m’avait dit des mots doux pour que je me réveil en douceur. Il m’avait aussi dit qu’il m’avait nourri avant les autres pour que nous puissions aller en balade. J’avais mangé, il m’avait brossé et sellé puis nous étions partis. La ballade était passée à une vitesse incroyablement rapide et Lucas ne m’avait pas corrigé une seule fois un vrai ange celui-là. Nous étions rentrés et il m’avait directement mis au près. Le près sans Freya. Il avait dû faire une erreur et peut-être qu’elle m’attendait dans un autre ou pire… peut-être elle ne ressentait rien pour moi. Désorienté j’avais fait un tour du près vide. Lorsqu’un Clac se fit entendre. Freya se tenait déjà derrière moi et nous avions continués notre fusion d’esprits. Toujours collée contre moi elle m’avait dit « J'ai appris quelque chose ... Tu as étais recueillis par Ysy , qui n'est autre que ... Mon frère ... Mais d'un côté, tu n'es pas directement lié a eux, donc il n'y à aucun lien de sang ... » Ysy était donc son frère ? Son cœur s’était emballé. Je n’avais pu eut aucune autre réflexion ni même de réponse à lui donné. J’étais trop occupé à écouter son cœur battre la chamade. « - Si je te dis tout ça, ce n'est pas pour te faire un cours sur les liens de parenté de tout le fort, mais simplement parce que ... Je t'aime ... » Je t’aime… Aimé ? C’était donc sa aimer ? Si oui, je vous ressentir ça tout ma vie. Je n’avais pas vraiment écouté la phrase car je n’avais qu’entendu le ‘Je t’aime’. Moi aussi je l’aimais mais comment lui dire ? La version directe ‘Je t’aime aussi.’ Ou la plus subtil ‘Je t’es vue pour la première fois ici et depuis je ne cesse de penser à toi…’. Le direct ou la subtil ? Je ne pouvais pas choisir alors j’avais fait un mixte des deux. « Je t’es rencontré hier pour la première fois, nous nous sommes vus une seule fois mais pourtant je ne cesse de penser à toi ! Je ne pensais pas qu’un jour, je pourrais ressentir ça mais toi tu m’as prouvée le contraire, Freya… Je t’aime… »

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Je n'osais plus tellement croiser son regard depuis que j'avais parlé. Mon regard ce dirigeais vers le sol, il ne m'avait jamais parrus aussi interessant ... Soudain, sa voix retentit tout au fond de moi, je n'avais retenu que le " je t'aime " étant sortis de sa gorge. Ma tête s'étant directement relevée, mes yeux était remplis de larmes de joie, je ne pouvais croire ce qu'il venait de dire. Je n'eu qu'un seul reflex, je ne voulais plus bougais, j'étais tellement bien contre lui, sentant son coeur battre, c'était la meilleure des berceuses, je gardais ce rythme en tête, et mon coeur battait à l'unissons avec celui d'Eclipse. Si j'avais crus qu'un jour, je referais confiance à quelqu'un, et qu'il ce trouvais d'ailleurs que ce quelqu'un fasse , d'une certaine façon, partis de ma famille ... D'ailleurs, une question vint me titiller l'esprit, d'une certain façon, cette question prouverais notre amour, mais d'un côté, elle pourrait détruire ma famille.

- Ne crois-tu pas que nous devrions parler de ... Nous à Ysy et Nuage ?

J'avais, d'une certain façon, peur de sa réponse, et si il n'était pas prêt pour cela ? Si pour lui je n'étais qu'un amour de passage ? Tellement de question sans réponse, mais je faisais confiance à celui que j'aimais. Soudain, il y eu une foule de question dans ma tête, et je me sentais totalement obligée d'en parlais a Eclipse, car , il faisait partis de ces question, elles le concernaient.

- Te sentirais-tu prêt à fonder ta propre famille ?

Moi, j'avais déjà Cherokee, mais mon plus grand bonheur serait d'agrandir la famille. D'ailleurs, il serait tant que je présente Eclipse à mon cher fils, je suis sur qu'il va l'aimé. Je gardais d'autre questions en moi, histoire de ne pas surchagé Eclipse. Pourtant, je continua dans ma lancais.

- Penses-tu être prêt à rencontrer Cherokee ?

Pourquoi ne ce sentirait-il pas prêt ? Enfaite, je crois surtout que c'est moi qui avais peur, Che' n'a jamais connu son père, sa lui fera un vide en moins, mais j'ai peur qu'il croit que je vais le laisser tomber, jamais je ne ferais cela.

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Encore des larmes mais de joie cette fois-ci. Nous nous étions encore enlacés avant qu’elle ne me dise. « Ne crois-tu pas que nous devrions parler de ... Nous à Ysy et Nuage ? » Nous le devions. Nous annoncer à ma famille et aussi la sienne. Même si tout semblait bizarre je l’aimais et aucun lien de parenté ne pourrait m’empêcher. Peut-être qu’ils ne comprendront pas notre choix ou pire le désapprouverais. Juste l’idée de cette pensé ne fit trembler d’horreur. Bon maintenant ma réponse. « Je pense que le mieux à faire serait de leur annoncer sans vraiment leur dire. Les rencontrés et faire comme s’ils le savaient afin qu’ils le découvrent d’eux même. » A peine ma phrase fini. Elle avait enchainée avec une autre question. « Te sentirais-tu prêt à fonder ta propre famille ? » Une question que je m’étais jamais posé. Mais pourtant au fond de moi je savais. Je savais que j’ai toujours voulu donner toute l’affection que je n’ai pas eu étant enfants à des personnes procréé par moi. Mais malheureusement je n’avais pas rencontré l’âme sœur. L’âme sœur se trouvait maintenant devant moi. Elle attendait ma réponse. Je voulais avoir des enfants mais serais-je assez responsable pour les élevés ? Je n’en savais rien. Je n’étais pas très à l’aise avec cette question. Pour la première fois je ne savais que répondre. Je l’avais regardé au fond des yeux cherchant à ce qu’elle oublie cette question, en vain. Elle attendait ma réponse. Je n’avais pourtant rien à lui répondre. Enfin si. « Je n’en sait trop rien… » Aucune réaction. Etait-elle tellement obsédée par ces questions qu’elle n’entendait pas mes réponse ? En même temps sa m’arrangeait, un peu seulement. J’avais peur qu’elle me quitte car je n’avais pas totalement les mêmes projets qu’elle. «- Penses-tu être prêt à rencontrer Cherokee ? » Cherokee ? Qui est-ce ? Une autre conquête ? Ou bien juste un amis ? Cherokee. Ses yeux s’était illuminée lorsqu’elle avait prononcé ce nom. C’était surement quelqu’un qu’elle appréciait beaucoup. Malheureusement je ne pouvais savoir quel place ce Cherokee occupait dans son cœur, a moins de lui demander. Ce que j’avais fait. J’avais vu un oiseau perché sur une branche du pommier qui se trouvait au milieu du grand près. Il chantait. Un autre oiseau c’était approché de lui. Eux aussi s’aimaient-ils ? Surement. Ils avaient les mêmes regards que nous quand-on voyait l’autre. Un enfant. Pourquoi pas au fond. Ce serait une belle façon de scellé notre amour. Il serait une preuve de notre amour. « Je me sens près pour fonder une famille avec toi, Freya. Notre enfant sera la preuve de notre amour. »

Court... J'avis pas trop le coeur à l'ouvrage désloer ...

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Je le voyais réfléchir, n'en avait-il pas envie ? Qu'il le dise directement, je ne lui en voudrais pas, si il ne se sens pas prêt à rencontrer Che', je pourrais très bien comprendre, je ne suis pas un monstre non plus. Par contre, il répondit à une autre question que j'avais posé un peu avant, il disait qu'il était prêt à fonder sa famille avec moi. Un large sourire s'afficha sur mon visage, mes yeux était comme animés pas des petites étoiles rien qu'à entendre sa voix prononcée ces petits mots, je ne pouvais être plus heureuse. Je ne savais plus trop quoi lui dire, mes seul pensée aller vers lui, je n'arrivais pas à décrocher mon regard du sien , c'est magnifique yeux vert m'hypnotisés, je n'avais qu'une envie, c'est que ces yeux m'aspire et me plonge dans un profond rêve ... Je repenssa tout de même à la raison pour laquelle il n'avait pas répondu tout à l'heure ...

- J'ai oubliais de te dire qui était Cherokee ...

C'est sûr qu'il ne va pas répondre sans savoir qui cela peut-il être, j'ai pas tellement réfléchis, c'est sur que pour moi sa parait normal de connaître, mais pour les autres, sa l'ai vraiment moins.

- Cherokee n'est autre que mon fils, né après ... Ma mauvaise aventure.

Je lui souris, lui montrant je ne sais quoi, j'avais juste envie de sourire en faite. Je ne savais pas si il aller me répondre désormais, mais je ne voyais pas d'autre explication, puis même, si il n'est pas prêt, je respecterais son choix. Comme pousser par un énorme besoin d'affection, je me colla à lui, ma tête juste sous la sienne, je sentais son odeur imprégner mes poumons, le rythme de son coeur envahissais mon esprit, la respiration me rassurais, je n'avais jamais étais aussi bien de toute ma vie.

- Je t'aime

Ce fut les seuls mots qui sortirent de ma gorge, je n'avais rien d'autre à ajouter, sa me suffisait de lui avoir dit ça. Qu'il neige, qu'il vente, qu'il fasse chaud ou froid, je voulais être avec lui et avec personne d'autre, seulement lui, et bientôt, entouré de notre petite famille. Si seulement nos enfants pouvaient avoir les mêmes yeux que lui ...

Des yeux qui pétillent, une bouche qui souris. Une des première fois ou Freya semblait si heureuse. Elle voulait certainement fondé une famille depuis longtemps. Oui, certainement. Elle était le genre de jument qui avait pour but dans leur vie de fondé une famille unie. «J'ai oubliais de te dire qui était Cherokee ...» J’allais donc afin savoir l’identité de ce fameux Cherokee. «Cherokee n'est autre que mon fils, né après ... Ma mauvaise aventure» C’était donc son fils, et moi qui croyait qu’il était l’un de ces amis proche. J’étais vraiment rassuré. Je n’avais pas à craindre de lui, finalement. Il n’était que son fils, et si moi et sa mère avons une relation il serait tout à fait normal de le rencontré. Je regardais Freya. Elle aussi me regardait.Nous nous regardions. Ces yeux. Orangés. Magnifique, certainement pensais-t-elle à la même chose que moi. Si nos enfants avaient les mêmes yeux qu’elle. Soudain dans un élan de bonheur, elle s’était collée à moi. Ces longs crins m’enveloppaient. Son odeur arrivait à mon museau qui comme quand je sentais une carotte me chatouillais. J’étais tellement bien auprès d’elle que je ne voulais pas bouger malgré ce courant d’air glacial qui était passé à côté de moi. « Ton fils. Oui, je veux le rencontré. » Je voulais le voire. Même si parfois peut être il devait rappeler de mauvais souvenirs à Freya. Elle devait l’aimé plus que tout. Et moi aussi j’allais l’aimé plus que tout comme l’avais fait Nuage et Ysy pour moi. S’il se pose des questions s sur son vrai père je serais prêt à tout lui dire. Il sera tout. Freya, je sentais son cœur battre. J’étais comme dans un rêve lorsque j’étais avec elle. «Je t'aime» Moi, aussi je l’aimais. Beaucoup. Même à la folie. Je voulais lui répondre mais aucun son ne voulait sortir de ma bouche. C’est pour cela que je l’avais encore plus serrée contre moi, pour lui dire tout mon amour sans mot. Tout était silencieux. CLAC. La porte c’était ouverte laissant rentrée quelque chose ou quelqu’un. Vas savoir, je n’avais pas envie de tourner la tête pour regarder.

J’ai finis comme ça pour laisser Che’ faire son entrée. Si tu n’es pas d’accord je supprimé la fin de la réponse.

HS : Tu peux supprimer les autres HS, s’il te plait ?

Upinou ?! (:

Invité

Je sentais l'étreinte d'Eclipse se resserer contre moi, je me sentais tellement bien contre lui, et tout simplement, je me sentais bien avec lui. Il n'y avait aucun mots pour décrire ce que je ressentais en cet instant précis. La porte du près fut ouverte, le cavalier d'Eclipse était suivis du miens, que nous voulaient-ils ? Le miens me passe un licol et commença à me faire marcher, je ne savais pas où nous allions, j'avais légérement peur. Quand j'aperçus les deux poteaux devant moi, je compris directement, mon coeur ce mis à battre comme jamais il ne l'avait fait, je revivais mon pire cauchemard. Je fus attachée entre les deux poteaux, je ne chercha même pas à me défendre, je n'arrivais même pas à bouger. la seule chose qui me rassurais, c'était le fais qu'Eclipse était la, et que j'aller attendre un enfant de lui, c'est tout. Je ne pouvais pas lui en vouloir à lui, je sais ce que c'est, ce fus la même chose avec Rohan. Les larmes me montèrent au yeux, je ne savais plus ce que le mots " bonheur" voulait dire. POurquoi les humains nous font-ils souffrir à ce point ? Eclipse était encore à côter de moi , le temps que les humains est finis de bien m'attacher, comme si j'aller bouger pour m'enfuir ...

- Je ne veux pas revivre ce qui m'a autant effrayer, je t'en supplie Eclipse, fait quelque chose ...

Ma voix vacillait, je n'arrivais plus tellement à parler, ma gorge était toute nouée. Je ne m'attendais pas a ce qu'il ce mette à attaquer les humains, je ne veux pas qu'il fasse cela, mais bon, on peu toujours avoir un éspoir. Les humains avaent finis de correctement m'attachaient, Eclipse disparu d'à côté de moi, mon coeur accelerra, d'un côté, je n'avais pas à avoir peur, j'aimais Eclipse, et lui , il ne risquait surement pas de disparaitre de la surface de la terre.

- Je t'aime Eclipse.

Je me sentais toujours obligée de le lui dire, comme si j'avais peur qu'il l'oublie, chose totalement stupide enfaite, mais j'aimais ce petit mots.

Je la serrais de plus en plus fort contre mon cœur. Je l’aimais. Non pas comme une petite amourette qu’on peut avoir de temps en temps mais LE véritable amour, celui qui dure toujours. La porte c’était donc ouverte sur le CLAC de celle-ci. Des bruits de pas retentirent. Ils s’approchaient de nous. Ils étaient trop près, oui trop près de nous. J’avais relevé ma tête de la belle encolure de mon amour. Mon regard avait croisé celui de mon cavalier. Qui, tenait mon licol dans sa main droite tout comme un autre individu qui se tenait à côté de lui. Il s’approchait de Freya. Mais que voulais-t-il lui faire ? La frapper ? La séparé de moi ? Ou pire encore… Mais je ne préfèrerais pas y penser. Il me passât le licol en cuir brun et l’autre passât le licol de Freya. Ils nous menaient vers un endroit que je n’avais jamais visité. C’était une salle où trônaient deux poteaux. L’autre humain devançât le mien et allas attacher Freya à ces deux poteaux. Elle ne mouchait pas, pas d’un millimètre. Elle semblait terrifier. Une idée ne vint. Et si c’était la salle où elle avait vécu cette terrible expérience. Mon cavalier m’avait chuchoté.

« Va si mon beau et fait nous de beaux poulains. »

Fait-nous beaux poulains ? Ils s’attendaient à quoi ? Que je m’accouple avec elle ? Sans doute. Il me détacha et me donnas une petite tape sur ma croupe. Je m’étais mis à la hauteur de son épaule. Je la regardais. Ces yeux paniqués me dévisageaient.

«Je ne veux pas revivre ce qui m'a autant effrayer, je t'en supplie Eclipse, fait quelque chose ...»

Sa voix était si prise de peur, elle parlait comme si elle allait pleurer. Comme à notre première rencontre. Je l’avais regardé une dernière fois avant de me placer à l’arrière de sa croupe. Je lui avais dit de ne pas s’inquiète comme à notre rencontre. Je voulais lui faire un enfant mais malgré cela j’avais peur qu’elle n’est pas assez confiance en moi et qu’elle craint que sa mésaventure ce reproduise.

«Je t'aime Eclipse.»

Moi aussi je l’aimais. A ces mots, j’étais monté sur elle et l’avait fécondé. En gros j’avais fait mon travail d’étalon. J’étais heureux. J’allais avoir un enfant de Freya même si, j’aurais préféré que ça se passe autrement… Mais dans la vie tout n’est pas toujours comme on le souhaite. Elle tremblait encore ? Je ne pourrais vous le dire car j’étais a ce moment précis : l’étalon le plus heureux du monde. J’aimais beaucoup Freya et je la respectais mais je n’avais pas pu m’empêcher de faire cela. Mes jambes tremblaient comme si je venais de courir un marathon. Je vacillais en avançant vers la tête de la jument. La jument de vie. Je l’avais regardé dans les yeux et je lui avais dit tout simplement

« Je t’aime Freya. Excuse-moi d’avoir fait ça mais comprends moi, tu m’avais demandé si je me sentais prêt pour fonder une famille je t’avais répondu oui. Ainsi j’ai réalisé notre souhait commun… Surtout ne t’inquiète pas je ne te laisserais pas tombe comme l’as fait mon prédécesseur. Je t’aime. »

Mon cavalier m’empêchas de voir sa réaction en me rattachant à la longe et l’autre homme en fit de même. Nous avions fait le trajet d’aller en le rebroussant. Nous étions retournées sur nos pas. L’autre homme était devant avec Freya, il ouvrit la barrière et la lâcha dans le près. Le mien s’avança jusqu’à l’intérieur du près et me dit avant de me lâché à mon tour.

« Excuse-moi si je vous ai fait du mal mais le colonel manque de chevaux et ordonné à tous de faire reproduire nos montures. Si vous l’aviez pas fait ensemble peut être que vous auriez fait cela avec un inconnu. J’espère qu’elle saura te pardonné. »

Sur ce il me lâcha. J’avais galopé en direction de mon bien aimé, je l’avais serré contre moi. Espérant qu'elle me pardonne...

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